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le Blog de Lucien-Alex@ndre CASTRONOVO
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  • Prof d'anglais retraité Sous-officier Armée de l'Air Président assos culture, éducation, social 1978-1989 Correspondant presse locale 1989-1995 Conseiller municipal liste Yves Kleniec 1983-1989 Adjoint liste Jean-François Picheral 1995-2001 Parti radical de gauche 1998-2008 Conseiller municipal liste Michel Pezet 2001-2009 Conseiller municipal liste Edouard Baldo 2014-2020 lucalexcas@aol.com
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23 juillet 2007

Réformes des sévices publics : Sarko prend des gants

maximum

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bilan_2020

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22 juillet 2007

Mulhouse : Bockel face à son conseil municipal

L_Alsace_Le_Pays

Clash ? Pas clash ? Comment le conseil municipal de Mulhouse a-t-il accueilli son maire, Jean-Marie Bockel, suite à son entrée au gouvernement de droite ? Voici le compte-rendu de la séance du lundi 16 juillet 2007, publié par le journal "L'Alsace".

"Chaude l'ambiance, chaude la motion"

Le secrétaire d'Etat Jean-Marie Bockel a été soutenu unanimement par sa majorité et pas désavoué par le plus gros de son opposition.

Il fallait s'y attendre, il y a eu quelques vagues, dans une salle pas seulement surchauffée par une climatisation qui a rendu l'âme en cours de séance. Mais le clash que pronostiquaient certains (et que sans doute espéraient d'autres) ne s'est pas produit.

Au nom du groupe Verts, Chléo Schweitzer et Djamila Sonzogni présentent "une motion de défiance" : "Tête de liste et membre du parti socialiste, Jean-Marie Bockel a été élu par une coalition de gauche sur des options de gauche. Il a fait le choix personnel de se rallier à Nicolas Sarkozy, dont les valeurs sont différentes et qui mène une politique de droite. C'est pourquoi, au nom des électeurs de gauche, nous demandons à M. Bockel d'aller jusqu'au bout de son choix et de démissionner de son poste de maire...".

Le groupe MoDem de Bernard Stoessel, au contraire, "s'associe aux félicitations" adressées au maire et lui présente "ses voeux les plus sincères pour la réussite de sa double mission", nationale et locale. "Il ne sera sans doute pas facile pour vous d'être le représentant du gouvernement dans les mois à venir...", observe Bernard Stoessel. "Mais nous n'en ferons de procès d'intention ni au gouvernement ni à vous-même. Nous jugerons sur les actes...".

Félicitations aussi du groupe villiériste de Gérard Freulet : "J'ai longtemps combattu la dérive socialiste de Jean-Marie Bockel mais il a revu sa copie. Il est temps de fédérer les compétences. L'union des forces vives de Mulhouse doit prévaloir, au-delà de ce qui a pu nous séparer...".

Au nom du groupe UMP, Liliane Luce-Pionnier "refuse les querelles de personnes" : "Nous continuerons à intervenir au service de l'intérêt général. Nous espérons, monsieur le maire, maintenant que vous êtes dégagé du carcan de la gauche la plus conservatrice que vous serez ouvert à nos propositions...".

"Par souci de cohérence sarkozyste, je ne me considère plus comme votre opposant...", lance René-Albert Ehlinger (divers droite).

Michel Bourguet, suspendu par les Verts, souhaite "poursuivre son action" au sein du groupe majoritaire" : "Bockel est un homme de gauche dans un gouvernement de droite, ça surprend chez nous mais ça existe ailleurs...".

                              

"Psychothérapie"

                                 

L'alternatif Henri Metzger a un peu plus de mal : "J'ai pu travailler au conseil municipal, je continue en restant mobilisé. En mars, nous verrons...".

Annette Bour a plus de mal encore : "La militante de gauche que je suis est très désorientée mais je ne voterai pas la motion...".

"J'ai signé un contrat de confiance sur un programme progressiste et démocratique jusqu'en 2008 et j'irai jusqu'au bout...", déclare le MRC Edouard Boeglin. L'idée du contrat d'action municipale à remplir est reprise aussi bien par le PRG Jean-Pierre Walter que par le président du groupe majoritaire Denis Rambaud.

La motion n'est approuvée que par trois voix : les deux Verts, plus une procuration que leur a laissé Pierre Freyburger, absent de la séance. Les groupes UMP et MoDem ne prennent pas part au vote, Bernard Stoessel considérant qu'il relève de la seule "psychothérapie de groupe majoritaire".

                                                                                   Stéphane Samacoïtz

Bockel : "Mulhousien je suis, Mulhousien je reste !"

"Pendant 2 ou 3 jours, je ne savais pas comment les gens allaient réagir...", confesse Jean-Marie Bockel. En ajoutant "sereinement," et "en faisant la part des choses" : "au final, on ne peut pas dire que ma décision ait été mal prise. Je suis élu depuis 26 ans, j'ai connu des hauts et des bas mais je n'avais jamais vu ça à Mulhouse dans les rencontres que j'ai faites depuis un mois....".

"J'ai aussi rencontré des militants que je respecte. Ils m'ont fait part de leur perplexité, parfois de leur incompréhension, que je respecte également...", reconnaît-il. Mais selon lui, "le pragmatisme" a prévalu le plus souvent au sein de l'opinion mulhousienne. "Mulhousien je suis, Mulhousien je reste...", poursuit le maire secrétaire d'état.

"Je vais m'organiser pour respecter jusqu'au bout mon mandat municipal. J'espère que la présence que j'aurai en moins sera compensée par le poids que j'aurai en plus. Et puis le moment venu, je ferai savoir de quelle manière j'entends constituer pour les municipales une liste d'ouverture....".

20 juillet 2007

S'il te plaît, dessine-moi l'actualité...

je_vais_bien

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gros_paquet_fiscal

profs

service_mini_momes

chirac_chez_le_juge

17 juillet 2007

Des caméras partout : L'alerte de la CNIL

cameras_partout

Je n'en espérais pas tant mais j'en désespère autant.

Les caméras de surveillance font l'objet d'un débat ouvert par le rapport annuel de la CNIL (Commission nationale de l'informatique et des libertés) et c'est tant mieux. Mais l'intention de Nicolas Sarkozy de vouloir amplifier le développement de la vidéosurveillance est inquiétante.

Progrès ou danger ? C'est la vraie question.

Présentant la panoplie à déployer comme un moyen efficace de lutte contre le terrorisme, le président fait entériner l'idée que c'est là l'outil ultime pour être protégé. Il pense sans doute que les esprits sont prêts à admettre son initiative habilement inscrite dans le registre subjectif de la sécurité.

Le grand public, bien conditionné à la miniaturisation et à la gadgétisation de la technologie, par exemple les téléphones portables ou les caméras vidéo familiales, assimile ces pratiques à des avancées de confort sans danger.

Il est vrai aussi que la télévision fascine des millions de téléspectateurs en programmant des jeux de téléréalité d'allure anodine où les participants sont filmés en permanence. Ce qui a pour "vertu" première de dédramatiser l'utilisation de caméras dans la vie courante, exactement comme dans les magasins, les banques ou autres lieux sensibles.

Or, la vidéosurveillance policière n'a rien à voir avec ce simulacre télévisuel. Filmer des personnes identifiées à l'écran ne peut pas être comparé avec des objectifs pointés sur des corps d'individus anonymes dans les rues.

Je ne dis pas que la surveillance n'a aucune utilité. Je critique son extension tous azimuts, y compris et surtout là où la présence humaine serait plus efficace.

Derrière cette déshumanisation de l'acte de surveillance se profile une société de contrôle qui a déjà semé ses graines dans divers replis de notre vie. Fichiers de toutes sortes, badges, portails électroniques, empreintes génétiques, traçages des appels téléphoniques et des connexions Internet, contrôles d'identité intempestifs, fouilles au corps a priori, caméras routières, et j'en passe, sont entrés dans les mœurs.

Il s'agit bien désormais de quadriller de manière plus large les espaces publics, les déplacements et les comportements des individus. Cette surveillance, mise en avant sous prétexte d'arme idéale, n'a qu'une portée limitée en terme d'action contre la délinquance ou le terrorisme car elle n'est pas préventive et empêche souvent des interventions en amont. Elle n'ouvre, au mieux, que des possibilités de recherche a posteriori.

Les attentats commis au Royaume Uni, champion mondial de la vidéosurveillance, illustrent bien le côté assez vain de la démarche.

Si l'on n'y prend garde, la mode des caméras de surveillance risque de virer à l'hystérie. Sans parler de toutes les conséquences qu'un usage inconsidéré pourrait avoir à l'encontre du respect de la vie privée.

Faut-il rappeler les propos de Benjamin Franklin : "Qui choisit de sacrifier un peu de liberté pour un peu de sécurité n'est, au bout du compte, ni libre ni sécurisé".

"Des caméras peu efficaces pour prévenir la délinquance"

liberation

Ci-après une interview réalisée par Jacky Durand, parue dans Libération du 10 juillet 2007. Maître de conférence à l’université Louis-Pasteur de Strasbourg, Eric Heilmann a analysé avec Marie-Noëlle Mornet les travaux des chercheurs britanniques sur l’impact de la vidéosurveillance (Etude publiée par l’Inhes). Il revient sur les annonces de Nicolas Sarkozy en matière de déploiement de caméras et sur les préoccupations de la Commission nationale de l’informatique et des libertés.

Partagez-vous l’avis de Nicolas Sarkozy, "impressionné" par la police britannique et ses caméras ?

Je suis étonné qu’il soit aussi peu informé des travaux des chercheurs britanniques qui étudient depuis quinze ans l’efficacité de la vidéosurveillance dans leur pays. Ils concluent tous que les caméras ont apporté rarement la preuve de leur efficacité dans la prévention de la délinquance. Quant à la résolution d’enquêtes, la vidéosurveillance peut accélérer l’obtention de résultats à condition d’être précédée d’un travail de renseignements.

Les caméras ne servent à rien si l’on ne sait pas ce que l’on cherche. Prenez les attentats de Londres, en juillet 2005, c’est parce que la police britannique avait été informée de l’identité potentielle des suspects qu’elle a pu ensuite les reconnaître sur des images. Cela a été possible parce que des centaines d’enquêteurs ont été mobilisés pour visionner 15.000 vidéos. Penser que l’on pourrait mobiliser de telles ressources humaines pour des actes criminels de moindre ampleur serait se moquer du monde.

Les caméras ont tout de même des répercussions ?

La vidéosurveillance peut provoquer un déplacement de la délinquance et un changement des modes opératoires des auteurs d’infraction. Les vols de voitures ont lieu en périphérie après l’installation de caméras au centre-ville. Les cambriolages surviennent la nuit au lieu de la journée. Quand la vidéosurveillance donne quelques résultats, elle est accompagnée d’autres moyens de prévention comme l’amélioration de l’éclairage et la limitation du nombre d’accès dans un parking. Dans aucun cas, la vidéosurveillance n’est une mesure à tout faire.

Partagez-vous les craintes de la Cnil sur l’avènement d’"une société de surveillance" ?

Oui, on assiste à une banalisation à l’égard de cette quincaillerie sécuritaire (caméras, badges.) qui connaît un développement incroyable sans que cela suscite de réactions d’ampleur dans l’opinion publique. J’y vois deux raisons majeures.

Premièrement, il y a une sorte d’enchantement technologique qui peut donner l’illusion que les machines font mieux que l’homme.

Deuxièmement, il y a l’émergence d’une autre conception de la vie privée, liée au développement de la téléréalité. Ces émissions, où les gens se font filmer sous toutes les coutures, développent une esthétique sécuritaire. Ça ne choque plus grand monde de se livrer au regard des autres. Les frontières entre espaces public et privé ne sont plus les mêmes qu’il y a trente ans quand la loi informatique et libertés a été adoptée.

A l’époque, on redoutait "Big Brother". Aujourd’hui avec le développement des réseaux informatiques, des caméras sur Internet, chacun peut se livrer, se dévoiler.

13 juillet 2007

Par ici… la petite monnaie

hirsch

(Clic sur l'image pour agrandir)

                  

Ça tombe bien, c'est le jour de la super cagnotte !

Le haut commissaire (mais avec de petits moyens) aux solidarités actives contre la pauvreté, Martin Hirsch, a été chargé de ne pas hésiter à mettre le paquet (pas fiscal, bien entendu) pour réduire la pauvreté en France d'au moins… un tiers en… cinq ans.

Mission impossible mais il faut bien faire comme si, n'est-ce pas ? Parce que, pendant ce temps, le gouvernement est bien obligé de s'occuper de quelques riches pauvres qui n'en peuvent plus de souffrir.

Le pactole fiscal qu'examine l'assemblée nationale va concerner 150.000 foyers. Huit mesures leur sont destinées dont le coût est estimé à 13,6 milliards d'euros. Rappelons que la hausse probable de la TVA, l'impôt le plus inégalitaire qui soit, ne fera pas de quartier. Elle s'adressera à tout le monde. Quant au SMIC, déjà jugé trop généreux, il n'a été augmenté au 1er juillet que de 2,1% et le revenu de solidarité active (que c'est beau !) ne se verra doté que de 25 millions d'euros.

Tiens, j'ai une idée : on devrait suggérer au gouvernement de verser ces oboles en fausses pièces, ça pourrait peut-être pimenter le rire carnassier de nos plus grosses fortunes… Vive la République ! Vive la France !

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13 juillet 2007

Par là… les gros sous

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280 milliards d'euros, soit 15% du Produit intérieur brut, c'est-à-dire ce que produit la France en un an.

Selon l'hebdomadaire "Challenges", les 500 plus grandes fortunes professionnelles de France pèsent beaucoup plus lourd qu'en 1997. Elles ne détenaient à l'époque "que" 6% (soit 200 milliards) du PIB hexagonal. Ce patrimoine a triplé et crû trois fois plus vite que la richesse nationale, relève le magazine.

Et pour la troisième année consécutive, le grand gagnant est : Bernard Arnault, patron de LVMH. Il tient le haut du podium avec une fortune professionnelle de 23 milliards d'euros (juste de quoi s'acheter quelques caramels).

Gérard Mulliez, patron d'Auchan, conserve sa deuxième place avec 17 milliards (ouf, on avait peur pour lui), juste devant Liliane Bettencourt, du groupe L'Oréal, avec 15 milliards (ça le vaut bien).

François Pinault, patron du groupe de luxe PPR, arrive quatrième, avec 10 milliards (ben oui, à lui la médaille en chocolat).

Selon "Challenges", l'augmentation vertigineuse de ces fortunes colossales s'explique par "la flambée des cours de bourse, la multiplication des opérations juteuses de rachats d'entreprises, et par le retour en grâce des valeurs Internet. En 1997, il suffisait d'une quinzaine de millions d'euros pour faire partie du classement."

Des gens aussi fortiches méritent une adoration sans fin. Moi, je vénère tellement ces picsous que je vais apprendre les noms des 15 premiers par cœur. J'en trouverai bien un qui voudra bien me lancer une pièce…

Pour consulter la liste complète des 500 misérables qui profitent de notre transpiration et piquent dans nos poches :

http://www.challenges.fr/classements/pdfs/CHALL_088_tablo/docs/all.pdf

11 juillet 2007

Des caméras partout : Une question de lunette(s) ?

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6 juillet 2007

Des caméras partout : Pourquoi pas le tatouage ?

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Après les fichiers en tous genres, après les empreintes génétiques, après la délation reconnue par la justice, après… voici la dernière idée de flicage généralisé lancée par Sarkozy.

A sa demande, le gouvernement va réfléchir au déploiement d'un dispositif de vidéosurveillance de grande ampleur, tant par crainte de menaces terroristes que pour lutter contre la délinquance…

La France va ressembler à un énorme programme de télé-réalité. Ça risque de marcher car, vu les records d'audience des émissions du genre sur TF1, les téléspectateurs ont déjà été conditionnés à tout accepter.

Des caméras partout, oui, partout, peut-être même dans nos chambres et nos toilettes. Tout devient possible.

Et on pourrait aller encore plus loin. Ne serait-il pas plus efficace de tatouer un code barre sur le front chaque individu ? L'idée n'est pas saugrenue. Cela faciliterait grandement le travail de la police. Après tout, chaque individu n'est-il pas suspect par nature et délinquant par la volonté du président ?

Moi, je préconiserais aussi d'en mettre plein à l’Élysée… pour avoir à l'œil sur ces nouveaux locataires que certains y ont mis. Il paraît que la dame a cru qu'elle pouvait bouffer avec une carte de crédit payée par le Trésor public sans que le monsieur ne trouve ça louche. C'est bien la preuve qu'on manque de caméras dans notre beau pays.

Voyez encore le Villepin : vous trouvez ça normal, vous, qu'on inflige à ce doux poète de telles méthodes à l'ancienne qui ne permettent qu'une perquisition laborieuse qui fait perdre beaucoup de temps à nos fonctionnaires qui vont être de moins en moins nombreux ? D'ailleurs, il ne faut plus chercher pourquoi ça traîne tant pour Chirac.

J'ai hâte de voir la vidéosurveillance à Aix. Je suis sûr qu'on va trouver de drôles de choses chez certains.

Moi, les caméras, j'adooore. Je n'ai même pas besoin d'être convaincu. Parce qu'avoir la trouille, c'est bon signe, ça me rassure !

5 juillet 2007

Carte scolaire : Ce n'est pas encore la ruée

Après l'expiration du délai fixé au 30 juin aux parents pour la demande de dérogations à la carte scolaire, on a une première idée des évolutions de situations.

Pour l'académie d'Aix-Marseille, 30% des effectifs relèveront des mesures de désectorisation (y compris les dérogations habituellement accordées en raison de "couples multiples" et des bourses sur critères sociaux).

Pour le niveau de sixième, l'augmentation est de 18% dans les Bouches-du-Rhône.

Pour la classe de seconde, au niveau de l'académie, 2.950 dérogations ont été demandées (contre 2.752 en 2006 et 2.923 en 2005).

Quelques académies de la région parisienne ont aussi commencé à faire connaître des bilans quelque peu contrastés.

Ainsi, la Seine-Saint-Denis, département souvent montré du doigt pour ses établissements "ghettos", n'enregistre paradoxalement que 300 demandes supplémentaires de parents par rapport à l'an passé.

Seul le Val-d'Oise a été submergé. Plus de 1.400 demandes ont été déposées contre 400 en 2006. Si les demandes pour les collèges devraient recevoir satisfaction à 80%, ce n'est pas le cas des dossiers de lycéens de ce département.

Les Hauts-de-Seine et l'Essonne ont constaté une augmentation mais pas une explosion. Paris ne recense que 200 demandes supplémentaires (au total 2.600 contre 2.400 l'an dernier).

En Seine-et-Marne, quelque 800 demandes ont été enregistrées contre 600 l'an passé.

Attendons de voir le reste de la France.

5 juillet 2007

Sécurité sociale : Le malade va payer sans être guéri

bachelot

(Clic sur l'image pour agrandir)

La ministre de la Santé, Roselyne Bachelot-Narquin, accompagnée de son compère des Comptes publics, Eric Woerth, a présenté hier son plan de redressement de la Sécurité sociale et contredit, soit dit en passant, ses prédécesseurs, Philippe Douste-Balzy et Xavier Bertrand, qui avaient juré que les problèmes allaient tous être résolus puisqu'ils l'avaient dit.

Le nouveau plan montre l'ineptie des mesures défendues par ces deux rigolos.

Alors, les cotisants vont devoir encore être taxés : des médicaments ne seront plus remboursés, des franchises vont être instituées et on pourra mourir malade et pauvre à la fois.

Le plan Bachelot est censé rapporter plus d’un milliard d'euros d’économie par an (le trou est de 12 milliards !), économies faites donc en grande partie par perfusion des assurés sociaux… Ce n'est vraiment pas de chance.

Mais ne désespérons pas, s'il continue de pleuvoir sur la France, le tour est joué, on ne verra pas leurs larmes qui se confondront avec l'eau du ciel qui lavera les déficits.

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