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le Blog de Lucien-Alex@ndre CASTRONOVO
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  • Prof d'anglais retraité Sous-officier Armée de l'Air Président assos culture, éducation, social 1978-1989 Correspondant presse locale 1989-1995 Conseiller municipal liste Yves Kleniec 1983-1989 Adjoint liste Jean-François Picheral 1995-2001 Parti radical de gauche 1998-2008 Conseiller municipal liste Michel Pezet 2001-2009 Conseiller municipal liste Edouard Baldo 2014-2020 lucalexcas@aol.com
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24 octobre 2007

Vote à l'assemblée : L'ADN des députés d'ici

fraternite

(Clic sur les images pour agrandir)

verifiez_ADN

Pourquoi Maryse Joissains, maire, n'était pas au conseil municipal de lundi soir ? Voilà une bonne question. La députée s'était spécialement rendue à Paris pour participer au vote de la loi sur l'immigration.

Aucune surprise, ce mardi, elle a entériné la totalité du texte, y compris donc l'article sur l'ADN ("empreintes génétiques").

En épluchant les noms des députés, on trouve celui de Richard Mallié qui a aussi voté pour, mais pas celui de Christian Kert, qui avait sans doute autre chose à faire, lui qui avait soutenu en 2005 la loi sur "le rôle positif de la présence française outremer et notamment en Afrique du Nord".

Au final, le projet de loi relatif "à la maîtrise de l'immigration, à l'intégration et à l'asile" a été adopté en scrutin public (nominatif) mardi 23 octobre en deuxième lecture par l'assemblée nationale.

            NOMBRE DE VOTANTS : 550 (27 députés se sont esquivés)

            SUFFRAGES EXPRIMES : 517 (33 députés se sont évanouis)

            MAJORITE ABSOLUE : 259

            POUR : 283    CONTRE : 234     ABSTENTION : 33

                                        

         Groupe UMP

                              (302 sur 321) 

                    POUR : 278     CONTRE : 3     ABSTENTION : 21

                             Non votant : le président UMP

        Groupe NOUVEAU CENTRE

                              (18 sur 21) 

                    POUR : 4     CONTRE : 4     ABSTENTION : 10

        Groupe SOCIALISTE RADICAL CITOYEN ET DIVERS GAUCHE

                              (201 sur 203)

                    POUR : 0     CONTRE : 201     ABSTENTION : 0

        Groupe GAUCHE DEMOCRATE ET REPUBLICAINE

                              (23 sur 24)

                    POUR : 0     CONTRE : 23     ABSTENTION : 0

        Députés NON INSCRITS

                              (6 sur 7)

                    POUR : 1     CONTRE : 3     ABSTENTION : 2

Le texte de la loi adoptée (lire surtout l'article 5 bis):

http://www.assemblee-nationale.fr/13/ta/ta0047.asp

L'analyse du scrutin avec les noms des députés :

http://www.assemblee-nationale.fr/13/scrutins/jo0033.asp

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24 octobre 2007

La rupture est en marche et déjà des résultats…

la_coupe_c_est_fini

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lire_une_lettre

23 octobre 2007

Des scènes à faire pleurer les pierres

lettre_moquet

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sarkosy_reduire

appel_abbe_pierre_sarko

marabout

la_france_qui_dort_seule

seuls_enfin

laporte_ministere

22 octobre 2007

Un autre regard sur l'actualité

pas_de_train

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regroupement

pension

20 octobre 2007

Mélo : Les sanglots longs des violons de l'automne

valises

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adieu_cecilia

on_divorce

neuilly_sarkozy_cecilia

avec_un_cheminot

enfin_seuls

nouvelle_ouverture_gauche

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19 octobre 2007

Spécial "jeudi noir", jour de toutes les ruptures

prise_d_otages

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jeudi_noir

promesses_rupture

rupture

non_misere

18 octobre 2007

Education nationale : Le métier en saignant

degraissage

(Clic sur l'image pour agrandir)

La "commission Pochard", vous connaissez ? C'est l'une des nombreuses commissions lancées par le président de la République. Son objectif ? Plancher sur la revalorisation du métier d'enseignant.

Il s'agit d'une série d'auditions d'"experts", de responsables syndicaux et des fédérations de parents d'élèves. Les membres du comité, après avoir écouté les propos introductifs, posent des questions à leurs interlocuteurs.

Sur le papier, c'est beau comme l'antique. Dans la réalité, la consultation semble verrouillée par avance.

Les participants se sont vite aperçu qu'aucune table ronde permettant la confrontation des idées n'a pour l'instant été évoquée et aucun groupe de travail n'a été mis en place.

Pour bien comprendre l'état actuel de l'Education nationale, voici quelques éléments qui éclaireront le cœur du problème.

La part du budget dans le PIB, c'est-à-dire dans les richesses produites dans notre pays, était de 3,3% en 2001 et va passer à 2,8% en 2008.

Par ailleurs, on peut aussi comparer les 14 milliards d'euros de cadeaux fiscaux accordés aux plus riches aux 102 millions d'euros en crédits nouveaux prévus pour une amélioration de la situation des personnels du second degré – soit 21€ par enseignant et par mois ! – et aux 400 millions d'euros, prévus pour les nouvelles heures supplémentaires (défiscalisées) attribuées aux enseignants pour 2008 – soit 80€ par enseignant !

Pendant ce temps, la fonction publique se voit amputée de 22.921 emplois dont 11.200 pour l'Education nationale. Cherchez les erreurs.

Pour finir, rappelons que le pouvoir d'achat des personnels a baissé de 20% en 25 ans. Ainsi, un instituteur débutant du primaire et un professeur débutant du secondaire ne touchent plus que 1,25% du smic alors qu'en 1981 ils gagnaient respectivement 1,75% et 2,07% du smic…

La commission Pochard est censée faire des propositions pour la revalorisation du métier, ce sera en le saignant encore plus.

Pour voir les séances de la commission :

www.education.gouv.fr

puis, clic sur "zoom sur la commission sur l'évolution du métier"

17 octobre 2007

Et si on parlait sérieusement du statut des élus ?

marianne_r_publique

J'exerce un mandat d'élu de base depuis pas mal d'années. Nous sommes plus d'un demi-million à avoir sollicité et obtenu les suffrages des Français. J'ai toujours défendu l'idée d'un statut clair et précis qui permette d'exercer la fonction en toute transparence. Si quelques progrès ont été accomplis en la matière, beaucoup reste à faire pour que la place et le rôle de l'élu soient pleinement reconnus, dans les droits et dans les devoirs.

A ce jour pourtant, la situation demeure lamentablement hypocrite pour la quasi-totalité des élus, soient-ils majoritaires ou minoritaires.

C'est un constat : le cadre général de la loi en vigueur est aussi insuffisant qu'imparfait. Voilà pourquoi il suscite des interprétations variables et offre un champ libre à des pratiques discutables qui sont loin de garantir le meilleur fonctionnement démocratique possible.

En effet, si la loi se fait fort d'énoncer quelques principes, elle ne contraint nullement les détenteurs de mandats électifs à des obligations assurant l'équilibre nécessaire et efficace entre, d'une part, l'exercice du pouvoir et, d'autre part, le contrôle par le contre-pouvoir.

Quant aux circonstances et aux conditions qui poussent ou non des citoyens à s'engager, il est notoire que de nombreux freins limitent l'accès de quantités de personnes aux fonctions d'élu(e)s. Il n'est ni juste ni équitable de ne pas indemniser correctement ceux qui veulent consacrer une grande part de leur temps au service du bien public, souvent parallèlement ou au détriment de leur vie professionnelle et/ou privée.

Enfin, je me suis toujours insurgé contre les dérives que l'Etat lui-même autorise et couvre avec complaisance et qui sont source permanente d'incompréhension et de critique de la part de la population. En ce domaine comme en bien d'autres (entreprises, fiscalité, sports, show business… pour ne citer que les plus voyants), un peu d'ordre et de morale ne seraient assurément pas de trop.

Une vidéo qui dit tout sur les retraites spéciales des grands élus… http://www.dailymotion.com/tag/HORTEFEUX/video/x32i9x

16 octobre 2007

Les tests ADN discutés ce mardi au Parlement

Communiqué de la Ligue des Droits de l'Homme

Ceux qui n'auront plus le droit de vivre en famille

       Vont-ils être obligés de "prouver" par des tests ADN qu'ils sont bien les enfants de leurs parents ? C'est ce que propose, s'il est adopté, le projet de loi actuellement discuté au Parlement.

      La famille, pour les étrangers, serait donc réduite à des liens biologiques (comme pour les animaux) : les enfants adoptés, les orphelins, ceux des familles recomposées resteraient au pays, loin de leur parent vivant en France, c'est-à-dire de celui qui les aime et qui les élève, même s'il n'est pas "du même sang".

      Cette traque à l'enfant, supposé "illégitime", est contraire à la loi française qui veut que les tests ADN soient utilisés uniquement pour des raisons médicales ou judiciaires.

      Cette traque à l'enfant est contraire à la loi française qui considère que le père, la mère d'un enfant, c'est l'homme, la femme qui le reconnaît pour sien.

      Cette traque à l'enfant est contraire au droit de vivre en famille, reconnu par la Convention Européenne des Droits de l'Homme et la Déclaration des Droits de l'Enfant, que la France a signées.

      Cette traque à l'enfant étranger est xénophobe : elle désigne l'étranger, une fois de plus, comme un suspect, un tricheur, un envahisseur.

      Cette traque à l'enfant est, tout simplement, contraire à l'humanité.

16 octobre 2007

Toute l'actualité en images

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