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le Blog de Lucien-Alex@ndre CASTRONOVO
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  • Prof d'anglais retraité Sous-officier Armée de l'Air Président assos culture, éducation, social 1978-1989 Correspondant presse locale 1989-1995 Conseiller municipal liste Yves Kleniec 1983-1989 Adjoint liste Jean-François Picheral 1995-2001 Parti radical de gauche 1998-2008 Conseiller municipal liste Michel Pezet 2001-2009 Conseiller municipal liste Edouard Baldo 2014-2020 lucalexcas@aol.com
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21 juin 2008

La presse est pour le cumul des... mandales

Darcos : Fraude ton bac d'abord !

dordogne_libre_darcos

(Clic sur l'image pour agrandir)

Dans l'édition du 27 mai 2008 de La Dordogne Libre

Joli scoop rétro de La Dordogne Libre du 27 mai 2008. Dans sa chronique "Il y a 25 ans", le quotidien rappelle un fait cocasse (si l'on peut dire) concernant le ministre de l'Education nationale. Xavier Darcos nous avait fait des cachotteries sur sa façon de faire bachoter ses anciens élèves en 1982. On comprend mieux l'épisode récent où l'on vu incapable d'opérer une simple règle de trois devant un tableau…

La vidéo sur le passé antérieur :

http://www.dailymotion.com/video/x540ni_darcos-et-la-regle-de-trois_news 

La vidéo sur la règle de trois :

http://www.dailymotion.com/video/x5918i_la-regle-de-trois-monsieur-darcos_news

Tous les détails sur l'affaire Darcos :

http://www.lesmotsontunsens.com/xavier-darcos-inculpe-inculpation-pour-fraude-fuites-au-bac-baccalaureat-en-1982

Bronzage gratis dans Le Canard...

Canard_18_juin_08_WEB

(Clic sur l'image pour agrandir)

Le Canard Enchaîné du 18 juin 2008

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12 juin 2008

De la bonne presse pleine d'infos et d'humour

Hier, j'ai pris du temps pour lire, j'en ai donc moins pour écrire. Mais c'est pour la bonne cause. Voilà trois journaux sans publicité, bien écrits, intelligents, libres et indépendants. Il y a des infos et des dessins à chaque page et c'est hautement réjouissant. Total des cadeaux : 6€. On en a pour son argent et on ne s'ennuie pas une seconde.

A eux trois, ils nous en apprennent plus que 100 heures de petit écran ne peuvent le faire et c'est franchement à mille lieux de la soupe que nous servent certaines chaînes de télévision, les radios crétinisantes et les médias qui ne hiérarchisent plus rien.

(Clic sur les images pour agrandir)

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Le Canard enchaîné raconte en détail les manœuvres du pouvoir pour s'assurer le parfait contôle des médias.

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Charlie Hebdo nous régale à l'artillerie lourde de ses caricatures sur l'omnipotence de TF1, nous livre un article féroce sur le football (à mourir de rire) et dégonfle la baudruche des plaques d'immatriculation des voitures. Une vraie fête.

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Le Ravi de juin passe l'armée de notre région en revue, une excellente enquête. On y trouve aussi un compte-rendu surréaliste du conseil municipal de Plan de Cuques où l'on voit que la démocratie a encore des progrès à faire. Dans une interview, Bruno Gilles, le suppléant de Renaud Muselier, balance à mort, entre autres, sur ses copains UMP. Et puis, il y a le portrait de l'ancien préfet Jean-Charles Marchiani qu'il vaut mieux ne pas fréquenter. Ce mois-ci, la cerise sur le gâteau est un article humoristique au scalpel sur la malfaisance de "nos amies les bêtes". Un bonheur d'écriture à découvrir avec gourmandise.

4 juin 2008

L’affichage publicitaire, pollution visuelle et mentale

liberation

Impossible d'y échapper. Affichage dans la rue, publicité dans la presse, à la radio et à la télévision… la liste n'est pas exhaustive. Il n'est pas le moindre programme de télé qui ne soit encadré par une annonce et présenté "avec la marque truc ou machin" sous un prétexte fallacieux de lien avec le contenu de l'émission. Rien d'innocent là-dedans.

J'ai trouvé cet article, lumineux, de Nicolas Hervé, doctorant, membre du "Collectif des déboulonneurs", en page Rebonds de Libération du 21 mai. A mon tour, de vous en faire profiter en lui en faisant la publicité… Deux minutes suffiront.

Elles s’imposent à nous en permanence, défigurant nos paysages, violant nos consciences, manipulant nos enfants : les affiches publicitaires sont incrustées dans nos villes, nos campagnes et nos transports. Tout le monde le constate, beaucoup le regrettent, certains le critiquent mais personne ne répond. Particularité française, notre pays est au premier rang mondial pour la proportion des dépenses publicitaires liées à l’affichage (environ 12 %, soit 2,5 milliards d’euros).

L’affichage est régi par une loi datant de 1979, extrêmement complexe, très permissive et qui est largement et régulièrement bafouée par les professionnels du secteur. Ceci est avéré et reconnu par les responsables politiques, toutes étiquettes confondues, et par la justice. A lui seul, ce fait mériterait que l’on s’interroge sur la loi actuelle, sur son application et plus largement sur sa légitimité.

Contrairement à tous les autres médias, l’affichage œuvre dans l’espace public. Il y occupe même une place privilégiée : il est impossible de s’y soustraire. Il ne s’agit pas de remettre en question la nécessité pour les acteurs économiques d’informer sur leurs activités. Mais qu’est-ce qui permet de justifier que les messages soient imposés aux usagers de l’espace public ? La liberté d’expression est fondamentale mais elle ne doit pas pour autant prendre le pas sur la liberté de réception. Tout individu doit avoir le choix de recevoir ou non un message, qu’il soit à caractère commercial ou non. Il est ainsi intéressant de noter que l’affichage politique et d’opinion est également réglementé, mais de façon beaucoup plus drastique tant dans les formats que dans la densité des dispositifs.

La dimension des affiches actuellement en vigueur, la généralisation des panneaux lumineux et déroulants, le déploiement toujours plus important des bâches sur les façades d’immeuble permettent de parler de pollution visuelle. Cette qualification est largement admise. Faut-il donc que les publicités aient un message extrêmement important à diffuser pour que collectivement notre société encadre et tolère ces débordements ? L’utilité sociale de cette activité est-elle si évidente pour qu’on ne s’interroge pas à son sujet ? La pollution visuelle et le non-respect des libertés individuelles seraient des contreparties acceptables devant les bienfaits miraculeux de l’affichage publicitaire ?

Quelles sont les réponses des responsables politiques ? Ils reconnaissent tous le problème, promettent d’y réfléchir, de travailler avec les associations sur le sujet, puis bottent en touche lorsqu’ils sont au pouvoir. Un exemple parmi tant d’autres concerne les réponses des différents ministres de l’Environnement aux questions des parlementaires qui les interpellent sur le sujet. Il est presque systématiquement fait référence au travail du Conseil national du paysage. Or ce fameux conseil ne s’est réuni qu’une fois, à sa création en 2001. Depuis, rien.

On nous parle actuellement d’une remise sur pied de cette structure. Avec quel périmètre ? Dans quels délais ? Là encore, c’est le flou artistique dans les couloirs du ministère de l’Ecologie. On parlait à l’UMP d’une refonte des lois sur le paysage pendant la campagne présidentielle. Ces questions ont été les grandes absentes du Grenelle et sont enterrées pour l’instant.

A travers l’affichage, d’autres questions liées au système publicitaire sont également soulevées. L’actualité a été plutôt riche de ce côté ces derniers mois. Le financement de services publics par la fameuse "manne publicitaire" a fait couler beaucoup d’encre en ce début d’année. Tout le monde semble d’accord pour dire que la suppression de la publicité est une bonne chose pour la qualité du service audiovisuel public. Cependant, à aucun moment la réflexion n’a été étendue à l’espace public dans son ensemble. Est-il normal que des services publics soient financés par une taxe privée ? Car, même si personne ne le rappelle, il est évident que l’argent de la publicité ne tombe pas du ciel. Les dépenses des entreprises pour leur communication extérieure sont de l’ordre de 30 milliards d’euros. C’est-à-dire 500 euros par personne et par an répercutés sur le prix des produits. Une nouvelle piste pour le pouvoir d’achat ?

Le système publicitaire prélève donc sa taxe, de façon beaucoup plus discrète que l’impôt public. L’homme politique est trop heureux de faire miroiter la gratuité d’un service et de s’enorgueillir de la stabilité des prélèvements fiscaux. Il s’agit là de la plus pure hypocrisie. Nous en avons récemment eu un bel exemple à Paris avec le marché des Vélib’ en échange de la concession des panneaux d’affichage sur le domaine public. Le règlement local de publicité voté par la suite est de la poudre aux yeux permettant au maire de justifier d’une action contre l’invasion publicitaire (preuve que le thème est porteur à quelques mois d’une échéance électorale) sans fondamentalement modifier le paysage urbain de la capitale.

Concernant les contenus diffusés par ces publicités, un exemple récent illustre bien les enjeux. Les spots publicitaires sur les aliments gras et sucrés sont sur la sellette grâce au travail de plusieurs associations qui arrivent péniblement à faire prendre en compte les dangers qu’ils représentent pour la santé des enfants, notamment en ce qui concerne l’obésité. Ce type de publicité est-il moins dangereux lorsqu’il s’étale en 4x3 dans la rue ? La justice a depuis peu apporté un début de réponse à cette question lors du procès de membres du "Collectif des déboulonneurs" en reconnaissant que le "risque environnemental, social et sanitaire" de l’affichage publicitaire est "sous-évalué".

L’affichage publicitaire est-il intouchable en France ? Les relations entre nos dirigeants politiques et les publicitaires sont-elles si fortes pour que la chape de plomb soit encore maintenue longtemps sur le sujet ? Ces questions appellent une "rupture" avec la politique des trente dernières années.

9 mai 2008

"Le Ravi" de mai à l'assaut des barricades

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Il est tout beau et sent bon le sable chaud. Avant la plage et le festival de Cannes, "Le Ravi" n° 52 de mai (2,80€) lance des pavés et des vannes comme on les aime. On y trouve le "plan de reclassement des battus" (dont le mien) aux élections, des nouvelles d'Aix, un dossier sur Sextius-Mirabeau ainsi que les dessous de la bataille à la Communauté urbaine de Marseille. Et aussi, d'excellents dessins qui tuent. Vite, à vos kiosques ! S'il l'on ne fait pas vivre cette presse-là, alors, il y a de quoi désespérer du printemps.

2 mai 2008

V'hello : Le coup de pédale le plus cher du monde

ravi_decaux

(Clic sur l'image pour agrandir)

Dessin de Charmag dans Le Ravi

Article de Jean-François Poupelin paru dans Le Ravi n° 51 d'avril 2008

Aix-en-Provence et Marseille sont les 2 premières villes de Paca à avoir succombé aux sirènes du Cyclocity de JC Decaux. Leurs contribuables le paient au prix fort. Pourquoi deux villes UMP paient un service à l'empereur de la sanisette alors que Paris et Lyon, deux municipalités socialistes, récupèrent des millions d'euros ?

"Le haut de gamme", assurait, sans grande conviction, le 2 février sur M6, Jean Chorro premier adjoint d'Aix-en-Provence. "L'incompétence", bougonne François-Noël Bernardi, président sortant du groupe socialistes, radicaux, verts et apparentés, à la Communauté urbaine Marseille Provence Métropole (MPM) (1). Paris empoche 3,4 millions d'euros par an, Lyon 1,2 millions dans leur accord groupé publicité contre vélos. Les deux villes sont considérées comme des vitrines du système, mais quand même…

Obligé en 2005 par Clear Channel, le principal concurrent de JC Decaux, qui dénonçait un "abus de position dominante", à scinder son appel d’offre sur le renouvellement de son mobi­lier urbain et l’installation de vélos en libre service et d’abris pour son tramway, Jean-Claude Gaudin, sénateur-maire de Marseille et alors pré­sident de MPM, paie 2,66 millions d’euros (2) par an, sur 15 ans, pour ses 1.000 vélos (3). La situa­tion fait hurler François-Noël Bernardi : "Je ne suis même pas sûr que les contribuables savent qu’ils subventionnent les vélos et à quelle hau­teur. Sans compter que tous mettent la main à la poche alors que je suis persuadé que seuls les plus riches les utilisent."

A Aix-en-Provence, le coût du V’hello, concédé à JC Decaux également, est aussi sujet à polé­mique. Mais tout le monde est d’accord sur un point : les Aixois les paient. François-Xavier de Peretti, conseiller municipal du Modem, parle de 790.000 euros par an, sur 13 ans, dans le cadre d’un appel d’offre groupé (mobilier urbain + vélos en libre service).

Lucien-Alexandre Castronovo, ancien conseiller municipal PRG, avance le chiffre de 91.000 euros. "Tout et n’im­porte quoi a été dit sur le coût de ces vélos, explique-t-il. La ville dépensait plus de 443.000 euros par an pour son ancien mobilier. Le nou­veau contrat, avec renouvellement du matériel, porte sur 534.000 euros. C’est de toute façon un très mauvais arrangement. Sans compter les vélos, totalement inadaptés à la ville, la munici­palité ne tire aucun bénéfice de son marché alors que d’autres taxent fortement Decaux."

Franck Dizdarevic, directeur régional de JC Decaux, trouve la "polémique" un rien "sim­pliste" : "Nous versons une redevance à Aix. Avec les 230 faces publicitaires des stations du Vélo et des abris du Tramway, il était impossible pour nous de rentabiliser l’investissement à Marseille. Nous avons aussi à notre charge le vandalisme, l’entretien, la régulation… C’est une grosse machine". Et de préciser, magnanime : "Les deux villes empochent l’integralité des recettes." Une générosité toute relative.

En septembre der­nier, Renaud Muselier, ancien premier adjoint de Jean-Claude Gaudin, espérait 50.000 à 60.000 abonnés (5 euros par an pour celui longue durée) fin 2008 et 1 million d’euros de recette par an. Six mois après sa mise en service, Le Vélo n’en compte que 6.000 (4). Les trajets ne dépassant en général pas la première demi-heure gratuite, les quelques dizaines de milliers d’euros engendrés par MPM ne sont pas près d’équilibrer son inves­tissement.

Commentaire désespéré de François-Noël Bernardi : "C’est peanuts !" De son côté, Aix-en-Provence affiche 300 abonnements lon­gue durée à 25 euros. Une contre performance ! Chez JC Decaux, la positive attitude est pourtant de mise. "A Aix, le lancement n’a été fait qu’en juin 2007. Ce n’est pas une bonne période, car la ville est plutôt désertée. Mais je ne suis pas inquiet. Quant à Marseille, avec plus de 300.000 utilisations, il y a un bon affect", rassure Franc Dizdarevic. Avant de lâcher : "Le taux de fréquentation dépend du nombre de vélos mis en service." Les recettes aussi.

Les maires UMP d’Avignon, de Cannes et de Nice qui se sont dit intéressés par le système pendant la campagne des municipales sont préve­nus.

(1) Ni Jean Chorro, ni MPM n’ont donné suite aux sollicitations du Ravi.

(2) Les chiffres indiqués sont hors taxe.

(3) Clear Channel s’est finalement retiré de l’appel d’offre.

(4) Avec le même tarif, le moins cher de l’hexagone, Lyon compte 70.000 abonnés.

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26 avril 2008

"Le Ravi" n° 51, à consommer sans modération…

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Il ne reste plus que quelques jours pour acheter le n° 51 d'avril du mensuel satirique "Le Ravi" (2,80€, en kiosque). Outre une analyse pertinente des résultats des élections en PACA et de nombreuses infos, le journal propose une enquête fouillée sur le système du mobilier urbain et des vélos (j'y ai participé pour Aix et mes propos sont cités). Et on en apprend d'autres bien belles ! Bref, c'est la fête à Decaux et c'est lui qui arrose la tournée. Faut pas s'en priver. A déguster bien frais.

26 avril 2008

Quelle démocratie représentative ?

Y a-t-il du changement dans l'air ? Faut-il réformer ou non ? Et comment ? Y aura-t-il de vrais débats ou verra-t-on quelques manœuvres politicardes, sournoises et peu glorieuses comme la Ve République en a déjà connues ? Les questions méritent d'être posées. Pour s'en faire une idée, voici une petite sélection d'articles particulièrement intéressants sur les enjeux liés à la démocratie représentative.

liberation

L’infernal cumul des mandats

Par Christophe Caresche, député PS de Paris

Paru dans Libération lundi 21 avril 2008

http://www.liberation.fr/rebonds/322244.FR.php

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Le redécoupage électoral

Par Céline Rouden

Paru dans La Croix mercredi 16 avril 2008

http://www.la-croix.com/article/index.jsp?docId=2335270&rubId=788

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Un scrutin à un seul tour ?

Par Judith Waintraub

Paru dans Le Figaro mardi 22 avril 2008

http://www.lefigaro.fr/politique/2008/04/23/01002-20080423ARTFIG00015-scrutin-legislatif-a-un-tour-l-ump-s-interroge.php

5 avril 2008

Rien n'échappe à "Arrêt sur images"

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Sur le net, l'équipe de l'émission "Arrêt sur images", toujours à l'affût, nous fait découvrir quelques dessous de l'actualité. Jetez un coup d'œil sur cette petite vidéo, puis sur la liste des autres vidéos à droite du même écran. Epatant !

http://www.dailymotion.com/video/x4xzvs_les-sarkozy-a-windsor_news

5 février 2008

"Le Ravi" de février taille dans le vif

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Le n° 49 de février du mensuel satirique "Le Ravi" (2,80€) taille dans le vif. On y trouve une revue détaillée et décapante des enjeux des municipales dans la région et à Aix en particulier. Des articles à lire bien calé dans son fauteuil pour éviter de tomber à la renverse. Deux précautions valant mieux qu'une, il est conseillé aux plus sensibles d'attacher les ceintures.

7 janvier 2008

"Le Ravi" de janvier tire... les maires

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(Clic sur les images pour agrandir)

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Voici le tout début de l'édito du n° 48 du mensuel satirique "Le Ravi". Je ne vous dis que ça. Le reste, il faudra le lire en l'achetant (2,80€) en kiosque.

    "Mettre le paquet. Les 786 maires de Provence-Alpes-Côte d’Azur, et les milliers de challengers pressés de les pousser dans les orties pour s’emparer de leur écharpe tricolore, vont devoir mettre le paquet pour prouver qu’ils ne manquent pas de souffle. Dans moins de trois mois, les jeux seront faits pour les six années à venir. Même si la multiplication des intercommunalités a dilué de fait le pouvoir des premiers magistrats, ils continuent d’incarner la gouvernance locale. Monsieur le maire reste une figure populaire. Nos notables le savent bien qui jouent volontiers sur la carte de la proximité pour se faire élire. Quitte à ce que le contenu réel de leur projet politique soit parfois aussi fin que du papier à cigarette."

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