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le Blog de Lucien-Alex@ndre CASTRONOVO
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  • Prof d'anglais retraité Sous-officier Armée de l'Air Président assos culture, éducation, social 1978-1989 Correspondant presse locale 1989-1995 Conseiller municipal liste Yves Kleniec 1983-1989 Adjoint liste Jean-François Picheral 1995-2001 Parti radical de gauche 1998-2008 Conseiller municipal liste Michel Pezet 2001-2009 Conseiller municipal liste Edouard Baldo 2014-2020 lucalexcas@aol.com
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16 juillet 2007

14-Juillet : Comment en prendre pour son grade…

Des chiffres et des êtres

Il faut toujours être prudent lorsqu'on évalue la taille d'une foule. Chacun sait que, lors de toute manifestation, organisateurs et police ne fournissent jamais les mêmes chiffres. Parfois, on frise même le ridicule. Il y a quelques semaines, des policiers mécontents étaient dans la rue et ils n'ont pas pu se mettre d'accord avec les forces de… police qui les "encadraient" !

J'étais au défilé du 14-Juillet sur l'avenue des Belges et j'ai estimé qu'il n'y avait pas foule. La presse de ce dimanche dit le contraire. Pourquoi pas ?

Mon avis se fonde sur des comparaisons avec les énormes masses de gens qui, par un passé lointain ou encore récent, ne rataient l'événement sous aucun prétexte. La correspondante qui a produit l'article est peut-être trop jeune pour disposer des mêmes références surtout après une interruption de cette cérémonie pendant quatre ans.

Comptes à régler

Bruno Genzana et Stéphane Salord, sans Jean-Pierre Bouvet, en rupture de trio, ont fait 14-Juillet à part. Sans doute veulent-ils marquer ainsi leur position dissidente vis-à-vis de Maryse Joissains. Mais, tout cela semble bien sournois car je ne les ai pas encore vus voter une seule fois contre quelque décision que ce soit du maire au conseil municipal.

Et puis, là encore, la presse nous dit qu'il y avait 1.000 personnes (un compte tout rond !) à ce rendez-vous. Je n'ai pas d'éléments concrets pour pouvoir jurer que c'était beaucoup moins. Mais pour qui connaît le lieu où s'est passée cette fête, il serait étonnant qu'on puisse y entasser autant de monde.

On comprend en tout cas que le chiffre est cité avec réserve. Il est extrait d'une déclaration faite par l'un des deux adjoints séparatistes. C'est de bonne guerre.

La publicité – ou la propagande, au choix – a ses règles, laissant à chacun le soin de rétablir les choses à de plus justes proportions. Tout le monde sait que la moindre kermesse n'est jamais annoncée comme étant "petite".

Revers de médaille

Au pavillon Vendôme, Maryse Joissains a voulu honorer le colonel Moine à l'occasion de son départ à la retraite. Si l'idée était sympathique de féliciter un grand serviteur de l'armée, en revanche, le maire a un peu emmêlé les mots pour le dire. Ainsi, a-t-elle déclaré : "J'ai le plaisir de vous remettre la médaille de la Ville gravée à votre effigie."

Confondre "nom" et "effigie", c'est comme prendre un mot pour une image. Et écorcher la langue française par un lapsus non corrigé, c'est comme prendre un revers en perdant la face.

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16 juillet 2007

"Arrêt sur images" : J'ai reçu ça

Arret_Schneidermann

(Clic sur l'image pour agrandir)

      Chers amis,

   Je ne peux m'empêcher de vous appeler ainsi, tant vous avez compté dans la vie de toute l'équipe d'Arrêt sur images, au cours du mois écoulé. Vous êtes près de 175 000 qui avez signé la pétition initiée spontanément par l'un d'entre vous, Anthony, et réclamant le maintien de votre émission sur France 5.

   175 000 ! Ce mouvement, sans précédent, nous a emplis de fierté et de gratitude. Il justifie pleinement le travail accompli, tout au long de ces années, par notre équipe. Je veux d'abord, du fond du coeur, vous remercier. Nous vous avons beaucoup donné. Vous nous le rendez aujourd'hui, et de quelle manière!

   Nous vous donnerons encore. Anthony va clôturer cette pétition le 18 juillet prochain (tout le monde a droit à des vacances). Il la remettra alors à la direction de France Télévisions. Si certains de vos proches n'ont pas encore signé, c'est le moment ! Malheureusement, il est peu probable que votre mobilisation soit couronnée de succès. La direction du groupe public a donné maints signes publics de son refus de revenir sur sa décision. Je ne la commente pas ici. Je l'ai assez fait, au cours des semaines écoulées.

   Mais ne pensez pas pour autant que votre mobilisation aura été vaine. Elle aura d'abord montré la force de la demande sociale d'une critique des médias, exercée au sein même des médias. Cette demande, nous la connaissions. Elle vient de crier, paisiblement, qu'il faudra compter avec elle. Malheur à ceux qui l'oublieraient.

   Votre mobilisation aura ensuite poussé puissamment à la résurrection d'une émission comparable à Arrêt sur images. A l'heure où je vous écris, des discussions se poursuivent avec plusieurs médias, français et étrangers, susceptibles d'accueillir notre travail dès la rentrée prochaine.

   Ne m'en veuillez pas, pour une fois, de rester un peu plus discret que d'habitude, et de faire violence à mon tropisme de la transparence: ces discussions ont besoin d'une certaine tranquillité. Vous serez informés aussitôt que possible sur le big bang blog.

   Laissez-moi seulement vous dire que tout est encore possible. Vous n'avez peut-être pas fini de vous arrêter sur les images avec nous, sur les écrans de votre téléviseur, ou...de votre ordinateur (ou des deux).

                           Bon été à tous. N'abusez pas de la télévision !

                                Pour toute l'équipe d'Arrêt sur images,

                                          Daniel Schneidermann

http://www.bigbangblog.net

15 juillet 2007

La marine débarque à Aix

Marine_le_14_juillet

(Clic sur l'image pour agrandir)

Des marins sur l'avenue des Belges, ce n'est pas une galéjade. Le défilé du 14-Juillet, qui faisait son retour à Aix après plusieurs années d'absence, a réuni, vers 17 heures et pendant 30 minutes, des détachements de la marine de Toulon, de terre de Carpiagne et de l'air de Salon. On a aussi vu la gendarmerie, les pompiers et la police municipale.

Mais l'on avait l'impression que c'était un petit retour.

Maryse Joissains a expliqué que la disparition de la cérémonie était due à la fermeture de la base aérienne d'Aix. L'argument ne tient pas car le moindre petit village est capable d'organiser des manifestations avec moins de moyens.

Par ailleurs, je m'étonne furieusement que le maire n'ait fait aucune sorte de communication au conseil municipal du 9 juillet pour inciter les élus et le public à venir en nombre. Sur 55 élus, il n'y avait que 18 présents ! Désolé de faire le mouchard mais cela me scandalise.

Quant à la population, regroupée du côté ombragé de l'avenue, elle n'est pas venue en masse, c'est un euphémisme. L'information a été mal faite là aussi, pas de doute.

Alors que Paris et Marseille se sont surpassées, je trouve anormal, toutes proportions gardées, que notre ville ait réduit ce moment républicain à peau de chagrin. Ce n'est pas comme ça qu'on transmet ce qui fonde notre nation.

Pour compléter le tableau, à la réception donnée au pavillon Vendôme, le maire a tenu un discours décousu, à l'image même de ce qu'a été le défilé. Je n'ose même pas rapporter le niveau indigent des propos. Repos !

14 juillet 2007

Cadeau : "Ma France", de et par Jean Ferrat

Jean_Ferrat

En cette journée républicaine, quelques instants de poésie à partager :

http://www.dailymotion.com/related/910138/video/xyrzk_ferrat-ma-france 

(si nécessaire, augmenter le volume du son de l'ordinateur)

                      De plaines en forêts de vallons en collines

                      Du printemps qui va naître à tes mortes saisons

                      De ce que j'ai vécu à ce que j'imagine

                      Je n'en finirai pas d'écrire ta chanson 

                        Ma France
                      Au grand soleil d'été qui courbe la Provence

                      Des genêts de Bretagne aux bruyères d'Ardèche

                      Quelque chose dans l'air a cette transparence

                      Et ce goût du bonheur qui rend ma lèvre sèche 

                        Ma France
                      Cet air de liberté au-delà des frontières

                      Aux peuples étrangers qui donnaient le vertige

                      Et dont vous usurpez aujourd'hui le prestige

                      Elle répond toujours du nom de Robespierre 

                        Ma France
                      Celle du vieil Hugo tonnant de son exil

                      Des enfants de cinq ans travaillant dans les mines

                      Celle qui construisit de ses mains vos usines

                      Celle dont monsieur Thiers a dit qu'on la fusille 

                        Ma France
                      Picasso tient le monde au bout de sa palette

                      Des lèvres d'Eluard s'envolent des colombes

                      Ils n'en finissent pas tes artistes prophètes

                      De dire qu'il est temps que le malheur succombe 

                        Ma France
                      Leurs voix se multiplient à n'en plus faire qu'une

                      Celle qui paie toujours vos crimes vos erreurs

                      En remplissant l'histoire et ses fosses communes

                      Que je chante à jamais celle des travailleurs 

                        Ma France
                      Celle qui ne possède en or que ses nuits blanches

                      Pour la lutte obstinée de ce temps quotidien

                      Du journal que l'on vend le matin d'un dimanche

                      A l'affiche qu'on colle au mur du lendemain 

                        Ma France
                      Qu'elle monte des mines descende des collines

                      Celle qui chante en moi la belle la rebelle

                      Elle tient l'avenir serré dans ses mains fines

                      Celle de trente-six à soixante-huit chandelles 

                        Ma France

13 juillet 2007

Par ici… la petite monnaie

hirsch

(Clic sur l'image pour agrandir)

                  

Ça tombe bien, c'est le jour de la super cagnotte !

Le haut commissaire (mais avec de petits moyens) aux solidarités actives contre la pauvreté, Martin Hirsch, a été chargé de ne pas hésiter à mettre le paquet (pas fiscal, bien entendu) pour réduire la pauvreté en France d'au moins… un tiers en… cinq ans.

Mission impossible mais il faut bien faire comme si, n'est-ce pas ? Parce que, pendant ce temps, le gouvernement est bien obligé de s'occuper de quelques riches pauvres qui n'en peuvent plus de souffrir.

Le pactole fiscal qu'examine l'assemblée nationale va concerner 150.000 foyers. Huit mesures leur sont destinées dont le coût est estimé à 13,6 milliards d'euros. Rappelons que la hausse probable de la TVA, l'impôt le plus inégalitaire qui soit, ne fera pas de quartier. Elle s'adressera à tout le monde. Quant au SMIC, déjà jugé trop généreux, il n'a été augmenté au 1er juillet que de 2,1% et le revenu de solidarité active (que c'est beau !) ne se verra doté que de 25 millions d'euros.

Tiens, j'ai une idée : on devrait suggérer au gouvernement de verser ces oboles en fausses pièces, ça pourrait peut-être pimenter le rire carnassier de nos plus grosses fortunes… Vive la République ! Vive la France !

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13 juillet 2007

Par là… les gros sous

paquet_fiscal

(Clic sur l'image pour agrandir)

280 milliards d'euros, soit 15% du Produit intérieur brut, c'est-à-dire ce que produit la France en un an.

Selon l'hebdomadaire "Challenges", les 500 plus grandes fortunes professionnelles de France pèsent beaucoup plus lourd qu'en 1997. Elles ne détenaient à l'époque "que" 6% (soit 200 milliards) du PIB hexagonal. Ce patrimoine a triplé et crû trois fois plus vite que la richesse nationale, relève le magazine.

Et pour la troisième année consécutive, le grand gagnant est : Bernard Arnault, patron de LVMH. Il tient le haut du podium avec une fortune professionnelle de 23 milliards d'euros (juste de quoi s'acheter quelques caramels).

Gérard Mulliez, patron d'Auchan, conserve sa deuxième place avec 17 milliards (ouf, on avait peur pour lui), juste devant Liliane Bettencourt, du groupe L'Oréal, avec 15 milliards (ça le vaut bien).

François Pinault, patron du groupe de luxe PPR, arrive quatrième, avec 10 milliards (ben oui, à lui la médaille en chocolat).

Selon "Challenges", l'augmentation vertigineuse de ces fortunes colossales s'explique par "la flambée des cours de bourse, la multiplication des opérations juteuses de rachats d'entreprises, et par le retour en grâce des valeurs Internet. En 1997, il suffisait d'une quinzaine de millions d'euros pour faire partie du classement."

Des gens aussi fortiches méritent une adoration sans fin. Moi, je vénère tellement ces picsous que je vais apprendre les noms des 15 premiers par cœur. J'en trouverai bien un qui voudra bien me lancer une pièce…

Pour consulter la liste complète des 500 misérables qui profitent de notre transpiration et piquent dans nos poches :

http://www.challenges.fr/classements/pdfs/CHALL_088_tablo/docs/all.pdf

12 juillet 2007

Turbulences en Pays d'Aix

Pertuis : La chirurgie disparaît

La casse du service public de santé est en marche, qu'on ne se fasse plus d'illusions. Le service de chirurgie de l'hôpital a été définitivement fermé ce lundi. C'est l'Agence régionale de l'hospitalisation (ARH) qui l'a annoncé. La décision n'est pas sans importance. Plus aucune opération ne sera pratiquée dans cet hôpital. Selon le directeur de l'agence, le projet de chirurgie ambulatoire, mis en avant et défendu par le conseil d'administration et par un cabinet d'études, ne permettait pas de régler les problèmes financiers. Alors que des rénovations et des aménagements avaient été entrepris, le couperet est tombé. Le service de santé de proximité disparaît. Même si, dans le proche avenir, les crédits accordés à la chirurgie devraient être répartis sur l'ensemble de l'établissement pour développer les soins de suite et les urgences et rénover le service de la maternité.

Plan de Campagne : Toujours dans l'illégalité

Mardi, au tribunal de grande instance d’Aix, plusieurs enseignes de Plan de Campagne, qui avaient passé outre à l'obligation de fermer le dimanche en avril dernier malgré une interdiction par arrêtés, étaient assignées par les syndicats. Si certains salariés étaient venus expliquer leur inquiétude de voir des emplois supprimés, étaient également présents les représentants des syndicats CGT et CFDT. La décision du tribunal, mise en délibéré, ne sera connue que le 17. Va-t-on enfin avancer pour remettre cette zone commerciale sur le chemin du respect du droit ?

Ventabren : Qui a tourné casaque ?

Si l'on a bien compris, les onze élus de l'équipe de Claude Filippi qui ont démissionné reprochent au maire un comportement une peu trop personnel une exagération des frais de représentation. Ils ont décidé de ne plus lui témoigner leur confiance. Le maire reproche aussi maintenant à son ex-première adjointe d'usurper le sigle UMP. Cette dernière lui renvoie méchamment la balle en rappelant que Claude Filippi a tourné casaque entre les deux tours de la présidentielle en soutenant Sarkozy après avoir voté Bayrou. Difficile de s'ériger en donneur de leçon quand on prend le train en marche.

Cabriès : Ça tangue

Le dernier conseil municipal ne s'est pas déroulé dans un climat serein. Les reproches adressés par les opposants à Hervé Fabre-Aubrespy concernaient ses choix politiques et sa manière de gérer les affaires de la commune. Le maire se targue de savoir ce que pensent les habitants mais ces derniers ne siègent évidemment pas au conseil. Pourtant les questions posées par les élus de l'opposition et les observations détaillées précises qui les accompagnaient semblent bien lui donner tort. Lors d'une réunion publique sur l'habitat, l'ambiance n'était pas non plus à la sérénité, ce qui est toujours mauvais signe pour la qualité de la démocratie.

12 juillet 2007

Le style sportif de Sarko laisse à désirer

Logo_Courrier_international

Courrier international du 28 juin 2007 a publié un intéressant article signé par Geneviève Grimm-Gobat, journaliste et professeur de sport, sur le style sportif du président. Un portrait bien brossé…

Nicolas Sarkozy n’a rien inventé. Bien avant son arrivée à l’Elysée, le style présidentiel sportif s’était incrusté à la Maison-Blanche. Dans les années 1930 déjà, Roosevelt y installait un court de tennis, puis Eisenhower, un green. Les foulées des présidents Carter, Clinton et Bush ont été longuement filmées.

Une image de dynamisme et d’efficacité que le nouveau président français a reprise à son compte. Il court dans le bois de Boulogne, à Malte, au fort de Brégançon, lieu officiel de villégiature du président de la République française.

Son jogging a fait la une des quotidiens et magazines et l’ouverture des journaux télévisés, au point de marquer symboliquement les premières images de sa présidence. Mais, il faut le reconnaître, Nicolas Sarkozy court très mal. Sa foulée est d’une inefficacité ahurissante pour un homme qui se veut synonyme d’efficience.

Lorsqu’ils courent avec lui, François Fillon et ses gardes du corps doivent tirer sérieusement le frein pour ne pas le dépasser. Son déplacement est laborieux. Ses rictus de souffrance accompagnent des efforts bien mal récompensés, parce que mal investis. Puisse sa politique ne pas subir le même sort !

Comment expliquer un pareil écartement des jambes ? Ses pieds orientés à 11 heures 5, voire 10 heures 10 évoquent Chaplin, mais ne favorisent pas sa course. Idem pour le moulinet du bras droit. Quant à sa foulée rasante, due à un cycle arrière quasi inexistant, elle ne lui permet pas de rebondir, mais le scotche carrément au sol.

Une analyse biomécanique révèle que l’amplitude et la fréquence, deux paramètres essentiels pour une progression rapide, font défaut. Les balancements latéraux des bras, totalement inefficaces, coûtent de l’énergie à chaque foulée. La pose du pied, l’inclinaison du buste, la musculature insuffisante ainsi qu’une surcharge pondérale constituent autant de problèmes à corriger, selon Renaud Longuèvre, expert consulté par L’Equipe (édition du 26 mai 2007).

Bien courir n’est pas une faculté innée, n’en déplaise à Nicolas Sarkozy. Comme le saut à la perche ou le lancer du poids, la course à pied requiert une technique. Sans s’abaisser à rejoindre un club de la Fédération française d’athlétisme pour se faire conseiller par un entraîneur compétent, le nouveau président pourrait tirer profit de la technique Pose. veloppée par Nicholas Romanov, un Sibérien spécialiste de la biomécanique du sport, la technique Pose peut se résumer pas ce conseil : “Cours comme si tu te déplaçais sur des charbons ardents.”

11 juillet 2007

Au conseil municipal, tout n'est pas triste

Sans les roues

A la question "Pourquoi ne peut-on pas circuler à vélo sur le site des Allées provençales ?", il a été répondu "Ce n'est pas interdit mais il faut rouler à la vitesse piéton". Autrement dit, tu as le droit de déambuler avec ton vélo mais… sans les roues.

Enfumage

A en croire le maire, parlant du contrat vélos avec Decaux, Chorro "ne s'est jamais fait enfumer sur une négociation". Rayon vélos, peut-être. Mais pour le recyclage de sa liste dans celle de Joissains en 2001 et vu le nombre de sorties de route du tandem, j'ai bien des doutes.

CV pour l'UMP

Selon certains élus de l'équipe du maire, si un édile n'a jamais vécu ou ne vit pas en HLM, il ne comprend rien à la vie en HLM. S'il n'a pas été ou n'est pas commerçant, il ne peut pas être un bon élu. En revanche, s'il vit en HLM, s'il est commerçant et s'il énonce de telles âneries, on l'accepte à l'UMP à bras ouverts.

Dos d'ânes

Sans plaisanter, les enfants pourront bientôt faire d'agréables promenades à dos d'ânes dans divers parcs de la ville. Le dossier présenté au conseil municipal ne précisait pas s'il fallait l'autorisation de l'UMP.

Chenille

Chaque année, une lutte féroce est engagée pour assurer la sauvegarde des jeunes pousses de pins en forêt communale. Pour ce faire, on applique un traitement costaud contre la chenille processionnaire. L'affaire est sérieuse puisqu'on épand un insecticide par hélicoptère. Le déplacement de la chenille telle que décrite par son adjectif ressemble un peu, toutes proportions gardées, à celui du mouton que Panurge acheta au marchand Dindenault au "Pays des Lanternes" et qu'il noya, entraînant tous les autres dans l'eau par instinct grégaire. Ah, je vous y prends là, vous pensiez que j'allais oser un rapprochement avec certaines conduites politiques ?

11 juillet 2007

Des caméras partout : Une question de lunette(s) ?

surveillance_partout

(Clic sur les images pour agrandir)

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