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le Blog de Lucien-Alex@ndre CASTRONOVO

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  • Prof d'anglais retraité Sous-officier Armée de l'Air Président assos culture, éducation, social 1978-1989 Correspondant presse locale 1989-1995 Conseiller municipal liste Yves Kleniec 1983-1989 Adjoint liste Jean-François Picheral 1995-2001 Parti radical de gauche 1998-2008 Conseiller municipal liste Michel Pezet 2001-2009 Conseiller municipal liste Edouard Baldo 2014-2020 lucalexcas@aol.com
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4 juin 2007

Le tableau noir du "travailler plus"

tableau_noir

Il n'est pas difficile de comprendre que la réforme annoncée sur les heures supplémentaires n'est que de la poudre aux yeux. Un simple calcul montre à quoi cela peut mener.

     Un patron a 10 employés qu’il paie 10 euros brut de l’heure pour 35 h.

Ÿ Question 1 :

    Sachant que le taux de charge patronal est de 50% du brut, combien lui coûtent 350 h de travail par semaine ?

10 employés X 35 h = 350 h travaillées

350 h X 10 € = 3500€

3500€ + 50% (charges) = 5250€

Ÿ Question 2 :

   Si les heures supplémentaires sont exemptées de charges sociales, sachant qu'elles seraient payées 10% de plus (contre 25% avant que la droite ne revienne au pouvoir), le patron licencie un employé et fait faire des heures supplémentaires aux 9 autres. Combien coûtera cette même semaine de travail au patron ?

9 employés X 35 h = 315 h travaillées

315 h X 10 € = 3150€

3150€ + 50% (charges) = 4725€

+ 35 h supplémentaires (35 h X 10€ + 10% = 385€) = 5110€

Ÿ Question 3 :

    Combien d’emplois créés ? Zéro

Ÿ Question 4 :

    Combien de chômeurs en plus ? Un

Ÿ Question 5 :

   Et l’équilibre de la Sécurité sociale et Assedic ? Le déficit est accru de 175€ par semaine en recette + un chômeur à payer en plus.

Ÿ Question d’approfondissement :

   Imaginons quel serait le résultat dans la grande distribution ou toute autre industrie de main d'œuvre (à multiplier par 52 semaines par an).

Voilà pourquoi on parle globalement d'un coût de 4 à 5 milliards d'euros à charge de l'Etat pour l'exonération ou la défiscalisation des heures supplémentaires ! Tant qu'on y est, pas la peine de se gêner pour aggraver le déficit des comptes de la nation... au profit des employeurs.

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4 juin 2007

Travail : Sauver le dimanche

sauver_le_dimanche

(Clic sur l'image pour agrandir)

En pays d'Aix, la question de l'ouverture dominicale de la zone commerciale de Plan de Campagne n'en finit pas d'être posée et... non résolue.

Certaines grandes enseignes ne respectent plus la loi et attendent que le nouveau gouvernement modifie – voire plus – le code du travail.

Leurs arguments ne sont que commerciaux et ne prennent pas en compte les aspects salariaux et humains de ceux qui doivent renoncer à leur repos du dimanche. En outre, beaucoup d'emplois sont des CDD et mal payés, ce qui oblige les salariés à cumuler des heures soi-disant mieux payées au lieu de voir le taux horaire bien rémunéré.

La vraie question est donc bien celle de la juste rétribution du travail et non les heures à rallonge pour essayer d'atteindre un semblant de salaire correct.

Certaines corporations du commerce ont analysé la réalité économique de la situation et se battent maintenant pour le repos dominical.

Dix fédérations patronales et cinq syndicats de petits commerçants ont lancé une campagne nationale en faveur du maintien du repos dominical. Des milliers d'affiches représentant un pull détricoté avec le slogan "Ne tirons pas sur la corde" ont commencé à être distribuées.

Pour en savoir plus :

www.reposdominical.com

4 juin 2007

Tu vas à quelle école, toi ? (2)

Carte scolaire : Assouplir, réformer, supprimer ?

carte_scolaire

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La position la plus extrême est celle de Nicolas Sarkozy pour qui il faut supprimer la carte scolaire, laisser le libre choix aux familles et parallèlement donner plus d’autonomie aux établissements.

Cette position libérale repose sur une vision de l’éducation comme marché scolaire dans lequel une offre de formations et une demande d’éducation se rencontrent, la concurrence sanctionnant les établissements "les moins bons", les moins performants et récompensant "les meilleurs".

Mais, outre que cette vision de l’éducation peut inquiéter (négation de la mixité, sélection des élèves et hiérarchisation accrue des établissements), elle est de plus une mauvaise représentation de la réalité.

En effet, tous les acteurs ne sont pas à même de tirer profit de cette concurrence dans l’offre scolaire. Les familles les plus favorisées seront les plus capables de choisir les "meilleurs" parcours scolaires pour leurs enfants, tandis que les familles modestes risquent de se retrouver "captives" et devant une offre scolaire moins diversifiée et moins socialement valorisée, même à "potentiel égal" de leurs enfants.

Plusieurs personnalités politiques et du monde de la recherche plaident pour une réforme de la carte scolaire mais mettent en garde contre les effets pervers (et l’hypocrisie) de sa suppression, en proposant des solutions différentes : assouplissement (possiblement expérimental) pour certains, renforcement pour d’autres.

L’objectif qui semble demeurer prépondérant pour beaucoup est celui de la recherche de la mixité, mais différentes voies sont proposées :

- Recherche de la mixité spatiale à défaut de mixité scolaire pour certains : assouplir la carte scolaire afin de faire revenir dans certains quartiers des classes sociales qui avaient fui la dégradation des établissements du secteur.

- Prise en compte du privé sous contrat dans la sectorisation pour d’autres afin de limiter les fuites.

- Enfin, mise en place effective de la mixité sociale dans les établissements par l’obligation d’avoir un public socialement diversifié.

La suite demain.

4 juin 2007

Sarko écolo avant les autres

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On sait qu'il existe un trafic de bois tropicaux, d'ivoire d'éléphants, de cornes de rhinocéros, de bébés singes, de tortues égyptiennes, de peaux de félins. Mais on connaît peut-être moins celui d'anguilles européennes, très prisées par les Japonais, ou de poissons-scies vendus vivants pour les aquariums et dont la viande et les nageoires sont consommées. L'achat de ces animaux menacés de disparition est interdit ou réglementé. Il faut donc protéger 5.000 espèces animales et 28.000 espèces végétales.

La 14e conférence de la Convention de Washington, qui a lieu tous les trois ans et dont 171 pays sont signataires, s’est ouverte dimanche à La Haye (Den Haag), aux Pays-bas. 2.500 experts, diplomates et représentants d'ONG se réunissent jusqu’au 15 juin pour tenter de renforcer la réglementation sur le commerce des espèces sauvages (faune et flore). En France, comme pour beaucoup d'autres dossiers, Sarkozy a des idées sur tout… et là, franchement, avec la Mireille, il tient un bon bout.

3 juin 2007

En juin, "Le Ravi" offre une bouée

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(Clic sur l'image pour agrandir)

Encore un beau numéro ce mois-ci. "Le Ravi" s'est peint en bleu pour tenter de conjurer la vague des législatives. On y trouve de très bonnes analyses sur les enjeux des élections et, évidemment, de nombreuses chroniques dont la pertinence le dispute à l'humour. A vos kiosques ! 2,80€ seulement. Et ne venez pas me dire que vous n'avez pas cette misère en poche !

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3 juin 2007

Tu vas à quelle école, toi ? (1)

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(Clic sur l'image pour agrandir)

L'année scolaire en est à ses dernières semaines. En septembre prochain, dans quel établissement iront les enfants ? Comment cela fonctionne ? Les familles se posent des questions. Au conseil municipal d'Aix, nous avons demandé des éclaircissements sur les intentions de la mairie. Les réponses ont été confuses. Voici quelques éléments pour comprendre. Et d'abord, précisons la différence entre carte scolaire et sectorisation.

I. Qu’est-ce que la carte scolaire ? 

   La carte scolaire a été créée en 1963 pour définir la répartition des élèves mais aussi la répartition des moyens (professeurs, dotation horaire) des établissements scolaires. A l'origine, elle devait accompagner l'allongement de la scolarité obligatoire en 1959 et la création des collèges.

Cette sectorisation permet à l'Éducation nationale de planifier les ouvertures et les fermetures de classes en fonction du nombre prévisionnel d'élèves. Elle change donc chaque année en fonction des évolutions démographiques. De géographique et démographique, la définition de la carte scolaire s'est élargie en 2001 à des critères sociaux.

Et depuis 2004 et la loi de décentralisation, elle tient compte "de critères d'équilibre démographique, économique et social, de la localisation des établissements, leur capacité d'accueil, leur secteur de recrutement et du mode d'hébergement des élèves". Enfin, les collectivités territoriales ont été amenées à jouer un rôle de plus en plus important avec les différentes lois de décentralisation.

II. Qu'est-ce que la sectorisation ? 

   L'affectation d'un élève dans une école, un collège ou un lycée relevant de l'enseignement public obéit à la sectorisation scolaire. Les élèves sont scolarisés dans l'établissement scolaire correspondant à leur lieu de résidence.

     -- Quels sont les objectifs de la sectorisation ?

La sectorisation scolaire répond à un triple objectif :

  - veiller à ce que le nombre d'élèves inscrits dans chaque établissement scolaire corresponde aux possibilités d'accueil de cet établissement ;

  - éviter que des établissements soient dépeuplés tandis que d'autres, voisins, seraient surchargés ;

  - promouvoir la mixité sociale, base de l'égalité des chances et de l'intégration.

     -- Comment ça marche ?

   • pour les écoles maternelles et élémentaires

Certaines communes possédant plusieurs écoles maternelles et élémentaires établissent une sectorisation scolaire, c'est-à-dire que le territoire communal est découpé de telle sorte que les habitants d'un secteur doivent scolariser leurs enfants dans l'école de ce secteur. C'est une décision de la mairie : celle-ci définit les différents secteurs, affecte les élèves et traite les éventuelles demandes de dérogation relatives à la sectorisation. Une dérogation à la sectorisation scolaire peut être accordée, à titre exceptionnel, par la mairie de la commune. Elle permet à un enfant d'être admis dans une école maternelle ou élémentaire qui n'est pas celle correspondant à son lieu d'habitation.

   • pour les collèges

Chaque collège public accueille les élèves domiciliés dans sa zone de recrutement. Ainsi, tout élève, selon son lieu d'habitation, dispose d'un collège dit "de secteur" pour suivre sa scolarité de la 6ème à la 3ème. La résidence habituelle des représentants légaux de l'élève détermine le collège de secteur. Conformément à la loi du 17 août 2004 relative aux libertés et responsabilités locales, la définition des secteurs de recrutement des collèges publics est désormais une décision du conseil général de chaque département.

Une dérogation à la sectorisation scolaire peut être demandée. Les représentants légaux de l'élève doivent remplir un document qui est à demander à la direction de l'école élémentaire. Ce document est à joindre au dossier de demande d'affectation en 6ème. Les dérogations ne peuvent cependant être accordées que dans la limite des places restant disponibles après l'affectation prioritaire des élèves relevant de ce secteur.

   • pour les lycées

Chaque lycée public accueille les élèves domiciliés dans sa zone de recrutement. Ainsi, tout élève, selon son lieu d'habitation, dispose d'un lycée dit "de secteur" pour suivre sa scolarité. La résidence habituelle des représentants légaux de l'élève détermine le lycée de secteur. La zone de recrutement de chaque lycée est fixée par un arrêté pris par l'Inspecteur d'académie, en liaison avec le recteur.

Une dérogation à la sectorisation scolaire peut être demandée. Dès l'expression de sa demande d'orientation, l'élève qui souhaite d'être admis dans un lycée différent de son lycée de secteur doit remplir une fiche "Demande de dérogation". La demande est à remettre à l'établissement d'origine.

La carte scolaire dans son acception la plus large est donc à la fois un outil de gestion des flux d’élèves et de personnels et un instrument de préservation de la mixité sociale à l’école par la sectorisation, qui impose aux familles l’établissement de scolarisation de leurs enfants.

Cependant, force est de constater que l’objectif de mixité sociale n’est pas atteint, notamment en raison de nombreux assouplissements, contournements et détournements de la carte scolaire. Non seulement la carte scolaire (comprise ici du point de vue des familles) n’est pas efficace mais elle est de plus contestée dans ses principes au nom du "libre choix" des familles.

La suite demain.

2 juin 2007

Le faire et le dire

montaigneUn week-end est-il suffisant pour amender autant que se peut nombre de gros travers dont notre petit cerveau est capable ? Si l'exercice semble clairement exprimé, la pratique n'en est pas moins furieusement périlleuse.

"C'est une belle harmonie quand le faire et le dire vont ensemble." Montaigne

2 juin 2007

Nouvelles de chez nous

Marché du cours Mirabeau : Les forains en pétard

La semaine dernière, les forains ont rencontré de grosses difficultés pour s'installer sur le marché du centre ville. Face à la position incompréhensible de la mairie, ils ont lancé une pétition de soutien auprès du public. Je le répète ici, est-il si incongru d'établir un dialogue ? L'adjoint à l'espace public ne joue pas son rôle d'intermédiaire. Quand la municipalité va-t-elle cesser de regarder de haut des gens qui font vivre le cœur de la ville ?

Cela fait un an que les forains ont soulevé le problème des emplacements – ils ont même demandé l'annulation par le tribunal administratif d'une décision du conseil municipal – et que la situation reste floue, empêchant le travail de plusieurs dizaines de personnes. N'est-il pas temps de s'asseoir autour d'une table plutôt que de tourner autour du pot ?

Tag ta maire (suite)

tag_quartiers

(Clic sur l'image pour agrandir)

La Ville a engagé d'énormes sommes (1,5M€ sur trois ans) pour tenter de lutter contre les tags prioritairement en centre ville. Le problème, c'est que les délits se sont déplacés en force hors le périmètre traité. Pas un coin de la ville n'est désormais épargné dès que l'on quitte les boulevards de la ceinture périphérique.

Des endroits jusque là exempts de toute dégradation sont maintenant la cible de ces coups de peinture disgracieux. On s'attaque carrément à des murs de maison et à des panneaux de signalisation. Quant aux murs anti-bruit, jamais ils n'avaient connu des raids aussi massifs ! La photo montre un exemple de dégâts commis sur l'avenue Pierre Brossolette, à deux pas de la Rotonde.

2 juin 2007

Mon collègue Malik, candidat à Vitrolles

J'entends souvent des gens dire qu'ils votent pour "une personne" et pas forcément pour un parti politique. Personnellement, j'ai toujours choisi en fonction des idées. Mais je peux comprendre que l'on se positionne autrement. Ainsi, vais-je faire exception pour lancer un clin d'œil en direction de Vitrolles.

Mon collègue de travail de longue date, Malik Mersali, adjoint à l'éducation, se présente à la législative de la 12e circonscription (Vitrolles, Marignane, Châteauneuf, Berre) en tant que suppléant de Suzanne Catelin.

Nos combats communs à gauche tout comme notre amitié remontent à pas mal d'années. Voilà pourquoi je fais confiance à la sincérité de Malik, à son sens de la justice et à sa capacité d'action.

Pour lui, l'engagement dans la vie publique est quelque chose de sérieux car il sait que le progrès passe par la décision politique. Alors, si vous êtes du coin, allez à sa rencontre, vous ne serez pas déçu(e).

Pour mieux faire sa connaissance, voici son blog :

http://vitrolles.comm.over-blog.com

1 juin 2007

La démocratie française malade de ses dérives

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(Clic sur l'image pour agrandir)

C'est pas juste !

Cela fait deux fois en moins de dix ans que mon nom est tiré au sort pour faire partie de la liste des jurés de la cour d'assises d'Aix. Je vois dans ce processus l'un des éléments républicains fondamentaux de l'exercice de la justice "au nom du peuple français". Il n'en reste pas moins que je suis troublé par ce qui se passe au sommet de l'Etat.

Sarkozy a décidé, à juste titre, d'abandonner la tradition de l'amnistie présidentielle qui profitait à ceux qui avaient enfreint la loi.

Personnellement, par exemple, j'ai toujours été contre le coup d'éponge sur les infractions au code de la route. Mais ce qui est surprenant, c'est que le même Sarkozy ne s'est jamais gêné de griller les feux tricolores, ni comme ministre ni comme président, sa promenade en voiture lors de la soirée de son élection en a fourni une belle preuve.

Autre cas, je me demande comment la justice peut aller au bout de toutes ses prérogatives quand les connivences et les pressions politiques l'en empêchent. Combien de gros poissons ont payé le juste prix pour leurs énormes délits ? Cette semaine, Arnaud Lagardère – tout le monde sait qui il est, ce qu'il fait et quels sont ses amis – a été interrogé pendant neuf heures par les enquêteurs de l'Autorité des marchés financiers qui cherchent à savoir si un délit d'initiés a été commis par les dirigeants et actionnaires d'EADS.

En reparlera-t-on dans quelques jours, quelques semaines ou quelques mois ? Y aura-t-il des sanctions et à quelle hauteur ? La population a toujours l'impression que la justice n'est pas la même pour tous.

Enfin, après une saga de plusieurs décennies, Chirac sera-t-il entendu, voire poursuivi, à partir du 16 juin, date à laquelle, il sera redevenu définitivement un citoyen ordinaire et justiciable comme n'importe quel imbécile qui se fait prendre ?

Avouons qu'il y a de quoi se demander comment ne pas avoir tout cela en tête si l'on est retenu pour faire partie d'un jury populaire.

C'est pas moral !

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(Clic sur l'image pour agrandir)

Sarkozy va concentrer tous les pouvoirs et tous les rôles sans même qu'on puisse lui reprocher de violer la Constitution ! Pour faire gober ça aux Français et à son gouvernement, il rompt une pratique installée depuis plusieurs années par des gouvernements de droite et de gauche qui interdisaient le cumul des fonctions par les ministres. Certains pourront donc conserver leurs postes de maires, leurs présidences de collectivités territoriales ou autres mandats.

Je n'y perçois là encore ni un bon fonctionnement de la démocratie, ni une juste répartition des responsabilités, ni la possibilité d'exercer à part entière chacune de ces fonctions. Pour n'oublier personne, ce phénomène peut aussi se constater dans les entreprises à mille filiales, dans les groupes industriels multi domaines, dans les médias hyper concentrés. Et, pire que tout, ce sont souvent les mêmes qui tiennent tout dans leurs mains.

La France est malade de ces dérives et personne ne s'avise d'aller prendre la fièvre.

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