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le Blog de Lucien-Alex@ndre CASTRONOVO
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  • Prof d'anglais retraité Sous-officier Armée de l'Air Président assos culture, éducation, social 1978-1989 Correspondant presse locale 1989-1995 Conseiller municipal liste Yves Kleniec 1983-1989 Adjoint liste Jean-François Picheral 1995-2001 Parti radical de gauche 1998-2008 Conseiller municipal liste Michel Pezet 2001-2009 Conseiller municipal liste Edouard Baldo 2014-2020 lucalexcas@aol.com
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23 octobre 2007

Ambiance de chapiteau au conseil municipal

En direct de l'Hôtel de Ville comme si vous y étiez !

Hotel_Ville_bleuMaryse Joissains était absente. Le conseil municipal a été présidé par le premier adjoint. Ce n'était pas moins cocasse et désordonné que d'habitude.

Dans ces occasions, Jean Chorro devient une autre personne, la charge paraissant trop lourde pour lui. Il s'énerve, hurle parfois, veut vite clore les débats car il n'a pas réponse à tout. Il méconnait aussi le déroulement d'un conseil et les obligations à respecter. Il s'emmêle les pinceaux et ne sait plus où donner de la tête.

Bref, on l'aura compris, la séance de lundi soir ressemblait à s'y méprendre à un ambiance de chapiteau avec attractions et derniers tours de piste.

Les 140 dossiers de l'ordre du jour ont été traités en près de 4 heures. Les échanges que nous avons provoqués ont surtout porté sur les 50 premiers rapports, le reste étant des affaires d'ordre.

Au sujet des antennes relais, ma collègue Danielle Rumani-Elbez (PRG) a posé sa question (voir mon message du 20 octobre, ci-dessous) et a dénoncé le simulacre de la commission de travail. L'adjoint à l'environnement, obligé de dire qu'il s'est réuni presque seul lors de la dernière convocation, s'est, de surcroît, ridiculisé par des réponses fantaisistes.

L'adjoint aux finances a tenté de présenter le débat sur les orientations budgétaires en forme de vision idyllique du bilan de Maryse Joissains. En gros, "nous avons été meilleurs que vous, nous avons tout réussi et les Aixois sont heureux". S'ils le croient vraiment, alors, le mal semble plus grave que tout ce que l'on pouvait diagnostiquer.

Pendant près d'un quart d'heure, j'ai personnellement rappelé certaines vérités d'un état des lieux démontrant l'exact contraire. J'y reviendrai cette semaine.

Bien d'autres questions de notre part ont irrité plusieurs élus, trois d'entre eux perdant un peu leurs nerfs dès que leurs bilans étaient attaqués. Après six ans passés à la tête de la ville, ils s'attendaient peut-être à ce qu'on leur fasse des cadeaux…

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22 octobre 2007

Projets à Luynes : Les habitants se rebiffent

CIQ_Luynois

(Clic sur l'image pour agrandir)

Photo prise par le CIQ

Jean-François Picheral, Lucien-Alexandre Castronovo et François-Xavier de Peretti

(Michel Pezet et Danielle Rumani-Elbez, présents à la Conférence des Présidents

organisée par Pays d'Aix Associations, nous ont rejoints en milieu de matinée) 

Samedi a été une journée bien remplie. Le matin, se déroulait l'assemblée générale du très actif CIQ Luynois. Divers projets d'urbanisation ont été examinés à la loupe.

Les trois gros morceaux sont la construction du collège dont on a appris qu'il verrait le jour en 2010, la construction de logements dans le secteur Rampelin et d'autres à Malouesse. Dit comme cela, on pourrait penser que le village a bien de la chance. Mais, si l'on y regarde de plus près, on s'aperçoit que tout ne va pas si bien que cela.

La décision de créer un collège à côté du lycée international a été prise en 2003. De longues procédures ont été nécessaires, qui ont retardé d'autant le début des travaux.

Pour ce qui est des logements, après plusieurs réunions difficiles, le CIQ a fini par obtenir gain de cause. Jugeant le nombre trop élevé et estimant que ce projet était inadapté au contexte luynois, il a demandé que, sur les 17.000m² de terrain, on se contente d'édifer 150 logements au lieu de 170. L'engagement a été pris par Maryse Joissains au cours de cette réunion publique...

A l'évidence, une fois de plus, en l'absence de l'adjoint à l'urbanisme, le maire a improvisé par pure ignorance détaillée du projet. La preuve en a été fournie lorsqu'elle a cité un écrit, posé devant elle, qu'elle croyait émaner de la Semepa et qui s'est révélé être un document fourni... par le CIQ ! Elle n'a cessé ensuite d'interroger ses fonctionnaires pour avoir plus de précisions. Rire général dans la salle…

Pour le secteur Malouesse, les riverains ont manifesté leur mécontentement sur le flou du projet et ont exposé leurs inquiétudes sur divers aspects tels que la circulation et les nuisances. Le maire a affirmé qu'elle souhaitait la concertation. Malheureusement pour elle, tout au long de la matinée, les habitants, souvent par la voix du président, lui ont reproché de n'être tenus au courant de rien et d'être souvent mis au pied du mur par manque d'information.

La réunion n'a pas connu son plein aboutissement car le maire a quitté les lieux au bout d'une heure pour aller participer à une émission en direct sur France 3. 

Consulter l'excellent blog du CIQ Luynois :

http://www.ciqluynois.canalblog.com

22 octobre 2007

"Aix-Solidarité" a fêté ses 20 ans avec force

Ce même samedi, dans l'après-midi, l'association "Aix-Solidarité" fêtait ses 20 ans d'actions au service de la liberté et de la défense des opprimés. A la tribune se sont succédé des témoignages denses et passionnants sur différents thèmes.

On a ainsi entendu un point de situation sur les droits de l'homme en Tunisie. L'avocate Radhia Nasraoui a dressé un bilan dramatique et effrayant de la chape de plomb qui pèse sur la population à l'instigation du président Ben Ali. Une analyse sur le Moyen Orient a été présentée par Gilbert Achcar, professeur des universités, co-auteur avec Noam Chomsky du livre "La poudrière du Moyen Orient".

Un représentant de la Cimade a démonté le processus qui régit l'exploitation politique des "sans-papiers".

Enfin, une déléguée du "Réseau Education Sans Frontières" a développé le sens de son action visant à protéger les enfants et les parents dits "expusables".

Elle a aussi rappelé que, ce lundi, dès midi à la Rotonde, se déroulera un rassemblement de soutien à Florimond Guimard, instituteur, dont le procès se tiendra au tribunal d'Aix à 14h30. Florimond Guimard est accusé d'avoir manifesté avec 200 autres personnes à l'aéroport de Marignane contre l'expulsion d'un père de famille sans papiers dont les enfants sont scolarisés. Et d'avoir soi-disant provoqué et violenté un policier en lui cassant un pouce ! Il encourt une peine de 3 ans de prison et 45.000€ d'amende !

Pour rappel, cet enseignant a reçu le 16 octobre le prix européen "Silver Rose Award" pour son engagement citoyen dans la défense des droits de l'homme.

Petite note personnelle :

En 1987, un événement particulier s'était produit à Aix. Le maire de l'époque, Jean-Pierre de Peretti de la Rocca (droite), avait interdit la projection à Aix du film "La dernière Tentation du Christ" de Martin Scorcese, sous le prétexte de "possibles troubles à l'ordre public".

En tant qu'élu, en même temps que de nombreuses associations dont "Aix-Solidarité" et la "Ligue des droits de l'homme", j'avais saisi le tribunal administratif pour faire annuler l'arrêté du maire. La décision d'annulation dudit arrêté n'est certes intervenue qu'en 1991 mais la liberté de diffusion d'une œuvre, même dérangeante, était ainsi sauvegardée.

A la même époque, avait éclaté ce que l'on a appelé "l'affaire du Lycée militaire d'Aix" (le mensuel "Le Ravi" en fait état dans son numéro de ce mois d'octobre). Nous avions soutenu un jeune étudiant, Rémi Darne, qui avait écrit et publié sa thèse universitaire sur ce sujet.

Ces regards en arrière et les témoignages livrés samedi montrent que cette étrange époque n'était malheureusement pas une exception.

20 octobre 2007

Téléphonie mobile : Nouvelle question posée au CM

Madame la députée-maire, Chers collègues,

   Nous étions volontairement absents à la 3e réunion de la commission pour la réglementation de l’implantation des antennes de téléphonie mobile et nous vous en avons détaillé les raisons par courrier qui vous a été adressé le 2 octobre 2007.

   En effet, depuis le conseil municipal du 18 décembre 2006, où vous déclariez "qu’il convenait d’aller plus loin que le Guide des bonnes pratiques signé entre l’Union des maires et les opérateurs comme l’ont fait d’autres communes et ceci pour préserver le principe de précaution", nous avons dû attendre le CM du 26 mars 2007 pour constituer cette commission qui avait pour missions :

   Ÿ de recueillir le recensement des sites de téléphonie mobile sur le territoire de la commune,

   Ÿ de lister les lieux  où des difficultés existaient,

   Ÿ d’élaborer, pour la Ville, un guide des bonnes pratiques qui se fonderait sur des exemples existants,

   Ÿ de faire procéder à des campagnes de mesures,

   Ÿ d’assurer la transparence la plus totale sur ce dossier.

   Or, qu’avons-nous constaté après 2 réunions de cette commission ? Nous n’avons été destinataires d’aucune de ces informations, ni même des PV de ces réunions malgré la présence de la sténotypiste et nos courriers de rappel, dont celui du CIQ du Val Saint-André et le mien.

   C’est aussi avec consternation que nous avons pris connaissance du projet de charte que vous nous avez adressée le 25 septembre dernier puisqu’aucune de nos propositions n’avait été retenue :

   Ÿ transparence assurée par le respect de la réglementation,

   Ÿ exposition minime des riverains (2V/m maximum, niveau moyen sur 24h) et non celui retenu par le décret du 2 novembre 2002 (41 V/m et 61 V/m pour les antennes UMTS),

   Ÿ des campagnes de mesures effectuées par des organismes indépendants,

   Ÿ un plan de déploiement des installations, site par site, fourni à la Ville par les opérateurs,

   Ÿ et, pour prévenir les difficultés liées à certaines implantations, la création par la Ville d'une véritable Commission de concertation pour recevoir et émettre des propositions.

   Or, un an après, force est de constater qu’au niveau local, vous ne faites pas partie des maires qui se sont positionnés fermement face aux opérateurs pour limiter la puissance des émissions électromagnétiques, réglementer la distance par rapport à des sites sensibles, réglementer les obligations administratives.

   Vous n’avez pas pris en compte l’aspect social, à savoir l’acceptation par les habitants, ni l’inquiétude légitime de ceux qui vivent dans des quartiers de forte densité, comme Encagnane entre autres, et qui, locataires, ne sont pas protégés par la loi actuelle.

   De même, au niveau national, nous regrettons que vous n’ayez pas, comme de nombreux députés, y compris de votre majorité, signé la proposition de loi présentée à l’Assemblée nationale le 13 juillet 2005.

   Pour toutes ces raisons et, parce que depuis plus d’un an, vous nous avez donné la preuve de votre désintérêt et de la faiblesse de votre engagement politique malgré l’insistance des associations qui répètent sur ce sujet, comme sur bien d’autres, "attention de ne pas refaire l’erreur de l’amiante", nous ne participerons plus à ces simulacres de commission.

                                                                         Danielle RUMANI-ELBEZ

                                                                    Conseillère municipale PRG

                                                                (pour les élus de l'opposition)

19 octobre 2007

Vol à l'OPAC : Nouvel épisode des "mystères d'Aix"

loupe

Quel bon auteur de livres policiers s'avisera un jour d'écrire un best-seller en puisant son inspiration dans notre bonne ville ? Bien lui en prendrait car, ces dernières années, les sujets de polar – style "Les mystères d'Aix" - n'ont pas manqué.

Le dernier en date est ce rocambolesque cambriolage nocturne au nouveau siège de l'OPAC. Plus fantasque que ça, on n'aurait pas imaginé. Aller voler deux ordinateurs, pas n'importe lesquels évidemment, cela fait penser à une opération commando bien ciblée.

Qui peut bien avoir eu intérêt à dérober des appareils contenant des informations confidentielles comme, par exemple, les listes d'attributions de logements dont des rapports officiels menés au sein de l'office ont dit qu'elles se faisaient sur pressions d'élus ou de fonctionnaires ? Oui, qui ?

Hypothèse à éliminer : l'exploitation publique de ces informations. On saurait immédiatement qui a commis le forfait.

Alors, aurait-on monté une opération spéciale - peut-on croire pareille élucubration ? - pour faire disparaître des données susceptibles de révéler de nouvelles cachoteries ? Peut-on faire confiance aux seules apparences des premiers constats ? On a hâte de connaître le fin mot du motif réel du délit.

Tout comme on voudrait en savoir plus sur l'explosion, il y a environ deux ans, d'une partie mitoyenne en construction pour agrandissement d'une clinique appartenant à un élu municipal.

On serait tout aussi content d'être tenu informé du sort et des suites réservés à une mystérieuse lettre déposée dans la boîte aux lettres personnelle de madame le maire au sujet du directeur de l'OPAC.

On souhaiterait également obtenir quelques éclaicissements sur le vol de milliers de tickets-restaurant entreposés à l'office de tourisme.

Aucune invention là-dedans. Toutes ces nouvelles ont bel et bien fait la une de la presse et puis se sont… envolées. Les mystères d'Aix n'ont pas fini de nous étonner et peut-être de détonner.

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18 octobre 2007

Centre ville d'Aix : En voiture ou à pied ?

Parc Rotonde : 894 places libres !

parc_rotonde

Ces quinze derniers jours, à heure régulière, jetant un œil curieux sur les panneaux annonçant les places disponibles en temps réel – quand le système fonctionne ! – j'ai observé au quotidien l'offre du parc Rotonde.

Hier, à 10h30, heure pleine, la fenêtre électronique indiquait 894 places sur 1.800. Selon les jours, la fourchette des places libres oscille entre 400 et 900.

Les autres parkings de pourtour de ville ne font jamais le plein non plus mais la marge est moins importante. Il n'y a guère que le samedi matin et les jours d'événements très exceptionnels que se créent des files d'attente.

Comment expliquer ce phénomène ? Tarifs trop élevés ? Bus performants ? Vélos à moindre coût ? Succès des parcs-relais ? Désertion du centre ville ? Et le parc Rotonde, est-ce sa nouveauté non encore entrée dans les habitudes qui en serait la raison ?

Quand on sait que les récentes créations de places couvertes n'ont fait que remplacer toutes celles qui ont été supprimées dans les parcs à ciel ouvert et dans certaines rues, on se demande si la cause n'est pas simplement à chercher dans le fait que la circulation au centre ville a probablement atteint son point de saturation et qu'elle décourage ainsi les automobilistes de tenter l'aventure des parkings.

Certes, il est sans doute trop tôt pour analyser l'impact du parc Rotonde qui, rappelons-le, nous était annnoncé comme étant l'un des moyens qui allaient résoudre le problème du stationnement. En tout cas, il reste beaucoup à faire pour inciter les automobilistes à adopter de nouveaux comportements, notamment un usage réduit de leurs voitures au profit de modes alternatifs de déplacements.

Piétonisation, la solution ?

Piétoniser ou pas les rues de centre ville, le débat est relancé. L'idée date des années 70, époque où la ville ne connaissait pas encore la thrombose automobile actuelle et où l'on ne se préoccupait pas vraiment de la pollution et de ses nombreux dégâts.

Si la question refait surface, c'est précisément parce qu'à l'heure actuelle elle semble être la plus pertinente et la mieux adaptée pour relever les défis qui permettront de recréer un cadre de vie sain et agréable.

Bien entendu, une telle initiative ne pourra se concrétiser qu'en engageant une réflexion ouverte sur les tous les modes de déplacements et une vaste concertation associant tous les partenaires et usagers.

Le pari est fort mais serions-nous moins compétents que ceux qui l'ont entrepris et réussi dans certaines villes européennes comparables à la nôtre ?

16 octobre 2007

Les tags se déplacent hors le centre ville

tag_archeveche

(Clic sur l'image pour agrandir)

Photo prise  hier soir, place de l'Archevêché !

Hier soir, à l'Hôtel de Ville, a eu lieu l'assemblée générale annuelle de "Ville sans tag". L'association a évoqué la lutte entreprise par la mairie pour éradiquer ce fléau.

Chaque année, pour le centre, l'opération coûte 400.000€, auxquels s'ajoutent les frais pris directement en charge par la régie municipale qui intervient dans les quartiers.

Si le centre ancien a enregistré des progrès, malheureusement, comme cela était prévisible, les actes de délinquance se sont déplacés dans le reste de la commune.

Une vidéo réalisée par l'association a fait le tour de ce que nous observons quotidiennement dans les moindres recoins de notre cité. Maisons, façades, portes, commerces, murs anti-bruit, panneaux de signalisation, rien n'échappe à l'attaque à la bombe.

Certes, le problème est difficile à résoudre. Il faudrait augmenter le nombre des équipes d'intervention et surtout coordonner le plan d'action sur tout le territoire.

A l'heure actuelle, on mise tout sur le secteur sauvegardé, soit moins d'1% de la superficie de la commune, et on laisse pratiquement à l'abandon les 18.000 autres hectares. Cela manque de cohérence. Une remise à plat de l'ensemble du dispositif s'impose.

On peut parier que l'installation de 36 caméras de vidéosurveillance en centre ville produira les mêmes effets que la lutte contre les tags concentrée au centre : la délinquance ira s'exercer tous azimuts dans les secteurs hors les boulevards périphériques.

15 octobre 2007

Marseille : Les élections ne sont pas loin

Marseille_MPM

Les élus de Marseille Provence Métropole ont remis ça. Tout comme lors du conseil municipal du 1er octobre, la séance publique de la communauté urbaine du 8 octobre a été animée. Droite et gauche se sont affrontées sur l'un des thèmes de l'élection municipale : l'incinérateur de déchets. Elaboré par le conseil général de Jean-Noël Guérini, candidat PS à la mairie, le plan départemental s'opposait à l'incinération au profit du tri, de l'enfouissement et de la méthanisation.

Il a été annulé par le tribunal administratif la semaine dernière. La droite a appuyé sur la plaie.

La communauté urbaine a également voté un budget supplémentaire pour compléter le budget primitif 2007. "Les charges de fonctionnement ont baissé de 4% alors que les salaires ont augmenté de 2%", s'est félicité Jean-Claude Gaudin.

Mais l'opposition ne l'a pas entendu de cette oreille : "Nous ajoutons 40 millions d'euros de programmes d'investissement alors que nos finances sont très serrées, a indiqué Vincent Coulomb (PS). Nous n'avons toujours pas de programmation des investissements sur plusieurs années."

Ont aussi été évoqués les zones franches, l'habitat jugé insuffisant par la gauche, les transports, l'aménagement du boulevard urbain Sud (liaison de la Pointe rouge à l'autoroute Est) à travers un partenariat public / privé pour 2011.

Pas de doute, la campagne électorale est lancée.

Pour en savoir plus :

http://www.marseille-provence.com 

http://www.mairie-marseille.fr 

Le conseil municipal de Marseille du 1er octobre

http://sportsat.mairie-marseille.fr/mdbscmconsult/MAMVidInter.aspx?sid=146# 

13 octobre 2007

Les panneaux de Joissains, en toute vulgarité

logo_M6

Vous êtes déprimés et vous vous mordez les doigts d'avoir raté les pitreries de Maryse Joissains dans l'épisode des panneaux vengeurs ?

Pas de problème. Le reportage de la chaîne M6 de jeudi 11 octobre va vous remonter le moral. Mais attention, certains propos vulgaires de la députée-maire pouvant choquer, il est vivement conseillé d'éloigner enfants et âmes sensibles. Bon visionnage quand même !

Deux clics, d'abord sur le lien, puis sur le sujet "A51" :

http://www.m6info.fr/html/m6_infos/lesix.php?cp=13000&id=071011_1900_13000_m6info#

12 octobre 2007

Marseille capitale européenne et Aix... à la trappe

dynamite_gaudin_joissains

Je viens de recevoir un carton d'invitation pour assister, le jeudi 25 octobre à l'Opéra, à la présentation du projet de candidature de Marseille, capitale européenne de la culture pour 2013.

Lisant les noms des participants – le maire de Marseille, les présidents des conseils régional et général – j'ai été pris d'un hic.

Malgré ses coups de trompette et ses couinements médiatisés, la maire d'Aix n'y est pas invitée. Jean-Claude Gaudin n'a donc prêté aucun crédit aux arguments de Maryse Joissains qui revendiquait une place dans le projet au nom d'Aix.

Je pense que Marseille aurait pu élargir sa candidature. S'il ne l'a pas fait, c'est parce que Maryse Joissains n'a pas vu venir le coup et n'a donc pas préparé Aix à jouer son rôle alors que Marseillle travaille à cette initiative depuis quelques années déjà.

Au lieu de nouer sereinement les contacts avec Gaudin, Joissains n'a cessé de protester. Gaudin n'aura pas voulu s'encombrer d'une participation aussi légère qu'intempestive. C'est fou ce qu'ils s'aiment fort ces deux-là !

Pour en savoir plus :

www.marseille-provence2013.fr 

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