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le Blog de Lucien-Alex@ndre CASTRONOVO
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  • Prof d'anglais retraité Sous-officier Armée de l'Air Président assos culture, éducation, social 1978-1989 Correspondant presse locale 1989-1995 Conseiller municipal liste Yves Kleniec 1983-1989 Adjoint liste Jean-François Picheral 1995-2001 Parti radical de gauche 1998-2008 Conseiller municipal liste Michel Pezet 2001-2009 Conseiller municipal liste Edouard Baldo 2014-2020 lucalexcas@aol.com
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18 avril 2007

Rions encore un peu avec Genzana

Aix et, n'ayons pas peur des mots, la terre entière attendaient les résultats de sa consultation forcément cosmique. La presse nous dit que Genzana a rendu compte, avec un mois de retard, de ce qui intéressait les Aixois. Pas tous, puisque la salle du centre des congrès n'a pas fait le plein et j'assume la mesquinerie de mon propos.

Mais, d'après l'orateur, 2453 réponses lui sont parvenues, "il y a eu beaucoup plus de contributions que nous l'espérions". Faut-il déjà préciser ici que, pour qui a visité le site Internet, le questionnaire était formaté – verrouillé ? – et n'offrait que trois choix possibles à classer pour chacun des neuf thèmes proposés et que, au bout du quizz, il fallait ne retenir que cinq thèmes.

Le hic, c'est que les réponses partielles étaient impossibles. La validation ne fonctionnait que si l'on avait procédé à tous les choix. Autrement dit, le système enfermait chaque participant dans un circuit pour mieux le rendre captif. Bon, admettons tout ça.

Mais quand même, avait-il vraiment besoin d'un projet et d'une équipe et de déployer autant d'énergie pour sérier les problèmes que connaissent tous les Aixois ? On ne peut donc s'étonner que les soi-disant réponses fournies par les consultés enfoncent une seconde fois les portes déjà ouvertes par un questionnaire qui, lors du lancement le 15 septembre dernier, était décrit comme "une véritable attente des Aixoises et des Aixois", rien que ça !

Je ne voudrais pas donner l'irrévérencieuse impression que je me moque – si, un peu tout de même – mais distribuer 90.000 questionnaires papier, lancer un site et placarder des affiches grand format dans toute la ville, le tout pour, dit-il, 40.000€, et découvrir de telles banalités, cela fait cher le point d'interrogation.

Bon, venons-en aux faits. Qu'est-ce qu'ils veulent encore ces Aixois ? Ils souhaitent donc "l'amélioration de la vie quotidienne". Franchement, vous en connaissez beaucoup, vous, des gens qui demandent une détérioration ? Ils désirent aussi que l'on traite "la propreté, la circulation et les transports collectifs", non, pas possible ? Que de camouflets pour cette municipalité ! Plus surprenant, – je plaisante encore, voyons ! – ils placent aussi "la sécurité, le renforcement des effectifs de la police municipale, le logement et l'accession à la propriété et la nécessité de réviser le POS" comme leurs autres priorités.

C'est sans doute parce qu'ils n'ont pas dû se rendre compte que, depuis six ans, Genzana est membre de l'OPAC et, surtout, – lisez ça ! – "délégué à l'habitat, à l'équilibre social de l'habitat, au programme de l'habitat, au renouvellement urbain et à la politique de la ville" au sein de la CPA et qu'il n'a rien fait.

Quant au maire, qu'il dit encore soutenir, elle avait promis des logements à tout le monde, la vente des HLM à leurs occupants, une sécurité efficace (Ah bon ? Il y a encore des braquages ?) et des transports gratuits. Quant à la transformation du POS en PLU, le courage politique leur a conseillé de reporter ça après les élections.

Tant d'esprits visionnaires et bienfaisants m'émeuvent et m'époustouflent ! D'autant que, pour la grande consultation, il a également été fait appel à des "grands témoins de la société civile", quand il suffisait simplement d'aller interroger une dizaine de personnes sans travail, sans logement, sans argent pour prendre le bus ou payer un loyer.

Et pour finir, savez-vous que le site n'a toujours pas publié les résultats, ne serait-ce que pour rendre au moins la politesse à ceux qui ont répondu au questionnaire. Il est figé comme au premier jour, inerte à l'image de cette équipe dont Joissains a raison de dire qu'elle recèle quelques "rigolos".

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18 avril 2007

Des brèves mises en quartiers

Pont de l'Arc : le goudron fait le trottoir

goudron

(Clic sur l'image pour agrandir)

En tant qu'adjoint des quartiers Sud jusqu'en 2001, j'avais programmé puis fait réaliser la réfection de deux tiers des trottoirs de l'avenue Pierre Brossolette. A quoi j'avais ajouté le stationnement en chicanes pour permettre une réduction de la vitesse, le changement total de l'éclairage public pour améliorer la sécurité et le remplacement de la vieille fontaine du rond-point par un parterre fleuri. Depuis six ans, plus rien. Si bien que le reste des trottoirs vers le sud offre l'aspect délabré et dangereux perceptible sur le cliché. Sans autres commentaires.

Centre ville : quand ça gratte, ça se hâte

Autre exemple de gestion catastrophique des dossiers de la ville : la place des Cardeurs, et plus exactement sa partie basse. Les commerçants et les riverains n'ont cessé de réclamer le respect des délais annoncés pour l'achèvement des travaux de voirie et de stationnement sauvage de la placette des Fontêtes. Il a fallu une pétition pour que la mairie achève le chantier, imparfaitement d'ailleurs et dans la hâte.

Duranne : il fallait y penser avant

C'est l'élu délégué aux personnes handicapées qui l'a dit : "Je ne suis pas satisfait de certains aménagements, d'autant plus que le quartier est tout neuf et que les normes n'ont pas été respectées à différents endroits. Places de parking trop petites, pas d'accès direct à la place des commerçants, aménagements aberrants le long de certaines rues, voitures garées sur les trottoirs, les aspects à améliorer ne manquent pas. Dans le cas de la Duranne, la ville va devoir prendre sur son budget pour mettre les places de parking en conformité. Quand au fait d'accéder directement à la place, il n'y a plus aucune possibilité, c'était au moment de sa conception qu'il aurait fallu y penser." Ah, la lucidité !

Pont des Trois Sautets : Chorro se réveille

Absent à l'assemblée générale annuelle du CIQ il y a près d'un mois, il vient de réagir aux critiques portant sur l'abandon du quartier. Les riverains avaient demandé d'être informés sur l'état des projets d'aménagement. Le reproche principal concernait l'absence de transparence et le manque d'écoute de la part de la mairie. C'est quand même un peu cavalier que les habitants de ce secteur, qu'ils avaient qualifié de "la plus minable de la ville", apprennent des détails par la presse alors que leurs lettres n'ont pas toujours reçu de réponses !

17 avril 2007

Sarkozy a changé et, pour une fois, il ne ment pas

17 avril 2007

Le discours "coup de poing" de Christiane Taubira

C

Ce 14 avril, Christiane Taubira, déléguée à l'expression républicaine auprès de Ségolène Royal, s'adressant aux Outremers, a prononcé un discours d'une rare intensité. Son art oratoire, sa force de conviction et son caractère bien trempé ont fait merveille. J'en suis encore sous le charme. Et pas seulement parce que j'ai l'excuse de la connaître personnellement. Je me permets donc de vous dire qu'il vous manquerait quelque chose de ne pas l'écouter. Cliquez sur le lien, vous vous souviendrez longtemps de ce coup de poing à l'estomac.

http://videos.desirsdavenir.org/index.php?groupe=&video=412

17 avril 2007

Le jeu "coup de boule" de Ségolène Royal

Maintenant, quelques petites minutes de joyeuse détente avec le jeu "coup de boule" de Ségolène Royal. Logiquement, vous devez gagner. Si vous perdez, vous avez droit à d'autres essais, jusqu'à la victoire finale.

http://royalcoupdeboule.com/

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17 avril 2007

Bruno Genzana ou la magie des tours ratés

Genzana me fait penser à ces prestidigitateurs qui, n'ayant jamais réussi leur numéro, persistent dans le métier en rendant comiques les trucs et les ficelles de tours ratés. La misère, avec lui, c'est que les subterfuges sont toujours un peu gros et ça finit par faire des nœuds.

Je dois dire que, ayant beaucoup observé l'art de Genzana depuis un quart de siècle, plus rien ne me fait surprise venant de sa part. Depuis, je ne peux entendre une de ses prises de parole ou lire une de ses interviews sans me gondoler. Et, à l'âge qu'ont mes os, je me conseille souvent d'être assez prudent pour ne pas me les déformer en riant.

Au hasard, prenons l'article paru lundi dans La Provence et dont un propos tenu par l'intéressé, "Le pacte de confiance n'est pas rompu", fait titre. Je sais que la phrase qui suit est réductrice, mais je résume à ma façon pour ceux qui n'ont pas savouré le potage de Genzana : "Tout va bien, je prépare l'avenir, je suis fidèle à Joissains et la droite gagnera grâce à moi".

Reprenons quand même un peu les choses.

¤ Concernant la portée de sa grande consultation, notre grand visionnaire déclare : "Il n'y a pas urgence, avant de penser à la prochaine municipale, il y a une présidentielle et des législatives". Mais, sur son site, le même écrivait le 7 décembre dernier : "Le temps de construire ensemble un projet pour Aix et le pays d'Aix est venu". Possèderait-il deux calendriers dont il aurait le pouvoir magique de faire s'écouler le temps de l'un à un rythme différent du second ? Les scientifiques auront un jour à résoudre cette énigme.

¤ Puis, flagornant comme jamais, le grand mage d'Aix fait un cirage de pompes avec force courbettes : "Joissains a toujours eu l'intelligence politique de préférer les additions aux soustractions". Sauf que, en 1989, elle a été la principale frondeuse séparatiste contre le maire de l'époque, Jean-Pierre de Peretti della Rocca, et que cela a abouti à la mise en minorité du brave homme sur le budget. Ce qui a contribué, parmi d'autres causes, à la perte de la mairie par la droite pour douze ans.

¤ "Le pacte qui nous unit n'a pas été rompu". Sauf que, si l'on a bien compris, la campagne d'affichage a été lancée de sa propre initiative, Joissains, elle-même, ayant dit qu'elle n'avait pas été informée et qu'elle ignorait qui avait payé ! Ca, c'est la fidélité proclamée à la Genzana mais, dans les coulisses, nul n'est plus expert que lui pour jeter au sol les peaux de banane à plein régime.

¤ "J'observe, notamment depuis le lancement des "Ateliers de l'avenir" que De Peretti et Joissains ne sont ni l'un ni l'autre sur le même mode de relations qu'avant l'été 2006". Là, on quitte le cirque pour le festival du rire et ses grosses blagues. A Aix, tout le monde sait que François-Xavier De Peretti n'a jamais été aussi virulent contre Joissains et ses élus que cette année. Et même que ça s'aggrave chaque jour.

¤ "Joissains a estimé que le coût de ce travail de consultation et de communication pourrait être imputé à son compte de campagne législative". Faire croire qu'il a choisi de ne pas être suppléant pour un si grotesque motif, c'est plus fort qu'un spectacle de Dani Lary ! En vérité, Joissains l'a foudroyé pour mieux le dissoudre. Elle ne veut plus entendre parler de lui.

¤ "Moi qui ai toujours travaillé dans le sens de l'union". Les bonnes mémoires n'auront aucun mal à se rappeler qu'en 1995 Genzana figurait sur la liste du RPR Jean-Bernard Raimond en concurrence directe contre deux autres listes de droite, dont celle d'Alain Joissains. Plus loin encore, je me souviens qu'en 1986 Genzana avait déjà tenté de lancer sa candidature pour la cantonale d'Aix-Sud-Ouest, avec déjà campagne massive d'affichage, et que le maire lui avait aussi déjà fait ranger ses banderoles par amical conseil qui valait ordre impératif.

Voilà, cela fait donc depuis 1983, année de son premier mandat municipal, que Genzana finit toujours par faire le toutou qui rentre dans sa niche. Mais évidemment, "le pacte de confiance n'est pas rompu".

16 avril 2007

Brèves en toute confidence

Des élus en disgrâce

Je suis toujours ébloui par les confidences top secret que me font certains élus de l'équipe Joissains au sujet de leurs propres collègues. Ces gens ne sont qu'amour ! En moins de deux réunions, j'ai ainsi appris que la présence d'élus dissidents n'avait pas été souhaitée à l'inauguration de la Fnac. Idem pour la venue de Sarkozy à Aix ce dimanche. Certains élus en disgrâce ont été "oubliés" ou rayés de la liste des invités dressée par qui vous savez. C'est là qu'on voit que tout devient vraiment possible… même l'épuration politicarde.

Sarko, l'as des calculs

Les dépêches de presse rendant compte, dans la journée même, de la visite d'une heure de l'agité de l'Ump à un pique-nique à Aix ont évalué la foule à deux milliers de personnes. Les images vues à la télé, elles, montraient bien qu'il y en avait autour de trois centaines, au mieux. L'intox vient sans doute des fâcheuses habitudes policières de comptage tendant à fournir des chiffres très différents, en général minorés par rapport à ceux des organisateurs. Sauf que cette fois-ci, le service de communication de Sarko les a juste inversés. Les pique-niqueurs n'ont rien trouvé à redire. Normal, Sarko, le faussaire des statistiques, s'est esbigné sans même les calculer.

16 avril 2007

"Allées provençales" : Petits fours au cornichon

FNAC_COM

Encore un beau ratage pour l'équipe municipale. Les nouveaux commerces de Sextius-Mirabeau se font du souci à défaut de se faire des sous. La commission de sécurité n'a pas autorisé leur ouverture totale, malgré une inauguration de la Fnac avec Pdg, invités, "people", petits fours et mais aussi… four complet. Les explications lues ou entendues ici et là font état de l'inachèvement des travaux des sorties de secours.

Problème de calendrier ou imprévoyance ?

Les enseignes accusent la mairie et la Semepa de n'avoir pas été à la hauteur. Les élus municipaux, pas d'accord entre eux, et les responsables de la société d'économie mixte déclarent que les commerçants ont pris des risques en annonçant une ouverture prématurée. Pour comprendre ce qui a sans doute été à l'origine de ce couac, où plus de 200 employés se retrouvent quand même sur le carreau, il n'y a qu'à écouter les arguments de la mairie, révélateurs de l'absence de pilote.

Henri Doglione, adjoint à l'urbanisme, président de la Semepa faut-il le rappeler, lance : "Ils auraient dû repousser l'ouverture d'un mois ! C'est par volonté mercantile qu'ils ont tenté de forcer les décisions, ignorant les dangers pour les piétons." Dans la foulée, Stéphane Salord, adjoint à l'économie, en dissidence de majorité, réplique tout de go : "Tout est de notre faute, les commerçants n'y sont pour rien. Il fallait prévenir du retard à l'avance". (C'est sans doute ce genre de formule qui a poussé la presse à qualifier Salord d'excellent écrivain.)

Nouvelle salve de Doglione en direction de son collègue : "Salord est un irresponsable et un cornichon ! Tant que les travaux ne sont pas terminés, ça ne peut pas ouvrir. Il faut compter une semaine à dix jours." Et pour finir, l'élu Gérard Consani, membre de la commission de sécurité, d'y mettre sa goutte de vinaigre : "Nous avons 1.200 demandes de visites de sécurité par an à traiter". Autrement dit, le délai d'ouverture risque d'être rallongé au-delà.

Voilà résumé un nouvel épisode où l'on voit des élus qui passent leur temps à régler leurs comptes entre eux au lieu de régler les problèmes des Aixois.

Parlons un peu de la Fnac

Ce mois-ci, tous les syndicats de la Fnac sont sur les dents et se préparent à l’affrontement. Fin avril, la direction du premier disquaire-libraire de France lancera le premier plan social de son histoire. De source syndicale, on affirme que 320 salariés du "back-office" (services administratifs notamment) seront licenciés.

Dans le même temps, des postes sont supprimés dans les rayons disque et photos, mais les salariés sont reclassés : "La direction nous a expliqué qu’on pouvait faire passer des vendeurs d’un rayon à un autre, mais pas reclasser des agents administratifs en magasin parce que leurs métiers sont trop éloignés", a déclaré une déléguée syndicale.

En parallèle, les négociations salariales se sont terminées par une fin de non-recevoir de la direction pour toute augmentation générale. Et, pour la première fois de son histoire aussi, les salariés seront en partie rémunérés à la commission. Auparavant, pour garantir leur impartialité et leur crédibilité, ils recevaient un salaire fixe.

Des débrayages sporadiques ont eu lieu toute la semaine dernière. Une grève générale intersyndicale est annoncée pour le 4 mai.

16 avril 2007

Parisot, frappée de stupeur… mais pas scandalisée

airbus

(Clic sur l'image pour agrandir)

"Comme beaucoup de Français j'ai été frappée de stupeur quand j'ai entendu le montant des indemnités de départ de certains dirigeants", a affirmé, sur France Inter, la présidente du Medef qui s'oppose cependant à toute législation sur le sujet, au moment où les "parachutes dorés" versés à de grands patrons limogés ont provoqué des réactions de la part des candidats à l'élection présidentielle.

"Mais j'ai été aussi stupéfaite par le déferlement d'anathèmes, d'ignorance, de démagogie qui a suivi la révélation de ces différentes affaires. Les questions posées sont légitimes, les réponses apportées sont des erreurs", a-t-elle poursuivi.

"Je comprends qu'on se pose des questions, je comprends qu'il puisse y avoir un doute sur la légitimité de ces indemnités. Mais ce que je sais également c'est que je ne dispose pas (...) et le grand public non plus, et les candidats à l'élection présidentielle non plus, des éléments, c'est-à-dire des faits, des données, des historiques, des chiffres, des comparaisons qui permettent de dire si oui ou non ces indemnités sont justifiées. Seuls le conseil d'administration et l'assemblée générale des actionnaires sont capables de dire si ces indemnités sont justifiées", a-t-elle estimé.

A propos de Forgeard (EADS), et avec beaucoup d'estomac, elle a proféré : "Est-ce que vous savez vraiment si c'est son action qui a conduit (aux) difficultés" d'EADS ?" Elle a cependant jugé "bien" qu'il y ait un "débat", sur ce cas, dont elle a admis qu'il "troublait" les esprits, dont le sien.

Elle a lancé "un appel solennel" à tous les conseils d'administration des grandes entreprises françaises, et en particulier aux comités de rémunération issus de ces conseils, pour qu'ils respectent "scrupuleusement" les recommandations émises en janvier 2007 par le Medef en la matière.

"Il faut que les comités de rémunération soient composés d'administrateurs indépendants", a-t-elle souligné. "Partout où ce n'est pas le cas, je demande à ce qu'il y ait une mise en conformité (...) EADS n'a pas un comité de rémunération composé majoritairement d'administrateurs indépendants."

En revanche, contrairement à Sarkozy, qui a promis une loi pour interdire les "parachutes dorés", Laurence Parisot a estimé qu'il fallait éviter de légiférer sur cette question. "Cela mettrait en cause l'attractivité de la France", a-t-elle expliqué. "C'est un frein immédiat à notre capacité à attirer ou à conserver les talents chez nous", a-t-elle renchéri.

15 avril 2007

Sarkozy, futur petit père du peuple

Voici ce que donnerait un reportage diffusé dans un avenir lointain si Sarko parvient au bout de ses calculs politiques et électoraux. Le petit père du peuple a tellement de bonnes idées à mettre en œuvre dans notre douce France…

http://www.dailymotion.com/video/x1pbsy_sarkozy-petit-pere-du-peuple

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