Suspendus ou pendus seulement ?
Je n'épiloguerai pas sur les exclus, les dissidents, les pas encore exclus, les "et-lui-pourquoi-il-n'est-pas-menacé-comme-son-copain ?", les suspendus et même les pendus si on pouvait, mais... il n'y a pas assez de corde pour tout le monde.
Je ne releverai pas non plus la liste de celles et de ceux qui n'existent que parce qu'un roi ou une reine les a, un jour, fait roitelets et qui, maintenant, se croient détenteurs d'un sceptre – trop grand pour leur personne – pour s'autoriser à taper sur leur chef de file.
Ça, c'est la politique comme je l'exècre. Et il y a pire. Des élus sortants ou sortis, des deux bords, qui usent de mots indécents et tiennent des propos irrespectueux à l'encontre de ceux et de celles qu'ils ont suivi(e)s parfois à genoux. Eh oui ! Difficile ensuite de s'élever un peu quand on a fait trop de courbettes...