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le Blog de Lucien-Alex@ndre CASTRONOVO
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  • Prof d'anglais retraité Sous-officier Armée de l'Air Président assos culture, éducation, social 1978-1989 Correspondant presse locale 1989-1995 Conseiller municipal liste Yves Kleniec 1983-1989 Adjoint liste Jean-François Picheral 1995-2001 Parti radical de gauche 1998-2008 Conseiller municipal liste Michel Pezet 2001-2009 Conseiller municipal liste Edouard Baldo 2014-2020 lucalexcas@aol.com
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8 janvier 2007

Pour des caméras au conseil municipal d'Aix !

Antoine_RouzaudCurieux de savoir comment se passe un conseil municipal ailleurs, j'ai visité le site Internet de Marseille. On peut y voir l'enregistrement vidéo de la session du 11 décembre. La séance publique diffusée en direct a commencé à 8h25 et a duré 4h12mn42s.

En moyenne, il y a 6 séances par an. A Aix, il y en a 9. Chez nous, il y a 55 élus qui se réunissent dans la salle des Etats de Provence. A Marseille, il y en a 101, comme les Dalmatiens, et ils sont convoqués dans une sorte d'amphithéâtre situé en sous-sol.

Ce jour-là, l'ordre du jour comporte 155 rapports. A Aix, le nombre varie entre 60 et 80. En cours de séance, Jean-Claude Gaudin salue la présence de la Lord Maire de Glasgow venue à l'occasion d'un accord de partenariat. Chez nous, vu l'ambiance, il vaut mieux qu'on n'invite personne !

Tout au long des débats, les caméras se concentrent principalement sur l'orateur qui a obtenu la parole. Rares sont les vues générales de la salle. On peut cependant distinguer des sièges vides et savoir qui n'est pas là. Jean-Noël Guérini (PS), par exemple.

En revanche, je suis heureux de constater que mon ami Antoine Rouzaud (photo ci-dessus), également conseiller général et président du PRG des Bouches-du-Rhône, crève l'écran en faisant une intervention musclée comme je les aime.

De temps en temps, certains chahutent les orateurs ou s'exclament, d'autres bavardent. Aix n'a rien à envier là-dessus. Robert Bret (PCF) lit le journal, Bruno Gilles (UMP) arrive pour la dernière heure ! Gaudin parle de lui-même à la troisième personne. A un moment, il commet un lapsus et nomme Samia Ghali (PS), Mme "Gala". Il "s'escuse".

Quelques élus de la majorité peuvent quand même présenter leur sujet et ceux de l'opposition ne se privent pas de critiquer. Patrick Mennucci (PS) se met à faire son show. Son accent agit comme une doublure de celui de Gaudin.

Beaucoup de dossiers sont soumis au vote à main levée par leur numéro d'ordre sans que l'on sache de quoi il s'agit, sauf les élus qui en ont pris connaissance quelques jours auparavant.

De quoi a-t-on parlé ? La candidature de Marseille au titre de capitale européenne de la culture est copieusement commentée (sans que jamais ne soit évoquée la polémique avec Joissains qui ne compte que pour du beurre) à égalité par le maire et par l'opposition.

Puis, une longue discussion s'engage sur l'urbanisme et la création de ZAC. La gauche stigmatise les 4200 logements manquants et les 20 000 demandes en attente de logements sociaux.

Le maire met en avant une mesure qui serait une première en France, le "chèque premier logement", aussitôt dénoncé comme un coup fumeux par le camp d'en face. Au passage, on apprend que Marseille compte 70 000 HLM mais on ne dit pas s'ils sont municipaux, départements ou d'organismes privés.

Le projet de grande patinoire n'agrée pas l'opposition qui en profite pour casser des pains de glace sur le dos du maire.

Certains demandent une mise en régie de l'eau à l'échéance du contrat actuel. Car avec la délégation de service public actuelle à une société privée, l'eau coûte 27% plus cher aux Marseillais. Le maire et l'élu délégué campent sur leur position. Pour eux, c'est le bon robinet. Qu'en pensent les habitants ?

Quand il s'agit de cofinancements, Gaudin évoque souvent ses rapports avec le conseil général et le conseil régional, soit pour les vilipender, soit pour leur dire merci.

Il se met en colère quand il rappelle qu'il était contre l'entrée des Pennes-Mirabeau dans la communauté d'agglomération du Pays d'Aix. Il estime que la communauté urbaine de Marseille y a perdu de grosses taxes professionnelles au bénéfice d'Aix.

Une chose surprend : chaque réponse du maire ou d'un élu de la majorité est systématiquement alourdie par un bilan électoral de satisfaction. A l'évidence, consigne a été donnée pour qu'il en soit ainsi.

A 12mn de la fin de la séance, Renaud Muselier (UMP) porte un coup bas en faisant remarquer le départ de certains élus socialistes après l'épuisement de leur temps de parole. Trop drôle ! En quatre heures, lui-même n'a pris la parole que pour dire cette ânerie qui l'a épuisé.

Au bout du compte, la retransmission des séances publiques me semble une bonne chose. Les citoyens peuvent voir d'un peu plus près comment se prennent les décisions, quels sont les votes, voire vérifier l'assiduité de leurs élus. La démocratie y gagne.

Alors, si on faisait pareil à Aix ? Ce serait un bon moment de vérité !

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6 janvier 2007

La Provence change : ça fera date !

Titre_ProvenceLa Provence va changer. Au fil des éditions, un compte à rebours nous rappelle l'approche du 10 janvier qui verra l'envol de la nouvelle formule. Je lis ce journal depuis l'âge de 10 ans. J'y ai même travaillé pendant six ans.

Alors, vous pensez bien qu'avec l'affection que je lui porte, je ne saurais rater pareil événement. Mais mon œil de lynx a été attiré par un détail qui risque bien de remettre en cause le calendrier. Et de semer le trouble dans le mien.

Car ils font fort pour assurer la promo. Chaque jour, on nous montre un exemplaire du futur format. On dirait un vrai, avec de vraies photos et de vraies infos. Mais la date qui préfigure le jour J est erronée : lundi 10 janvier ! C'est peut-être fait à dessein, pour nous montrer qu'ils sont prêts à tout bousculer, y compris notre semaine. Admettons.

Ce vendredi, je reçois une lettre courtoise de la direction – pardon, deux lettres identiques envoyées à des dates différentes, on ne sait jamais, toutes les précautions sont bonnes à prendre – qui m'invite à partager un café croissants au siège de la rédaction pour aller découvrir le bijou le jeudi 10 janvier. Un nouvel émoi me saisit. Je vérifie sur mon agenda et le calendrier perpétuel qu'il contient : le 10 janvier 2007, c'est un mercredi ! Là, je me dis, ils font très forts. J'ai compris, pas de doute, cette nouvelle maquette fera date !

1 janvier 2007

Elus, lu et approuvé dans la presse

kilometrageCe 1er janvier, La Provence a publié une page sur les résolutions que l'on est censé prendre en général en début d'année. Pour ce qui me concerne, j'y ai bien retrouvé mes déclarations, rien à redire. Mon amusement vient du télescopage de mes propos avec ceux tenus par certains autres élus.

Ainsi, je relève que le maire a "le souci d'arriver à gérer face à des gens qui n'ont pas géré grand-chose et qui attendent la dernière année du mandat pour critiquer." Elle ajoute : "Je vais peut-être recommencer la parachutisme." Son premier adjoint, lui, veut "couper son portable pendant les réunions."

Un adjoint annonce : "Je vais me mettre résolument à l'anglais." "Il faudrait que je perde une dizaine de kilos" et souhaite passer "au tout numérique à la maison." Un autre adjoint s'est fixé de "se donner du temps pour plus de lecture et améliorer ma pratique de l'outil informatique avec comme objectif d'animer moi-même mon blog."

Un adjoint en rupture de majorité envisage de "lire La Provence dès le matin", "de ne plus m'endormir devant les émissions politiques d'Arlette Chabot, donc de ne plus regarder", "d'être plus aimable et plus indulgent avec mes élèves."

Un élu de gauche va s'efforcer "de privilégier le débat d'idées par rapport aux critiques personnelles qui sont souvent le ressort de mes petits camarades." Pas de doute, tout cela ne peut être que du parler-vrai. Bon, alors voilà, je ne voudrais pas être désobligeant envers quiconque mais je leur souhaite bon courage.

Pour ma part, il y a longtemps que ma seule personne a déjà accompli toutes ces prouesses réunies. En voici un florilège comparé.

J'ai fait quelques sauts en parachute, dont certains sur cible, sans jamais me fouler… la cheville ! Etant élu depuis plus de vingt ans, j'ai exercé des responsabilités qui m'ont permis d'agir pour le bien commun. Ces six dernières années, de la première à l'actuelle, je ne crois pas avoir été le moins présent ou le plus fainéant des élus, mais je ne revendique pas de médaille.

Je n'ai plus de portable depuis trois ans et donc plus d'insupportables non plus ! J'enseigne l'anglais mais j'essaie aussi de ne point écorcher la langue française qui m'a construit. Pour l'italien, je n'ai aucun mérite, c'est ma langue maternelle ! J'ai toujours été mince, il est vrai que c'est de naissance, pourtant je suis un ogre impénitent !

"Accro" depuis longtemps à l'ordinateur, j'ai toujours tapé moi-même sur un clavier, et, je peux bien l'avouer, parfois un peu plus fort sur les autres ! Pourquoi ferais-je animer mon blog par quelqu'un d'autre ?

Je lis La Provence dès 7 heures du matin avant de me rendre au travail. Je me procure aussi d'autres organes de presse, ce qui me permet de ne pas m'en laisser compter par le petit écran devenu grand, plasma et cata. J'ai toujours été aimable et indulgent avec mes élèves ou, plus exactement, sévère mais juste !

J'ai pour habitude de préférer les débats d'idées et, pour moi, mes camarades ne sont jamais petits ou cantonnés dans un quelconque ressort sauf si eux-mêmes se considèrent plus grands ! Voilà donc comment, peu à peu, je me suis forgé la conviction qu'il arrive parfois des choses extraordinaires aux gens les plus ordinaires.

Estimant ne pas être dépourvu de ces banales qualités, non moins que d'incorrigibles marottes, m'est venue l'idée que je pouvais, à mon tour, concourir loyalement. Ainsi ai-je déclaré : "Comme je vois qu'il y a beaucoup de candidats, beaucoup d'annonces prématurées, je décide, en paraphrasant un homme célèbre, de pas exclure de l'être."

N'ayant pas vraiment à m'imposer de me réformer par de nouveaux défis personnels et me semblant, soit dit sans prétention, assez bien armé, ai-je ajouté, "Les bonnes résolutions, je les fais prendre aux autres." Autrement dit, à ceux qui éprouveraient encore un soupçon de besoin de refaire quelques retards.

Et pour conclure dans l'humour, j'espère avoir déjà tenu parole en m'appliquant à faire… assez court, malgré un kilométrage dûment certifié à mon compteur non trafiqué. J'en connais qui vont s'inquiéter.

30 novembre 2006

Le 14ème dessert : "Le Ravi crèche à Aix"...

santon_ravi_grandUne surprise, un cadeau ! Ça tombe bien, c'est la fin de l'année.

Le mensuel satirique "Le Ravi" a consacré un dossier spécial de sept pages à Aix (n°35 – Nov. 2006). Voici l'édito de Michel Gairaud. Un vrai régal pour les papilles, même si certains risquent d'y trouver un goût un peu épicé…

Les cauchemars de la belle endormie

Il y a Aix-en-Provence façon carte postale : paisible cité bourgeoise, avec ses universités, son palais de justice, son art de vivre provençal, ses grands rendez-vous culturels. Et le côté caché du calisson : un maire contesté, une opposition divisée, des logements inabordables, une jeunesse négligée...

"La loi SRU a été fabriquée par des intellos, de droite ou de gauche, comme tu veux !" Début octobre, lors du conseil municipal, Maryse Joissains s’adresse à Lucien-Alexandre Castronovo, conseiller d’opposition Radical de Gauche, qui l’interroge sur son refus de créer "trop" de logements sociaux à Aix-en-Provence. "La densification des quartiers déjà construits n’est pas une bonne idée. Ou alors c’est peanuts !", poursuit Mme le Maire dans son style inimitable qui tranche avec le décorum solennel de la salle des Etats de Provence.

Durant les séances publiques, le premier magistrat de la "ville du Roy René" nomme ses adjoints par leur prénom, court-circuite l’ordre du jour, multiplie les digressions diverses, tutoie presque tous les élus, ceux de l’opposition inclus. "Elle me tutoie, je la vouvoie, souligne Castronovo. Une fonction, cela se protège. Et puis, plus je suis poli, plus sa vulgarité apparaît." Chaud l’ambiance !

Alors que l’échéance des élections municipales approche, le climat politique de la "belle endormie" est déjà électrique. Dans les rangs socialistes, les partisans d’Alexandre Medvedowsky et de Michel Pezet s’affrontent pour obtenir l’investiture du parti en 2008. Laissant Radicaux de Gauche (PRG), Verts, mais aussi l’UDF François-Xavier de Peretti, mener une opposition musclée contre le "système Joissains". Car à Aix-en-Provence, le pouvoir s’exerce en famille. Alain Joissains, l’époux de Maryse, maire de la ville de 1978 à 1983, condamné pour abus de biens sociaux, occupe le poste de directeur de cabinet. Sophie, leur fille, est chef de cabinet à la Communauté d’agglomération du pays d’Aix (CPA). "Dans l’administration, menaces, pressions, intimidations du cabinet noir sont le lot commun, poursuit Lucien-Alexandre Castronovo. On sent bien que les Joissains cumulent absolument toutes les fonctions pour mettre un maximum de côté." L’élu PRG a engagé une action en justice contestant l’indice de salaire dont bénéficie Alain Joissains, le plus élevé de l’hôtel de ville...

"Cette approche familiale du rapport au pouvoir et à la prise de décision par un petit cercle autorisé ne correspond pas à une pratique démocratique sereine et efficace", condamne Medvedowsky. "On retrouve le même scénario qu’à Vitrolles du temps des Mégret, assène François-Xavier De Peretti. Un ancien maire, qui ne peut pas se représenter, fait monter sa femme en devenant son directeur de cabinet. Je viens de Corse : là bas, on appelle cela un clan." S’il a conservé sa place protocolaire lors des conseils, simplement séparé du maire par le premier adjoint, l’élu UDF est entré en résistance. Il a fondé "l’Union pour Aix", machine de guerre pour les prochaines municipales. Parmi les motifs de sa rupture ? "J’ai découvert des gens à la droite de la droite dont la culture n’appartient pas aux valeurs républicaines", dénonce François-Xavier De Peretti. "Maryse Joissains tient un discours ultra-radical, façon de gagner des voix sur l’extrême droite, déplore en écho Cyril di Méo, conseiller municipal Vert. Mais en plus de son discours populiste, elle fait vraiment une politique de classe, de "gentrification" En refusant, par exemple, de construire des logements alors qu’Aix dispose d’une réserve foncière considérable, elle prend le risque de transformer définitivement la ville en un ghetto pour riches."

Contestée sur sa "gouvernance", Maryse Joissains l’est aussi sur son bilan. "Ce n’est même plus un audit qu’il faut faire, c’est une autopsie. Derrière son vernis, cette ville souffre du manque de transports, de logements, d’emplois", assène Lucien-Alexandre Castronovo. "Est-il normal qu’à cause de tarifs immobiliers prohibitifs, Aix soit considérée comme le 21e arrondissement de Paris ? Et que les Aixois et leurs enfants soient obligés d’aller se loger à des dizaines de kilomètres de notre ville ? Une telle situation n’est pas tolérable !", martèle Alexandre Medvedowsky. "On croit qu’Aix est une ville nantie mais le revenu moyen de ses habitants est plus bas que celui des autres villes de même taille en France, affirme François-Xavier de Peretti. En voulant bloquer artificiellement les mouvements naturels de population, la municipalité crée une surchauffe du marché de l’immobilier. Il faut bâtir un nouveau pôle urbain entre l’Arbois, les Milles, la Pioline avec la Duranne pour centre". Michel Pezet, tout en refusant d’entrer tout de suite en campagne et "de commenter au coup par coup les dossiers traités au conseil municipal", juge aussi que le logement est le point noir à régler : "Il faut construire à Aix, sans forcément bâtir une nouvelle Vitrolles, en évitant de créer des zones où l’on travaille et d’autres où l’on habite."

L’agitation politique aixoise traduit aussi une crise d’identité et de croissance, d’une ville qui a gagné 5 % d’habitants en cinq ans. Polluée, saturée par les embouteillages – "on passe parfois autant de temps dans son véhicule qu’en région parisienne", souligne Alexandre Medvedowsky - Aix-en-Provence ne cadre plus forcément avec sa carte postale. Les étudiants, censés être chez eux, n’y sont guère choyés. L’hyper centre se muséifie mais est déserté par les familles chassées par le prix des loyers, une offre en crèche insuffisante. "Le conseil municipal a voté la diminution de l’aide aux écoles car les inscriptions diminuent", dénonce Cyril di Méo. Concurrencée par Marseille qui revendique son rôle de ville centre de la métropole, Aix n’a plus forcément la main haute sur le domaine universitaire ou judiciaire. Même en matière culturelle, autre secteur de prédilection, la ville peine à préserver la diversité de son offre au profit d’un certain élitisme. "L’exposition Cézanne, qui a pris des années à être mise en place, a été un succès. Très bien ! Mais est-ce que cela va retomber comme un soufflé ?", questionne Michel Pezet.

Aix ne dort plus. Mais elle a du mal à ouvrir grand les yeux.

14 novembre 2006

Me prendre pour un autre, non, mais !

Un instant, j'avais redouté le pire : avoir mauvaise presse à cause d'une confusion. Dans le journal "La Provence" de ce mardi, j'ai enfin retrouvé mon visage. Et cette fois-ci, je me suis reconnu sans effort. Pourquoi ? Parce que j'ai toujours eu pour habitude de me regarder bien en face. Ce n'est pas que je faisais la mauvaise tête, non. Mais, franchement, me prendre pour un autre ! Seul Raymond Devos pouvait réussir un tel scoop.

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10 novembre 2006

Je n'ai jamais fait de la moto, moi !

motocoureur_smallLe journal "La Provence" de ce vendredi a fait paraître une info pour annoncer la naissance de mon blog. Il y avait deux erreurs. Malgré tous mes efforts, je ne me reconnais absolument pas dans la photo publiée. C'est sûrement celle de quelqu'un d'autre. Et pour cause, je ne fais pas de la moto, je suis un coureur de fond au kilométrage conséquent, compteur non trafiqué. Ensuite, l'adresse de mon blog a été agrémentée d'un http:// inutile puisqu'on peut y accéder directement en tapant castronovo.canalblog.com. Cette rallonge a coupé canalblog en deux par un trait de renvoi à la ligne. L'adresse devient donc inaccessible. Bon, ce n'est pas grave. Le journal va sans doute faire un rectificatif par lui-même. Mes réseaux ont en revanche bien fonctionné : en trois jours, ce sont quelque 110 visiteurs qui ont découvert le blog, un nombre qui a "enflé" de jour en jour, contrairement à ma tête qui, elle, a gardé une taille normale, avec mon vrai... visage.

6 novembre 2006

Spécial Aix

RAVI_WEB

Sympa ! "Le Ravi" crèche à Aix ! En ce mois de novembre, le mensuel régional d'infos et satire se penche sur notre ville. Sept pleines pages consacrées à la vie politique aixoise, cela ne se refuse pas (en kiosque, 2 petits euros). En couverture, le santon lève les bras. Nous fera-t-il tomber les nôtres ? A découvrir, à lire et à diffuser sans modération.

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