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le Blog de Lucien-Alex@ndre CASTRONOVO
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  • Prof d'anglais retraité Sous-officier Armée de l'Air Président assos culture, éducation, social 1978-1989 Correspondant presse locale 1989-1995 Conseiller municipal liste Yves Kleniec 1983-1989 Adjoint liste Jean-François Picheral 1995-2001 Parti radical de gauche 1998-2008 Conseiller municipal liste Michel Pezet 2001-2009 Conseiller municipal liste Edouard Baldo 2014-2020 lucalexcas@aol.com
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6 octobre 2007

Images du monde : Tout est pour le mieux…

(Clic sur les images pour agrandir)

Birmanie_une_manie

poutine

chine

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19 septembre 2007

Non au contrôle génétique de l'immigration

URGENT

    

Lisez, signez et diffusez la pétition initiée

par l'association "Sauvons la recherche"

(Clic sur le lien)

http://recherche-en-danger.apinc.org/spip.php?article1625

19 septembre 2007

La police confisquée par le foot et le rubgy

opium

(Clic sur l'image pour agrandir)

Le 14 décembre dernier, sous le titre "Y aurait pas hors-jeu, là ?", je faisais un billet d'humeur sur le nombre de policiers mobilisés lors de certains matchs de foot.

Pour la rencontre d'hier soir au stade vélodrome de Marseille, la presse annonçait l'imposante présence de 335 hommes (200 policiers et 135 militaires), de deux unités de gendarmerie, d'une autre de CRS et d'un groupe supplémentaire de CRS pour patrouiller en centre ville. Avant-hier, à Aix, des joueurs de rugby étaient escortés par des motards de la police.

Pendant ce temps-là, ces agents de la force publique ne peuvent pas remplir leur rôle normal auprès des citoyens attachés à leur sécurité.

Pour ce qui est de la prise en charge des coûts, un début de réponse a été apporté en 1999 par le gouvernement de Lionel Jospin. Cela ne m'empêche pas de penser qu'on est loin du compte quand on sait que l'argent public sert à "protéger" des gens payés en sommes faramineuses par les clubs et des rapaces de grandes marques.

Désolé de le dire, mais je trouve que ça fait aussi mal qu'un grand coup de matraque.

La position officielle de l'Etat

     Sécurité - La mise en place de services d'ordre destinés à assurer la sécurité des manifestations sportives et notamment des rencontres de football engendre, en fonction de la nature du match, un déploiement de moyens humains et matériels de la police et/ou de la gendarmerie nationales.

     Le Championnat professionnel de ligue 1, la Coupe de la ligue et la Coupe de France sont des compétitions qui conduisent, par l'intérêt qu'elles suscitent auprès des supporters et des hooligans, à ce que l'État assure la sécurité et la tranquillité des spectateurs et lutte contre les débordements.

     Une convention signée le 29 octobre 1999 entre l'État, la Ligue professionnelle de football et la Fédération française de football énonce précisément le rôle de chacun des signataires dans la prise en compte des problèmes de sécurité liés au déroulement d'une rencontre de football.

     Elle crée, par ailleurs, des obligations pécuniaires pour les organisateurs dès lors que les missions confiées aux forces de l'ordre sont hors du champ strict des missions régaliennes de l'État.

     Le principe général veut que l'État assume l'étendue de ses responsabilités à l'extérieur des stades alors que l'intérieur est à la charge des organisateurs. Si ces derniers sollicitent de l'État l'exécution de missions qui normalement leur incombent directement, ils entrent dans la logique d'un service donnant lieu à remboursement.

     Les articles 16 et 17 de cette convention dressent la liste des obligations de l'État et celle des missions qui entraînent une rétribution financière.

     Elle prévoit également que chaque rencontre doit faire l'objet d'une réunion, entre les représentants des instances du football et le représentant de l'État, au cours de laquelle sont évoqués les risques connus et les moyens à mettre en oeuvre pour y faire face.

     Cette collégialité permet l'élaboration de devis lorsque l'organisateur manifeste le souhait de confier à la puissance publique une part de ses responsabilités. Lors d'événements caractérisés "à risque", cette prestation de service concerne essentiellement les palpations de sécurité réalisées à l'entrée du stade ou encore la surveillance interne de l'enceinte des tribunes ou de la pelouse.

     Certaines missions des forces de l'ordre à l'extérieur du stade, telles que des préfiltrages de spectateurs, peuvent également donner lieu à un remboursement. Cette opération ayant un lien avec la notion de billetterie, c'est l'organisateur qui en assume la charge financière.

     A titre d'exemple, pour l'ensemble des rencontres de la saison 2004-2005, les clubs professionnels se sont acquittés d'une somme de 644.293 euros au titre des services payés prévus par la convention d'octobre 1999.

14 septembre 2007

Plan de Campagne : Retour au tribunal

Plan_en_plan

Rebelote. Jeudi après-midi, les organisations syndicales CGT et CFDT ont déposé devant le tribunal administratif 68 recours pour faire annuler des dérogations préfectorales autorisant l'ouverture des commerces le dimanche à Plan de Campagne.

Après un premier passage en justice au mois d'avril, qui s'était soldé par l'annulation de 26 dérogations à la demande des deux syndicats, le préfet Michel Sappin avait signé, le 27 juillet, de nouveaux arrêtés d'une durée de onze mois, le temps pour le gouvernement de préparer son projet de loi sur l'ouverture dominicale.

Au total, 135 arrêtés contre 135 dérogations auraient ainsi été signés, et "tous seront attaqués", promettent les syndicats, indiquant que d'autres recours seraient déposés dans les jours à venir.

"Le préfet ne respecte pas la chose jugée et déroge aux principes du repos dominical". Les syndicats ajoutent que le recours est suspensif, autrement dit, les commerces concernés ne devraient pas ouvrir dès ce dimanche.

8 septembre 2007

Pratiques frauduleuses dans l'immobilier

Un article très éclairant de Marie Dancer paru dans le quotidien "La Croix" le 7 septembre.

             

   Les services de la répression des fraudes ont enregistré un nombre record d'infractions dans quatre professions du logement.

    Voilà une enquête dont les résultats sont du plus mauvais effet pour l’immobilier.

   Le service des répressions en France, la DGCCRF (Direction générale de la consommation, de la concurrence et de la répression des fraudes) met en évidence, dans une étude à paraître vendredi, des "pratiques commerciales abusives ou anticoncurrentielles" dans le secteur du logement en France, de la part de "professionnels peu scrupuleux".

   L’état des lieux n’est pas fameux. Il faut dire que le marché, toujours sous tension, aiguise bien des appétits… et des abus.

   En 2006, la répression des fraudes a réalisé plus de 16.700 contrôles dans le secteur. Les enquêteurs se sont penchés sur quatre professions : agences immobilières, constructeurs de maisons individuelles, syndics et diagnostics techniques. Ils ont épluché pratiques tarifaires, conditions d’exercice et politique d’information et de publicité.

   Dans les agences immobilières, on enregistre un "taux record d’infractions", constate la DGCCRF : sur 1.070 agences contrôlées dans 51 départements de France, 830 étaient en infraction par rapport à la réglementation, soit 77,5 %. Pas moins de 154 procès-verbaux et 42 rapports ont été rédigés.

   La liste est longue : publicité mensongère (surfaces affichées supérieures à la réalité), tromperie sur la nature d’une offre (proposition d’un bien déjà vendu), prix pas ou mal affichés, à l’intérieur comme à l’extérieur de l’agence, non-respect des règles de démarchages à domicile – spécialement sur le droit de rétractation –… jusqu’au non-respect des conditions d’exercice de la profession.

Exercice de la profession sans carte

   Parmi les agents contrôlés, certains n’étaient pas titulaires de la carte professionnelle obligatoire ou bien celle-ci était périmée. 

   Les fédérations professionnelles du secteur n’ont pas tardé à réagir. "Le premier problème, réagit René Pallincourt, président de la Fnaim, c’est l’exercice de la profession sans carte. Dans notre fédération, qui compte 10.000 cartes professionnelles, nous réalisons 3.000 à 4.000 contrôles chaque année."

   Reste la question des sanctions. "Il nous est arrivé plusieurs fois d’écrire au parquet pour dénoncer des agents exerçant dans l’illégalité, mais la justice est débordée et nos lettres n’ont pas connu de suites", assure René Pallincourt. Et de réclamer que la DGCCRF ait autorité pour décider la fermeture administrative d’une agence quand le cas se présente.

   Pour sa part, la DGCCRF réclame "l’élargissement de pouvoir de contrôle" de ses agents.

   A l’association de consommateurs CLCV (Consommation, logement et cadre de vie), Thierry Saniez réclame un système équivalant au permis à points. "À chaque fois qu’une agence commet des irrégularités, elle se verrait retirer des points, jusqu’à être interdite d’exercice", décrit-il. "Le nombre d’infractions relevées justifie que soit maintenue une vigilance particulière dans ce secteur d’activité", conclut la DGCCRF, qui revendique son intention de "taper du poing sur la table".

   Une vigilance d’autant plus importante que le poste logement pèse 24 % dans le budget des ménages français, d’après l’Insee. Au plan national, le secteur représente 340 milliards d’euros par an. "Il faut aussi que les banquiers refusent de prêter".

   Autre secteur sur la sellette, les syndics de copropriété, déjà épinglés dans une étude spécifique au premier semestre 2007, et celui des diagnostics techniques, de plus en plus nombreux à être obligatoires. Enfin, la même étude relève "de nombreuses pratiques illicites" chez les constructeurs de maisons individuelles, avec un taux d’infractions de 74 %.

   "Maintenant que le constat est établi, il faut que le parquet engage des procédures judiciaires", réclame Rodolphe de Saint-Hilaire, secrétaire général de la Fédération française de constructeurs de maisons individuelles. "Il faut aussi que les banquiers refusent de prêter s’il n’existe pas de contrat écrit de construction, que les notaires s’impliquent… C’est un travail d’éducation en amont, avec tous les acteurs du système."

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7 septembre 2007

Le commerce, c'est formidable

Les terrasses à leur place

A Aix, le tribunal de grande instance a condamné cinq établissements du centre ville qui n'avaient pas d'autorisation d'occupation du domaine public depuis plusieurs années, certains n'en avaient pas du tout ! Six autres n'en avaient pas non plus mais, entre temps, la mairie avait octroyé l'autorisation avec du retard. S'il est vrai que la mairie s'est fait tirer l'oreille pour délais trop longs, nos chers – très chers – bistrotiers, cafetiers et restaurateurs ne se gênent souvent pas pour étendre leurs terrasses au-delà des limites convenues. Et alors, ça vous dérange ?

Travail au noir

Saura-t-on jamais tout du travail au noir qui, par définition, est forcément clandestin ? On se rend bien compte que certains employés sont exploités jusqu'au sang. Qu'ils font des heures à n'en plus finir et qu'ils sont exténués. On sait bien qu'on ne les paie pas au prix fort et même qu'on ne les paie pas intégralement. Pauvre code du travail et triste irrespect de l'humain. Evidemment, les employeurs n'ont que l'embarras du choix pour recruter des personnes corvéables à merci (6 à 8€ de l'heure !). La main d'œuvre à bon marché est abondante : le besoin de survivre fait nécessité. De nombreux secteurs ont recours à la pratique du travail au noir : travaux publics, services, restauration, vendanges, activités saisonnières, la liste est longue. On truande les employés, on fraude sur le dos de la sécu et du fisc et on instaure une concurrence déloyale au détriment de ceux qui paient leurs charges. Les inspecteurs ne sont pas légion pour traquer les irrégularités du travail non déclaré. Et alors, ça aussi vous dérange ?

Plan de Campagne, modèle du genre

L'été aura été prospère pour la zone commerciale. Outre la décision du nouveau préfet de prolonger les dérogations et de s'asseoir sur la loi en autorisant l'ouverture le dimanche jusqu'en juin 2008, l'été pourri aura favorisé une fréquentation inattendue des commerces. Mais qui y gagne ? Certainement pas les employés qui sont obligés d'aligner des heures pour tenter d'avoir un salaire à peu près décent, la base horaire étant ridiculement basse. Le travail au noir n'est pas moins présent là qu'ailleurs, puisqu'on y trouve nombre d'activités pratiquant l'embauche dissimulée. Et que fait l'Etat ? Le président a déclaré devant ses amis du Medef qu'il était favorable à l'ouverture des commerces le dimanche. Bel encouragement pour l'exploitation, la fraude et la dévalorisation du travail. Moi, tout cela me dérange sigulièrement.

5 septembre 2007

De quoi se prendre la dette

dette

(Clic sur l'image pour agrandir, source Insee)

                                  

Inutile de résumer tout ce qui s'est passé depuis un mois. Les médias en ont fait des tartines. Les sujets bons à crétiniser ont occupé la une. Les télés ont particulièrement bien mis en scène tout ce qui pouvait susciter l'émotion, provoquer la compassion, étreindre les cœurs et réduire les cerveaux.

Idem pour le chef d'orchestre qui n'en a pas raté une pour jouer de tous les instruments pour assourdir le monde environnant et faire marcher la France au pas.

Et pendant ce temps, on oublie le vrai problème qui se pose à notre pays : la dette publique. Notre chère France vit à gros crédit depuis belle lurette, reportant d'année en année sa folle course vers le trou noir.

Comment se fait-il que l'Etat exige des collectivités un budget annuel en équilibre – sous peine de mise sous tutelle préfectorale – et qu'il ne s'applique pas à lui-même cette obligation ? Mystère.

Alors, parler de reprise ne vaut que pour cette période post-vacancière, pas pour l'état de nos finances. Au vu des mesures déjà prises par notre coach national, il faut craindre une aggravation sans précédent. L'année qui vient ne saurait être calme à cet égard.

Plus localement, les élections municipales et cantonales de mars prochain vont revêtir une importance capitale pour ré-équilibrer les pouvoirs et rechercher des moyens d'agir au plus près de nos concitoyens. Evidemment, nous allons beaucoup parler de l'avenir d'Aix et du Pays d'Aix. Que la campagne commence !

31 juillet 2007

Exclusif : Le Tour de France 2008 révélé

sans_dopage

(Clic sur l'image pour agrandir)

En avant-première, voici ce que sera le Tour de France 2008. Il se déroulera à l'intérieur du territoire français, exclusivement avec des coureurs français. Cela épargnera aux organisateurs une nouvelle honte à l'étranger.

Le parcours comprendra 26 étapes, sans répit, ni repos, ni repas. Il y aura quatre étapes spéciales contre la montre : en équipe, en individuel, en file indienne sans guidon dans les Alpes et en marche arrière sans selle dans les Pyrénées. L'arrivée se fera uniquement dans des villes thermales.

Chaque soir, les cyclistes dormiront à la belle étoile afin de les préserver de chutes inopinées sur des seringues cachées à l'insu de leur plein gré dans les hôtels trois étoiles.

Le public devra payer à la place des sponsors désormais tous évincés du Tour. Les marques prédatrices ayant disparu, il n'y aura plus de maillot jaune, ni aucune retransmission télévisée.

Les journalistes sportifs seront systématiquement soumis à un examen de dépistage de neurones. Leur recyclage sera gratuitement assuré par un grand publicitaire spécialisé dans le lavage de cerveau.

Vivement l'été prochain qu'on mette un peu le pied à terre, ça va faire des vacances à nos méninges !

30 juillet 2007

Tour de France : La ligne jaune est dépassée

maillot_jaune

(Clic sur l'image pour agrandir)

28 juillet 2007

Ne vous laissez plus conter fleurette, comptez…

D E V I N E T T E

Le matraquage publicitaire est fait pour conditionner les consommateurs à ne pas réfléchir. De grosses marques dépensent des fortunes dans des campagnes auxquelles personne ne peut échapper. Elles montrent des produits mais se gardent bien de dire à quelle arnaque les acheteurs sont soumis. Sur son blog (lien ci-dessous), Claude-Marie Vadrot dénonce une escroquerie bien crapoteuse sous forme de devinette.

                           

"Qu'est-ce qui vaut 146,36€ le kilo dans un super ou hypermarché

et que des milliers de couillons achètent ?"

                                  

Cherchons un peu. Non, ce n'est pas du caviar, ni de la truffe, ni un produit de luxe… Alors, quoi ? Ben, c'est tellement énorme qu'on en mangerait les pissenlits par la racine. Réponse :

"Le coriandre, le basilic et la ciboulette fraîche sous plastique dans un emballage qui pèse plus lourd que le produit. Marque Florette."

Vu le pilonnage publicitaire de la marque sur tous les écrans de télévison et dans la presse, ça doit rapporter un maximum ! Idem pour la salade de chêne vendue au prix de 15,20€ le kilo.

Au marché du coin, les producteurs vendent les herbes à 50 centimes le bouquet de 200 grammes, soit 2,50€ le kilo. Quant à ladite salade, elle vaut 1€ pièce pour pratiquement un kilo.

Chacun en tirera sa propre morale… Moi, je ne risque plus de me laisser manger mon blé... en herbes de chez F…

Voir le blog de Claude-Marie Vadrot aux dates des 18 et 21 juillet :

http://horreurecologique.blogspot.com

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