Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
le Blog de Lucien-Alex@ndre CASTRONOVO
le Blog de Lucien-Alex@ndre CASTRONOVO
le Blog de Lucien-Alex@ndre CASTRONOVO
  • Prof d'anglais retraité Sous-officier Armée de l'Air Président assos culture, éducation, social 1978-1989 Correspondant presse locale 1989-1995 Conseiller municipal liste Yves Kleniec 1983-1989 Adjoint liste Jean-François Picheral 1995-2001 Parti radical de gauche 1998-2008 Conseiller municipal liste Michel Pezet 2001-2009 Conseiller municipal liste Edouard Baldo 2014-2020 lucalexcas@aol.com
  • Accueil du blog
  • Créer un blog avec CanalBlog
Derniers commentaires
Archives
15 avril 2007

Marianne, pour ne pas se laisser pendre

Talonnettes_NSune_marianneUne lecture à ne pas rater pour ne pas LE rater. De bonnes vérités sur le personnage aux talonnettes, sur ses méthodes, sur ce qui le travaille et qu'on risquerait de payer cher. Il vaut mieux savoir avant... Un dossier bien documenté de 12 pages. A diffuser le plus largement possible. N° 521, sorti ce samedi 14 avril 2007 (2,50€).

(Clic sur chaque image pour agrandir)

Publicité
15 avril 2007

"Si c'est un homme…" de Primo Levi

Le 11 avril 1987, Primo LEVI se donnait la mort à Turin. En 1947, était paru "Si c'est un homme" (Se questo è un uomo) qui commence ainsi : "J'ai eu la chance de n'être déporté à Auschwitz qu'en 1944…".

A lire, à relire, à faire lire. N'oublions pas que cela fut.

levi_homme

Vous qui vivez en toute quiétude

Bien au chaud dans vos maisons,

Vous qui trouvez le soir en rentrant

La table mise et des visages amis,

Considérez si c'est un homme

Que celui qui peine dans la boue,

Qui ne connaît pas de repos,

Qui se bat pour un quignon de pain,

Qui meurt pour un oui pour un non.

Considérez si c'est une femme

Que celle qui a perdu son nom et ses cheveux

Et jusqu'à la force de se souvenir,

Les yeux vides et le sein froid

Comme une grenouille en hiver.

N'oubliez pas que cela fut,

Non, ne l'oubliez pas :

Gravez ces mots dans votre cœur.

Pensez-y chez vous, dans la rue,

En vous couchant, en vous levant ;

Répétez-les à vos enfants.

Ou que votre maison s'écroule,

Que la maladie vous accable,

Que vos enfants se détournent de vous.

14 avril 2007

Les Guignols ont trouvé le (la) candidat(e) idéal(e)

guignols

Un jeu facile, facile, même pour ceux qui iront voter pour la toute première fois. Les indécis pourront y trouver enfin des éléments sérieux pour les convaincre de choisir, à coup sûr, le (la) bon(ne) candidat(e). Plusieurs essais sont possibles. Attention, on a bien dit candidat(e), pas président(e) !

http://votezplus.canalplus.fr

14 avril 2007

La "Sarkozie" n'est pas la République

Hasard ou pas de l'actualité, on a souvent l'impression que les informations qui tombent sans discontinuer ne sont qu'une suite de faits sans liens entre eux. Pourtant, il suffit de temps en temps de les lire côte à côte et même de les rapprocher pour comprendre qu'ils disent pas mal de choses sur notre société politique.

Cette semaine, par exemple, des nouvelles, ayant plus ou moins connu les feux des projecteurs, viennent de livrer des vérités sur ce qu'est la sphère du capitalisme cynique. En les mettant bout à bout, comment ne pas voir les champs boueux où il prospère, les méthodes rusées qu'il utilise et les rapaces véreux qui en profitent.

Bien sûr, chacune de ces nouvelles, corruption de haut vol, escroqueries gigantesques, parachutes dorés, profits colossaux, porte en soi assez de force pour provoquer indignation et dégoût. Surtout lorsque, le même jour, l'actualité montre l'autre face de la vie : les bas salaires de ceux qui créent vraiment la richesse en transpirant, les licenciements en masse qui sont le signe de bénéfices faramineux ni réinvestis ni partagés, la misère subie et vécue par des millions de familles qui ne trouvent leur condition ni juste ni compréhensible.

Désarmés, dans l'incapacité de réagir, ces gens de peu courbent la tête et se résignent à vivre de l'aumône qui vient, quand ça vient, si ça vient. Le petit monde d'en haut se fiche de la gueule de l'immense univers d'en bas et le lui fait savoir. Les intouchables lancent leurs piécettes à leurs gueux en évitant bien de leur toucher la main. J'ai un château, tu as une tente, et alors ? Je suis le prince de la finance, tu es le serf de ma fortune, et alors ? Je sens le parfum, tu pues, et alors ?

Désolé d'aller au raccourci qui suit mais peut-on un seul instant imaginer que ce système puisse avoir la moindre chance de changer si un certain candidat à l'ego libéral bien trempé était élu ?

L'état actuel de délabrement de notre pays, mis à sac par ces cinq dernières années de précarisation généralisée, n'est-ce pas suffisant pour entrevoir ce qui se prépare si les électeurs donnent un blanc-seing à l'avènement de la "Sarkozie", le pays du renforcement de ceux qui sont déjà les plus forts pour anéantir toute velléité de rébellion des plus faibles ?

Qu'on se le dise, son seul but est de perpétuer une politique qu'il a déjà largement contribué à inoculer.

Cette conception de la société est un hold-up, ce n'est pas celle de la République. Cette politique porte en elle les germes de la violence et de la barbarie, ce n'est pas celle de la République. Cette méthode haineuse sécrète la guerre civile, ce n'est pas celle de la République.

14 avril 2007

Par ici, les bonnes affaires de gros sous

Or noir et argent gris

Le directeur général et plusieurs hauts cadres de Total n'y sont pas allés par quatre chemins. Ils ont été mis en examen pour les contrats réalisés en Irak pour le compte du programme de l'Onu "pétrole contre nourriture" après la première guerre du Golfe et mis en œuvre entre 1996 et 2003. Ils ont fait comme beaucoup d'autres puisque la corruption s'est déroulée à l'échelle mondiale. Les personnalités incriminées avaient perçu de l'argent sous forme de "coupons" pétroliers ou droits de tirage, revendus ensuite à des sociétés habilitées à extraire le brut irakien. L'argent, comme le pétrole, coule à flots.

Escrocs en stocks

Le grand brigand Forgeard, ancien coprésident d'EADS et ex-PDG d'Airbus, casseur professionnel de milliers d'emplois, a touché plus de 6M€ lors de son départ en 2006 ainsi qu'une prime de 2,4M€. L'ex-PG d'Alcatel a gagné 8,2M€ en 2006, dont une indemnité de 5,67M€ après l'abandon de ses fonctions exécutives. Pour mémoire, l'escroc Messier, PDG de Vivendi, avait négocié des indemnités de départ à hauteur de 21M€. Mais, la nouvelle direction s'y était opposée. L'autre escroc Zacharias, PDG de Vinci, avait réclamé 250M€ de stock-options et une prime de 8M€. Il avait démissionné suite à une dénonciation publique par son directeur du fait d'avoir perçu des rémunérations colossales. Il exige encore une indemnisation de 81M€ pour préjudice subi ! Vite, faisons une collecte.

Ça le vaut bien

L'Oréal, ami de Hulot, n'a pas à se faire de cheveux. La société a annoncé l'acquisition par sa filiale américaine de l'intégralité du capital du distributeur américain de produits professionnels Beauty Alliance dont le chiffre d'affaires a été de 372 millions de dollars en 2006. Belle opération. On pourrait s'en réjouir. Derrière cela, il y a les actions en bourse et tous ceux qui vont s'enrichir sans transpirer et qui n'auront pas besoin de déodorants, à ne pas confondre avec "désodorisants" qui, eux, servent à assainir d'autres toilettes.

Publicité
13 avril 2007

BILAN 10 : Santé : infarctus interdit à Aix !

hopital

L'hôpital du Pays d'Aix n'est pas une exception. On y rencontre les mêmes problèmes que dans la plupart des centres hospitaliers français. Urgences encombrées, personnel en sous-effectif et sous-payé, réformes au coup par coup, service public en danger, médecine à deux vitesses.

Après une période de déficit chronique et des renflouements par perfusion par l'Agence régionale d'hospitalisation, le centre d'Aix, dont le président de droit est le maire, doit maintenant répondre au Plan pluriannuel d'objectifs et de moyens (PPOM). En gros, après l'application déjà effective des dotations calculées à l'activité – il faut donc faire du chiffre comme on dit dans le langage marchand – l'unité d'Aix va devoir respecter un "quota" d'actes à ne pas dépasser, sous peine de sanctions avec pénalités financières !

Exemples : en 2006, la direction cardiologie a assuré 60% d'actes lourds, avec 617 angioplasties et plus de 400 poses de pacemakers. Désormais, l'ARH contraint l'hôpital à réduire son nombre à 490 actes annuels tout compris. Compris ? Même le directeur de l'hôpital s'en est indigné lors du conseil d'administration du 29 mars, c'est dire.

Oui, mais alors, les gens vont-ils mourir ? Non, le privé les sauvera ! C'est là que se situe le tour de passe-passe. L'équipe cardiologie de la clinique Rambot pratique plus de 1.000 interventions lourdes, qui plus est, sans aucune autorisation sanitaire de l'ARH et donc sans représailles ! Idem pour le service de rééducation fonctionnelle. Actuellement, à l'hôpital, il y a 3.000 passages dans ce service, il faudra les ramener à 1.000 ! Là encore, c'est le privé qui va récupérer le gros reste.

Enfin, il y a déjà quelques mois, au conseil municipal, la situation des lits de maternité a été évoquée. J'ai moi-même dénoncé l'absence d'une carte sanitaire et médicale régionale qui aurait pu donner une cohérence à une politique réfléchie de la santé. Au lieu de cela, les bouleversements se font au coup par coup selon des opportunités commerciales.

J'ai fait observer que la clinique de l'Etoile (qui paraît-il fait aussi des miracles) allait s'agrandir et récupérer des lits de maternité provenant de la clinique Rambot, qui elle-même veut développer la cardiologie. Cela se fait entre privés sans prise en compte du rôle de l'hôpital et à son détriment.

Dans ces conditions de recherche du profit, on s'achemine vers la mort de la belle idée de Sécurité sociale instituée en 1945 par le Conseil national de la Résistance, à moins qu'une nouvelle donne soit instituée grâce à l'élection présidentielle.

Pour ce me concerne, je ne ferai pas confiance à un gouvernement de droite qui n'a qu'une seule envie : poursuivre la casse du système de santé publique.

En attendant, ce n'est pas encore demain la veille que je vais pouvoir faire mon second infarctus.

13 avril 2007

Brèves à la manière de Knock : soigner ou saigner ?

Médecine à deux vitesses et en marche arrière

Ils vont le crier haut et fort aujourd'hui. Les praticiens hospitaliers s'élèvent contre la mise en place d'un système de rémunération variable pour les chirurgiens, suite à un arrêté publié le 29 mars qui institue ce principe. En fait, la part variable s'appuie sur le nombre d'interventions opératoires et de consultations. Les syndicats dénoncent une discrimination entre médecins qui sera source de conflits et de démantèlement de leur statut. Ils craignent que cela n'aboutisse à une sélection des patients et à une concentration des médecins dans quelques grands centres. Cela s'appelle la médecine à deux vitesses, la fin du statut unique et la fragilisation du service public.

Dépassements d'honoraires et de mesure

Les dépassements d'honoraires de professionnels de santé remettent en cause les principes de l'assurance maladie et de son fonctionnement. C'est là un obstacle grave qui réduit l'accès aux soins pour tous. L'Inspection générale des affaires sociales a rendu public un document montrant que, dans le secteur des honoraires libres, le montant des dépassements a doublé en 15 ans, pratique majoritaire chez les spécialistes. Les sommes en jeu ne sont pas dérisoires. Ainsi, les dépassements atteignent 1,5 milliards d'€ pour les cabinets médicaux et 500 millions pour les interventions en hôpital ou en clinique. Cela concerne aussi bien les accouchements et la pose de prothèses de la hanche que les opérations de la cataracte ou les coloscopies. On le voit, il s'agit d'interventions vitales, pas de chirurgie esthétique ! En moyenne, les dépassements par patient représentent 91€ dans le public et 454€ dans le privé. On ne parle même pas des dessous-de-table, véritable escroquerie qui n'a rien à faire dans le domaine de la santé.

"Franchise médicale" : c'est quoi ?

Sarkozy a des idées fixes. En particulier quand il s'agit d'assurance maladie. Pour lui, l'augmentation des dépenses de santé, ce serait d'abord et avant tout la faute des patients. Il faut donc les pénaliser pour qu'ils consomment moins et que la Sécu rembourse de moins en moins. Il parle de "franchise médicale", c'est-à-dire d'un seuil annuel de dépenses en dessous duquel l'assurance maladie ne remboursera rien. Rien du tout. Voilà, c'est socialement injuste, économiquement inefficace et dangereux pour la santé publique. Résumé. Première étape : la franchise. Deuxième étape : l'assurance individuelle. Troisième étape : la fin de la sécurité sociale. Pour un libéral, c'est super : on paie pour soi, les autres se débrouillent comme ils peuvent, s'ils le peuvent. Sarkozy est un mauvais chirurgien qui veut soigner tout le monde à la scie. Ne nous laissons pas saigner.

12 avril 2007

Rognes, Cabriès, Meyrargues, Venelles… ça va mal

Quelle démocratie en Pays d'Aix ?

La loupe de l'actualité est souvent focalisée sur Aix à cause de la taille et de la place centrale de notre ville dans le paysage de la région. Mais, à y regarder de plus près, la vie politique locale n'y est pas moins houleuse dans le pays d'Aix qu'ici. Ces dernières semaines, dans certaines communes voisines, le climat s'est envenimé et les polémiques ont enflé au sein des conseils municipaux.

Aux dires de certains élus, voire des habitants, ces mouvements ne sont pas de circonstance. Ils ne font que s'ajouter, avec une acuité plus grande que d'habitude, aux mauvaises pratiques qui se perpétuent depuis longtemps à cause de maires qui se prennent pour des Napoléon, qui n'en font qu'à leur tête et qui gouvernent comme des potentats. Pour eux, les élus minoritaires n'ont pas leur mot à dire, les associations sont quantité négligeable et la population n'a qu'à obéir. Etrange conception de la démocratie.

On apprend qu'à Rognes, le maire a refusé de communiquer des dossiers préparatoires, droit prévu par la loi, et, lorsqu'il a consenti à le faire pour quelques élus, lesdits dossiers étaient scandaleusement vides. C'est ce genre d'incident qui a amené les élus de l'opposition à décider de quitter la séance publique du conseil municipal de mars. Bonjour, la transparence. Etonnons-nous ensuite que les séances se déroulent dans une atmosphère électrique.

A Cabriès, c'est le CIQ, réuni en assemblée générale annuelle, qui dénonce les décisions prises par le maire dans l'urgence, sans concertation, ni respect du bien public, ni étude préalable pour les projets de la commune et notamment au sujet du plan global d'aménagement qu'ils réclament à cor et à cri.

A Meyrargues, on ne compte plus le nombre de séances publiques annulées ou reportées. Quorum insuffisant, maire ne réussissant pas à mettre tout le monde d'accord, la coupe déborde.

Quant à Venelles, il semble bien que tous les records soient battus. Si l'on en croit, et pourquoi ne pas les croire, les témoignages des élus et de la population qui participent ou assistent témérairement au conseil municipal, quasiment chaque séance voit l'opposition et le maire s'affronter sans répit. Jugé autocratique, le maire joue de tous les tours possibles pour s'affranchir d'une nécessaire vie démocratique et pour créer des rebondissements sans fin.

Les exemples fourmillent : disparition de l'Office municipal de la culture et de la jeunesse (OMCJ), carence de logements publics sociaux, polémique sur la régie de l'eau, pouvoir personnel, méthodes expéditives, dérives de langage, entorses au protocole, absence d'information des élus, procès contre certains d'entre eux, annulation de conseils. La sérénité du débat fait défaut et les esprits s'enflamment. Ubu a un roitelet de fils et les Venellois n'ont qu'à porter sa chaise.

Triste spectacle que ces frasques qui n'honorent pas la politique. Je me dis que ces communes n'ont pas grand-chose à envier à Aix. Elles aussi ont droit à leurs bouffonneries à domicile. Espérons que ce sont là les dernières représentations et que bientôt viendra le temps de changer de pièce.

12 avril 2007

L'affaire est dans le bio-sac

sac_bio

(Clic sur l'image pour agrandir)

Depuis quelques semaines, mon buraliste distribue gratuitement des petits sacs, certifiés biodégradables et compostables, qui participent à la protection de l'environnement. Les sacs sont fabriqués à partir de "mater-bi" (amidon de maïs) selon la norme 13432 (je cite, ça fait savant). Je ne sais pas comment on arrive à ce résultat-là mais c'est beau, décoré d'une marguerite et d'une coccinelle, c'est pratique et même doux au toucher. Moi, je suis convaincu et mon buraliste est content car sa clientèle apprécie le geste. Alors que la prise de conscience s'accélère, je suis étonné qu'on ne passe pas à une mise en pratique de solutions aussi simples que celle-ci, à grande échelle et sans perdre de temps. C'est une action qui implique le citoyen directement dans sa vie quotidienne. Bien sûr, ce n'est qu'un petit bout de la vaste question à résoudre mais, au moins, chacun saura que ce n'est pas que l'affaire des autres. Ah ! Au fait, j'ai bien regardé, ce n'est pas parrainé par Total, Hulot ne va rien encaisser.

12 avril 2007

Et maintenant, un sondage sur... les sondages

Un sondage de la presse gratuite indique que, pour 84% des internautes, les sondages sur la présidentielle ne sont pas crédibles et ne reflètent pas la réalité. Ils ne sont donc que 16% sur les 549 personnes sondées (un échantillon ridiculement faible et bien peu fiable) à penser le contraire. En revanche, aucun internaute sondé n'a mis en doute la crédibilité de ce sondage ! Cela me fait penser à une superbe réplique du film de gangsters "Justin de Marseille" de Maurice Tourneur (1934) où Justin (Antonin Berval) confie à son ami Le Bègue (Pierre Larquey) qu'il dit toujours la vérité : "Quand j'étais petit, j'avais l'habitude de mentir. Et peut-être qu'en ce moment même je suis encore en train de mentir."

Publicité
<< < 1 2 3 4 5 6 7 8 9 > >>
Publicité
Suivre sur Twitter
Publicité