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le Blog de Lucien-Alex@ndre CASTRONOVO
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  • Prof d'anglais retraité Sous-officier Armée de l'Air Président assos culture, éducation, social 1978-1989 Correspondant presse locale 1989-1995 Conseiller municipal liste Yves Kleniec 1983-1989 Adjoint liste Jean-François Picheral 1995-2001 Parti radical de gauche 1998-2008 Conseiller municipal liste Michel Pezet 2001-2009 Conseiller municipal liste Edouard Baldo 2014-2020 lucalexcas@aol.com
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12 avril 2007

Rognes, Cabriès, Meyrargues, Venelles… ça va mal

Quelle démocratie en Pays d'Aix ?

La loupe de l'actualité est souvent focalisée sur Aix à cause de la taille et de la place centrale de notre ville dans le paysage de la région. Mais, à y regarder de plus près, la vie politique locale n'y est pas moins houleuse dans le pays d'Aix qu'ici. Ces dernières semaines, dans certaines communes voisines, le climat s'est envenimé et les polémiques ont enflé au sein des conseils municipaux.

Aux dires de certains élus, voire des habitants, ces mouvements ne sont pas de circonstance. Ils ne font que s'ajouter, avec une acuité plus grande que d'habitude, aux mauvaises pratiques qui se perpétuent depuis longtemps à cause de maires qui se prennent pour des Napoléon, qui n'en font qu'à leur tête et qui gouvernent comme des potentats. Pour eux, les élus minoritaires n'ont pas leur mot à dire, les associations sont quantité négligeable et la population n'a qu'à obéir. Etrange conception de la démocratie.

On apprend qu'à Rognes, le maire a refusé de communiquer des dossiers préparatoires, droit prévu par la loi, et, lorsqu'il a consenti à le faire pour quelques élus, lesdits dossiers étaient scandaleusement vides. C'est ce genre d'incident qui a amené les élus de l'opposition à décider de quitter la séance publique du conseil municipal de mars. Bonjour, la transparence. Etonnons-nous ensuite que les séances se déroulent dans une atmosphère électrique.

A Cabriès, c'est le CIQ, réuni en assemblée générale annuelle, qui dénonce les décisions prises par le maire dans l'urgence, sans concertation, ni respect du bien public, ni étude préalable pour les projets de la commune et notamment au sujet du plan global d'aménagement qu'ils réclament à cor et à cri.

A Meyrargues, on ne compte plus le nombre de séances publiques annulées ou reportées. Quorum insuffisant, maire ne réussissant pas à mettre tout le monde d'accord, la coupe déborde.

Quant à Venelles, il semble bien que tous les records soient battus. Si l'on en croit, et pourquoi ne pas les croire, les témoignages des élus et de la population qui participent ou assistent témérairement au conseil municipal, quasiment chaque séance voit l'opposition et le maire s'affronter sans répit. Jugé autocratique, le maire joue de tous les tours possibles pour s'affranchir d'une nécessaire vie démocratique et pour créer des rebondissements sans fin.

Les exemples fourmillent : disparition de l'Office municipal de la culture et de la jeunesse (OMCJ), carence de logements publics sociaux, polémique sur la régie de l'eau, pouvoir personnel, méthodes expéditives, dérives de langage, entorses au protocole, absence d'information des élus, procès contre certains d'entre eux, annulation de conseils. La sérénité du débat fait défaut et les esprits s'enflamment. Ubu a un roitelet de fils et les Venellois n'ont qu'à porter sa chaise.

Triste spectacle que ces frasques qui n'honorent pas la politique. Je me dis que ces communes n'ont pas grand-chose à envier à Aix. Elles aussi ont droit à leurs bouffonneries à domicile. Espérons que ce sont là les dernières représentations et que bientôt viendra le temps de changer de pièce.

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5 avril 2007

Fête foraine : Chorro en habit de Zorro

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La fête foraine a plié manèges, non sans laisser quelques traces. Mais que chacun se rassure, Chorro va y veiller en jouant à Zorro pour que tout rentre dans l'ordre à la pointe de son épée et... à l'aide d'huissiers. Des riverains du quartier lui ont envoyé dire qu'ils n'étaient pas contents de ce qu'ils ont vu et vécu. Lui, se félicite de la qualité de ses décisions rusées et promet qu'il n'en coûtera pas un centime aux Aixois, à part... le prix déjà payé pour le parking et ce qui relève de l'entretien par les services municipaux. Même pas le coût d'une pioche miraculeuse à la "Pêche aux canards". La seule chose que personne ne pourra lui reprocher, c'est qu'à cette fête, pour ce qui est des bonimenteurs, Chorro n'aura eu à souffrir d'aucune concurrence digne de la sienne.

4 avril 2007

Sans-abri : Joissains perd et fait appel… à la bêtise

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Encore raté ! La demande de Joissains, juriste et maire-la-morale, a fait un gros plouf. Lors du dernier conseil municipal, je lui ai demandé d'informer les élus sur la situation des sans-abri à Aix. Elle a refusé au prétexte qu'elle avait saisi la justice et qu'elle ne pouvait pas commenter une affaire en cours. Relançant ma question, j'ai insisté pour qu'elle nous fasse connaître les mesures sociales prises ou qu'elle entendait engager. Nouvelle fin de non-recevoir.

Quand on est à ce point incapable d'écouter, de dialoguer et de traiter les problèmes, il ne faut plus s'étonner de rien. Et voilà que le juge des référés du tribunal de grande instance vient, une nouvelle fois, de débouter la Ville de sa demande d'expulsion des Enfants de Don Quichotte installés place Jeanne d'Arc, estimant que le "caractère manifestement illicite de la situation n'est pas suffisamment établi en l'absence de propositions sérieuses de mise en oeuvre du droit au logement".

La vérité éclate derechef et les contorsions juridiques et bouffonnes du maire pour repousser sans cesse des mesures de bon sens n'y pourront rien. Aix est de plus en plus ridiculisée par Joissains qui s'entête à demeurer complètement déconnectée des réalités et des urgences humaines.

D'ailleurs, quelle a été sa réaction ? "Je prends acte de la décision et je fais appel". Appel de quoi ? Ou plutôt appel à quoi ? A une énième bêtise sans nom ?

4 avril 2007

Plan de Campagne : Le préfet est-il un délinquant ?

Plan

Un autre qui devrait donner le bon exemple mais qui se moque du monde, c'est bien le préfet. Le 26 janvier, prétextant que "la fermeture brutale serait extrêmement dommageable pour les entreprises et donc pour l'emploi", il avait pris des arrêtés illégaux en toute connaissance de cause.

"Fermeture brutale" : cela fait 40 ans que ça dure ! "Cet arrêté est d'une très grande fragilité juridique", avait-il déclaré. Le voila aussi tombé dans le ridicule. Pas seulement d'ailleurs. Dans quel pays, un préfet de la République, censé faire respecter la loi, peut-il la détourner de la sorte ? Cela s'appelle de la délinquance, non ?

Heureusement que tout n'est pas pourri et qu'il y a encore espoir de voir le droit appliqué. Le tribunal administratif de Marseille ne s'en est pas laissé compter. Il vient d'annuler les dérogations accordées par ledit préfet autorisant l'ouverture dominicale de 25 magasins (sur 141 en bénéficiant) de la zone commerciale de Plan de Campagne, pour six mois. Comprendre : si Sarkozy est élu, il aura les coudées franches pour casser définitivement le code du travail.

Mauvais calcul donc. La décision du tribunal est conforme aux conclusions du commissaire du gouvernement rendues le 20 mars à la demande de la CGT et de la CFDT. Le jugement va maintenant être transmis au procureur de la République et à l'inspection du travail. Les commerçants vont devoir fermer le dimanche sans possibilité d'y déroger car même un recours de leur part ne rendrait pas la décision suspensive. S'ils ne le font pas, ils s'exposent à des amendes ou à des poursuites devant le tribunal.

Moi, j'aimerais que l'on me dise pourquoi le gouvernement ne relève pas illico un tel préfet de ses fonctions, qui avait annoncé : "Je prends mes responsabilités, aux partenaires sociaux de prendre les leurs." On a vu. Il faut assumer, espèce de préfet !

3 avril 2007

Les intermittents sur la paille et... sans paillettes

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On ne les voit vraiment jamais. Quand on regarde la télé, quand on va voir un film, quand on va au théâtre ou au spectacle vivant, quand on participe à une grande ou à une petite fête, on ne les voit pas. Pourtant, sans eux, rien n'est possible. A Aix, en 2003, l'annulation du festival d'art lyrique, notre grosse vitrine, a montré que sans eux la machine s'arrête. De casse en casse, le gouvernement de droite n'a rien résolu. Les intermittents sont toujours sur la paille, ils ont l'habitude. Les paillettes ne sont décidément pas pour eux.

Ce 1er avril, la mise en application de la réforme de l'assurance-chômage des intermittents est encore plus préoccupante. Après quatre ans de conflit, leur colère couve toujours. Ils sont actuellement 100.000. Cela pourrait de nouveau faire mal. Les artistes et techniciens n'ont pas obtenu ce qu'ils réclamaient. En dépit de quelques améliorations, le texte qui vient d'entrer en vigueur reprend les grandes lignes de celui de l'été 2003. Pourtant, de nombreuses voies alternatives ont été proposées.

A quelques semaines du départ de Donnedieu de Vabres, après des promesses dignes d'un numéro de contorsionniste, force est de constater qu'il n'a pas réussi à régler ce dossier. Dans l'immédiat, le nouveau régime, moins protecteur que le précédent, risque d'exclure du système de nombreux intermittents, sans que les vrais abus, comme l'emploi de l'intermittence dans l'audiovisuel, soient corrigés. Comme l'a souligné la Cour des comptes, les gains financiers de cette réforme restent largement incertains. Et j'ajoute, encore une charrette de précaires, une !

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26 mars 2007

Le rêve passe… Aix devient ville de ces ânes

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(Clic sur chaque photo pour agrandir)

Voici le grandiose spectacle que j'ai découvert ce dimanche en empruntant l'avenue Pierre Brossolette jusqu'au rond point de Pont de l'Arc. Il y a quelques années, y trônait une fontaine qui n'avait jamais fonctionné depuis sa création. Lorsque j'étais adjoint du quartier, je l'avais fait remplacer par un aménagement fleuri. L'image du secteur s'était améliorée.

Alors, hier matin, est-ce parce que le printemps s'est installé que des feuilles de papier ont poussé sur tous les poteaux métalliques ? Si c'était là un des effets du réchauffement climatique et des conséquences inattendues qu'il provoque, il y aurait de quoi s'inquiéter. Mais, non, c'est le laxisme de la mairie qui en est la cause.

Pire, l'UMP, parti du maire, étale sauvagement, tel un marchand de tapis, la photo de son candidat en plusieurs exemplaires sur les panneaux directionnels et d'information municipale.

Aix, ville de Cézanne ? C'était un rêve.

26 mars 2007

Neuilly, hors la loi

Malgré la pluie, plusieurs centaines de personnes ont participé samedi après-midi à une chaîne humaine face à l'Hôtel-de-Ville de Neuilly-sur-Seine, dirigée pendant 19 ans par Sarkozy. Tous les élus PS, PRG, MRC des Hauts-de-Seine étaient présents. Aux cris de "Des logements pour tous" et "Neuilly hors la loi", l'objectif était de dénoncer le cynisme des élus de villes dirigées par la droite qui refusent le logement pour tous et tout simplement que tous puissent se loger.

Il a été rappelé que Sarkozy aime dire que "vivre à Neuilly-sur-Seine se mérite". En effet, le parc de logements de Neuilly est composé de 2,7% de logements sociaux, alors que le minimum légal est de 20 % !

Et l'Elysée, c'est classé dans quelle catégorie ? Empêchons Sarkozy d'aller y faire sa politique de Neuilly.

24 mars 2007

Télésurveillance à Marseille : images pour "vidéo gag"

videosurveillance

Des yeux électroniques partout ! Forcément, on s'habitue. A la banque, au supermarché, dans le métro, à la Poste, au tabac, à la Sécu, au feu rouge, chacun de nos gestes est observé. Alors, Marseille s'apprête à en remettre une couche avec 29 nouvelles caméras de télésurveillance (cela en fera 52 en tout) en centre-ville dans le secteur Vieux-Port et République notamment. Le dispositif sera relié aux écrans de contrôle du centre de la Belle-de-Mai, à deux pas des studios de "Plus belle la vie".

Le coût de cette opération ? Restez assis : 1,5M€. Mais quelle est l'efficacité réelle de ces équipements ? C'est la question soulevée par l'opposition municipale qui réclame, en vain, un bilan chiffré. "A la rue St-Ferréol, cela n'a rien changé, comme le démontre la multiplication des petits délits", déplore le groupe socialiste, pour qui les caméras municipales sont de la poudre aux yeux.

Le périmètre surveillé est restreint et les résultats ne sont pas probants. Et pour cause. Les caméras n'ont fait que déplacer la délinquance. Les petits trafics se poursuivent un peu plus loin. Comme ce qui se prépare à Aix avec des enregistrements qui ne seront vus que le lendemain, à Marseille, les images ne sont visionnées que 4 ou 5 jours par semaine, entre 7h et 19h !

A ces incohérences, s'ajoute le manque de formation des opérateurs qui ne font qu'alerter la police sans pouvoir agir. Et la police n'intervient que si une équipe est disponible.

Ne riez toujours pas. A Aix, il n'y aura personne devant les écrans !

Conclusion : des sommes d'argent considérables qui ne serviront pas à surveiller les zones les plus criminogènes bien connues.

Consolation : cela fera de belles images pour "vidéo gag" !

23 mars 2007

Plan de Campagne : le tribunal contre le préfet !

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Coup de poker ou coup d'épée dans l'eau ? Alors que nombre d'enseignes de Plan de Campagne qui auraient dû fermer le dimanche continuent à ouvrir, une partie décisive s'est jouée cette semaine devant le tribunal administratif de Marseille. La CGT et la CFDT demandaient à la justice l'annulation de vingt-cinq arrêtés de dérogation pris par le préfet pour des enseignes de la zone commerciale.

L'avocate de la CGT a évacué d'emblée les cas de dérogation prévus par le code du travail (lorsqu'il est établi que le repos de tout le personnel d'un établissement serait préjudiciable au public ou compromettrait le fonctionnement normal de cet établissement) et les arguments des sociétés qui n'ont pas réussi à démontrer que le public ne peut pas reporter ses achats sur le reste de la semaine.

"Les entreprises assurent en outre qu'il y aurait une perte du chiffre d'affaires en cas de fermeture. Mais celui-ci résulte d'une situation illégale !" Et de préciser aux parties adverses qui demandent au tribunal, en cas d'annulation des arrêtés, de différer leur application : "Un accord signé en 2002 avait justement pour but de permettre aux sociétés de se retourner. Or rien n'a été fait depuis."

Des arguments repris par l'avocat de la CFDT : "Vous bénéficiez d'un avantage anticoncurrentiel. Si vous vous réclamez de la libre concurrence, respectez-la vous-même !"

En face, les avocats des enseignes multiplient les pirouettes juridiques : enquête marketing favorable du public, non représentativité des syndicats ou droit européen. "Pourquoi cibler 25 entreprises sur 141 bénéficiant de dérogations, s'interroge le conseil d'une vingtaine d'enseignes ciblées par les syndicats. En cas d'annulation des arrêtés, vous aurez une centaine de sociétés qui continueront à travailler le dimanche, ce qui créera une distorsion concurrentielle."

Le commissaire du gouvernement a conclu à l'annulation des arrêtés. Le délibéré a été fixé au 3 avril.

Pour rappel, je signale que, lors du conseil municipal d'Aix le 19 février dernier, nous n'étions que trois élus de l'opposition à avoir voté contre l'ouverture dominicale pour les mêmes raisons que celles prononcées par le tribunal administratif !

22 mars 2007

Mais qui va écouter les CIQ ?

Ton de déception et de colère. Ces deux dernières semaines, quatre CIQ ont tenu leur assemblée générale annuelle (j'ai assisté à trois d'entre elles). Au-delà des questions spécifiques à chacun de leurs quartiers, ce qui est revenu le plus souvent dans les débats, de façon variée, a été le manque d'informations et d'écoute par la municipalité.

Les faits leur donnent raison. Ni le maire, ni aucun "grand" élu aixois n'a répondu à leurs invitations. Pourtant, les comités de quartier jouent un rôle démocratique essentiel, connaissent les problèmes sur le bout des doigts et initient d'innombrables propositions pour leur cadre de vie.

C'est d'ailleurs pour cela, que la Fédération des CIQ prépare un "livre blanc" en vue des prochaines élections.

CIQ des Trois-Sautets

Le CIQ intercommunal a stigmatisé l'état de désert dans lequel est laissé ce secteur "en déshérence, dégradé, sans logique d'aménagement", malgré les grandes promesses de Chorro qui, l'année dernière encore, s'engageait à régler illico les problèmes de sécurité routière. Le CIQ demande que cet axe soit étudié globalement comme une entrée de ville, qualifiant la situation actuelle de "entrée de ville la plus minable d'Aix". Les riverains attendent toujours.

CIQ de la gare

De nombreuses interrogations ont porté sur la future gare routière. Dans la salle, certains habitants ont exprimé avec virulence qu'ils se sentaient méprisés par la mairie. Le second sujet de leur colère a été la reprise du boulevard Charrier. L'adjointe du quartier s'est contentée de proposer pour l'instant qu'on recouvre d'un enrobé de goudron quelques mètres de la voie. Par ailleurs, les résidants ont rappelé que diverses demandes de travaux s'accumulaient sans réponse de la part de la mairie.

CIQ Sextius-Mirabeau-Europe

Si les administrateurs ont pu donner quelques renseignements sur l'état d'avancement du quartier et la gare routière, c'est parce qu'ils ont participé à des réunions. Mais, tout était présenté au conditionnel, aucun adjoint concerné n'était là pour donner les précisions qu'ont réclamé les riverains. Les habitants ont aussi demandé qu'un point soit fait sur la demande de création d'une crèche.

CIQ Quartiers Est

Le bureau avait sciemment fait l'impasse sur les élus de crainte qu'il n'y ait des propos électoraux, sans doute échaudés par les promesses non tenues, certaines depuis ces dernières  années. Ont cependant été abordées les questions d'un couloir de bus avenue Fontenaille, les nuisances de la fête foraine et l'idée d'une "coulée verte" le long des cours d'eau. Quand y verra-t-on plus clair, nul ne le sait.

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