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le Blog de Lucien-Alex@ndre CASTRONOVO
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  • Prof d'anglais retraité Sous-officier Armée de l'Air Président assos culture, éducation, social 1978-1989 Correspondant presse locale 1989-1995 Conseiller municipal liste Yves Kleniec 1983-1989 Adjoint liste Jean-François Picheral 1995-2001 Parti radical de gauche 1998-2008 Conseiller municipal liste Michel Pezet 2001-2009 Conseiller municipal liste Edouard Baldo 2014-2020 lucalexcas@aol.com
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14 décembre 2007

Hier soir, beau succès pour "Aix à venir"

Hier soir, la rencontre publique de notre équipe a connu un beau succès. La salle du Centre des congrès était pleine à craquer. Les interventions à la tribune ont été sérieuses et nourries. Le débat avec la population est lui aussi allé au fond des choses.

La question urbanistique a été au cœur de la discussion. D'elle dépendent toutes les dimensions de la vie de notre cité : tissu urbain et mixité sociale, projets de centres de vie dans les quartiers et les villages, logement et déplacements, développement durable et qualité du cadre de vie.

Notre équipe a ainsi montré que la Ville ne peut plus se concevoir par petits bouts qui génèrent plusieurs villes en une seule. L'urgence est désormais de traiter l'ensemble des problèmes à l'échelle d'un territoire en supprimant les coupures urbanistiques, économiques, sociales et culturelles.

Il est grand temps de faire preuve de volonté politique pour rompre avec les pratiques individualistes et d'audace pour imaginer le développement pour tous.

Lire le numéro spécial de notre journal sur ce sujet : Aix_a_venir_numero_special_Travailler__Se_loger__Se_deplacer

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13 décembre 2007

"Travailler, se loger et se déplacer en Pays d'Aix"

Il y a les clichés qui enfoncent les portes ouvertes.

Il y a les promesses qui font bien dans un programme électoral.

Il y a les mesurettes qui font semblant.

Il y a les propositions qui restent dans le convenu.

Et puis, il y a les idées qui sortent des sentiers battus.

Ce soir, notre équipe convie les Aixois et, plus largement, les habitants du Pays d'Aix, à venir débattre des vrais enjeux qui fixeront notre destin pour les décennies à venir.

Notre projet rompt une fois pour toutes avec les catalogues illusoires qui se contentent d'additionner des solutions artificielles et éclatées.

C'est une réflexion cohérente, fondée sur une vision globale qui établit les liens indispensables pour régénérer notre "ville territoire".

C'est une ambition réaliste et concrète qui ne fait l'impasse sur aucune dimension du "vivre ensemble".

C'est un engagement qui sera mis en actes par étapes.

Notre objectif est de recoudre le tissu urbain et social, de recréer un cadre de vie agréable partout et pour tous et de permettre à chacun de travailler, de se loger et de se déplacer en Pays d'Aix.

Pour ce faire, nous avons a invité des personnalités à l'expertise reconnue.

Qu'on vienne s'en rendre compte sur place !

                           

Rencontre publique sur le thème

                                 

"URBANISME, LOGEMENT, DEPLACEMENTS,

QUEL AVENIR POUR NOTRE VILLE ?"

                

Jeudi 13 décembre 2007 à 19h00 (entrée gratuite)

Centre des Congrès, salle Milhaud

14 boulevard Carnot (parking)

                   

Animée par Philippe LANGEVIN

Professeur d'économie

Maître de conférences à l'Université de la Méditerranée

Avec la participation de Richard TRAPITZINE

Docteur en urbanisme

Directeur d'Urban Consult

De Dominique MICHEL

Ancien directeur de la Mission ville

et de la solidarité et de l'action sociale d'Aix-en-Provence

Et de Daniel BERENGER

Vice-Président de l'ADAVA-ADTC

Enseignant à l'ENTE (Ecole nationale des techniciens de l'équipement)

A l'initiative de Michel PEZET

Avocat à la Cour

Candidat à l’élection municipale d'Aix-en-Provence

Vice-Président du Conseil Général des Bouches-du-Rhône

Et de Jean-François PICHERAL

Sénateur des Bouches-du-Rhône

Maire d’Aix-en-Provence de 1989 à 2001

Lecteur

Lire le numéro spécial de notre journal "Aix à venir" sur ce thème, ici : Aix_a_venir_numero_special_Travailler__Se_loger__Se_deplacer

8 décembre 2007

Nouveau débat : Quel avenir pour notre ville ?

une_de_aix_avenir_special

(Clic sur l'image pour agrandir)

La une de "Aix à venir" spécial "Travailler, se loger, se déplacer en Pays d'Aix"

Etrange, mais tout le monde semble faire le même diagnostic sur les maux de notre ville. Y compris, sans crainte du ridicule, certains élus de la mairie sortante qui est en est largement responsable. En fait, pour les années qui viennent, la question est de savoir quel projet saura le mieux répondre aux défis qu'il faut relever.

Notre équipe a décidé de s'atteler à la tâche sans attendre. Nous avons déjà de nombreuses idées novatrices sur le sujet et nous les mettons donc en débat. Pour alimenter la réflexion et susciter les propositions, nous avons édité un numéro spécial de notre journal "Aix à venir", consacré au thème "Travailler, se loger, se déplacer en Pays d'Aix".

Nous organisons aussi une rencontre publique dédiée, intitulée "Urbanisme, Logement, Déplacements, Quel avenir pour notre ville ?" Une date à noter sur tous les agendas !

                   

Lecteur

Lire le numéro spécial (4 pages) :

Aix_a_venir_numero_special_Travailler__Se_loger__Se_deplacer

                     

Rencontre publique sur le thème 

                  

"URBANISME, LOGEMENT, DEPLACEMENTS,

QUEL AVENIR POUR NOTRE VILLE ?"

         

Jeudi 13 décembre 2007 à 19h00 (entrée gratuite)

Centre des Congrès, salle Milhaud

14 boulevard Carnot (parking)

               

Animée par Philippe LANGEVIN

Professeur d'économie

Maître de conférences à l'Université de la Méditerranée

            

Avec la participation de Richard TRAPITZINE

Docteur en urbanisme Directeur d'Urban Consult

            

De Dominique MICHEL

Ancien directeur de la Mission ville

et de la solidarité et de l'action sociale d'Aix-en-Provence

            

Et de Daniel BERENGER

Vice-Président de l'ADAVA-ADTC

Enseignant à l'ENTE (Ecole nationale des techniciens de l'équipement)

          

A l'initiative de Michel PEZET

Avocat à la Cour

Candidat à l’élection municipale d'Aix-en-Provence

Vice-Président du Conseil Général des Bouches-du-Rhône

             

Et de Jean-François PICHERAL

Sénateur des Bouches-du-Rhône

Maire d’Aix-en-Provence de 1989 à 2001

27 novembre 2007

Interview : Changer les habitudes à Aix

Voici mon interview par un étudiant d'une équipe de Sciences Politiques d'Aix, un entretien publié sur le blog "Aix à l'heure des municipales".

                   

    Figure de la gauche aixoise, Lucien-Alexandre Castronovo a décidé de participer au projet municipal "Aix à venir" de Michel Pezet et de Jean-François Picheral. Mais refuse de parler de "soutien". Rencontre.

  Pourquoi soutenir M. Pezet et J.-F. Picheral pour les prochaines élections municipales ?

   Ce n’est pas un soutien mais plutôt une participation. Les radicaux de gauche élus sont issus de la liste menée par Jean-François Picheral en 2001, c’est pourquoi nous avons décidé de lui rester loyaux. Comme il soutenait Michel Pezet, nous avons intégré son équipe et travaillons sur ce qui est à ce jour un projet. Car il n’est pas encore question de places sur une liste. Pour l’instant, j’ai pu apporter les bilans sur la gestion de Joissains, des idées sur les carences qu’on constate à Aix, par exemple les problèmes du logement, de la vie des quartiers, des centres de vie et ceux de la vie associative.

   Nous voulons changer les habitudes. Ensemble, nous pouvons représenter quelque chose de nouveau, dans le but de sortir de la situation actuelle, qui est une gestion au jour le jour et nous projeter sur 20-30 ans. Par exemple, mettre en place des projets que nous n’accomplirons peut-être pas nous-mêmes, comme J.-F. Picheral l’avait fait avec le projet Sextius Mirabeau.
   Aix a une vocation européenne, une vocation de capitale régionale en complémentarité avec l’aire métropolitaine marseillaise. Il faudrait développer Aix dans deux voies : d’une part, développer une économie porteuse d’emplois et, d’autre part, arriver à maîtriser l’urbanisme (Aix n’a pas de PLU, Plan local d'urbanisme), et effectuer un rééquilibrage social de toutes les parties périphériques de la commune. Tout cela ne peut se faire qu’à long terme. À coté, il faut répondre aux attentes quotidiennes en rééquilibrant les dépenses de la ville et de la CPA [Communauté du Pays d’Aix].

  Actuellement, vous êtes conseiller municipal d’opposition. Quelles responsabilités cela représente-t-il ?
                     

   C’est énorme. Les conseillers municipaux ont une responsabilité verticale, une délégation, et ne sont pas forcément intéressés par celles des collègues. Nous, au contraire, dans l’opposition, nous travaillons sur le plan horizontal, sur tous les sujets : budget, vie associative, espaces verts…
   La loi prévoit que les conseillers municipaux d’opposition siègent dans des instances, à la proportionnelle : la commission des finances, la commission d’appel d’offres. Ça permet d’exercer un contrôle, mais sans réel pouvoir de décision. On peut proposer, mais on ne peut faire voter un projet contre l’avis de la majorité. L’avantage de ce système est de permettre la représentation d’une minorité dans la vie municipale.
   Lors du conseil municipal, on reçoit les dossiers cinq jours avant la séance et on les travaille. Il y a les dossiers ordinaires, mais aussi des dossiers plus politiques, comme le budget, dont le vote est un des temps forts de l’année. J’aime beaucoup cette possibilité de poser des questions, de créer des missions d’information, tout en étant dans l’opposition. C’est constructif. La loi permet d’exercer un contrôle et de représenter la partie de la population qui vous a fait confiance, même si vous n’avez pas gagné.

               
  Comment en êtes-vous arrivé à faire de la politique ?
                              

   Beaucoup de gens d’origine étrangère comme moi, quand ils veulent s’intégrer, s’impliquent dans la vie publique. C’est comme une sorte de contrepartie vis-à-vis du pays qui vous accueille. Étudiant, je lisais beaucoup la presse, je m’intéressais à tout. Alors, je me suis engagé dans divers organismes comme les mutuelles étudiantes, les coopératives… Et puis je suis entré dans des associations qui avaient des implications locales et organisaient la vie de quartier, au Jas de Bouffan notamment.
   Les hommes politiques recherchent un large soutien, donc ils essaient de se rapprocher de ceux qui ont des assises locales. C’est ce qui s’est passé en 1983 avec la réintégration de la proportionnelle. On est venu me chercher sur une liste de gauche, très à gauche même. Ce n’était pas tout à fait une liste communiste, mais elle était soutenue par le PCF. La stratégie était celle du "mille-feuille", avec un tiers des candidats encartés, mais aussi deux tiers qui ne l’étaient pas. J’ai été un des trois élus de cette liste. Et par la suite, les choses viennent naturellement : on fait ses preuves et on finit par faire partie du paysage. C’est comme ça que je suis devenu adjoint de Jean-François Picheral. En 2001, j’étais dans les dix premiers de la liste, et avec la victoire de Maryse Joissains-Masini, je me suis retrouvé dans l’opposition.

                   
  Alors pourquoi avoir choisi le Parti Radical de Gauche ?
                                 

   Il y a dix ans j’ai pris ma carte au PRG pour trois raisons : d’abord parce que le radicalisme se confond avec la République, la laïcité et la solidarité. C’est le radicalisme qui a travaillé pour la loi de 1901 sur les associations, la séparation de l’État et de l’Église, l’impôt progressif sur le revenu et l’instruction publique. Et puis ce sont les radicaux qui, sous la IIIème République, ont été à l’origine des plus gros progrès sociaux. Enfin, le PRG est un petit parti. Je m’y sens plus à l’aise que dans un gros où l’on se bat pour un chef et non plus pour des concepts. Je privilégie les idées et les actes.
   Ce sont les raisons qui m’ont poussé à adhérer pour la première fois à un parti politique. Le Parti Radical de Gauche est un parti ouvert, pragmatique. Il n’est pas plus marqué par le collectivisme que par l’idéologie individualiste et capitaliste. À l’heure actuelle, on peut résumer ainsi ce que le PRG défend : l’épanouissement de l’individu dans une société organisée.

                      
                                                  Propos recueillis par Florent Chevallier

                     

http://sciencespoaix.blogs.nouvelobs.com

26 novembre 2007

Des repères et des défis pour "Aix à venir"

Rencontre_Universites_et_Justice_22

(Clic sur l'image pour agrandir)

On reconnaît notamment, de gauche à droite, Michel Pezet (2),

le Professeur Pierre Choukroune (3), le Bâtonnier Jean-Louis Keita (5),

le Professeur Bruno Etienne (6) et Jean-François Picheral (7)

Justice et Universités : Les débats sont lancés

Débattre et rencontrer les Aixois, tels ont été les temps forts qui auront marqué notre semaine. Jeudi, un public nombreux a répondu à notre invitation sur le thème de la Justice et des Universités. Nous avions invité d'éminentes personnalités pour placer le sujet à sa juste hauteur.

Un point a été fait sur l'évolution en cours de la carte judiciaire. Si Aix est épargnée par la suppression de tribunaux, il n'en faut pas moins traiter leurs localisations afin d'offrir des lieux décents de travail. On a appris que le projet du futur tribunal d'instance n'était qu'une maquette virtuelle et qu'aucun financement n'a encore été prévu !

Quant à la perspective de fusion de nos trois universités, elle a été au cœur des échanges, y compris avec la salle. Outre les enjeux et les formes de ce regroupement, a inévitablement été évoquée la nécessité de lier les problèmes de transports et de logement des étudiants.

Certains orateurs ont insisté sur les objectifs à viser, ceux de l'excellence dans tous les domaines. Beaucoup de choses restent à faire. Le prochain débat public prévu au Centre des congrès le jeudi 13 décembre portera sur le thème "Travailler, se loger, se déplacer en pays d'Aix". Je ne saurais trop le recommander à tous ceux qui tiennent à connaître nos propositions pour l'avenir d'Aix.

Jas de Bouffan : Le cadre de vie désespère la population

Pas un coin d'Aix où le cadre de vie ne pose problème. Et le diagnostic est encore plus aigu dans les quartiers de périphérie. Ainsi, en allant au Jas de Bouffan, à la rencontre des habitants des immeubles Castor, Pollux et Beltegeuse, nous n'avons pas été étonnés de relever les mêmes carences que dans d'autres quartiers.

Espaces verts à l'abandon, manque de collecte des détritus, réhabilitations insuffisantes, la liste des récriminations des habitants est longue. Certains logements subissent des fuites d'eau qui produisent régulièrement des inondations. Leurs locataires ont averti l'OPAC mais l'office ne fait rien et balade tout le monde.

Ce secteur, comme beaucoup d'autres, transpire le laisser-aller et la population nous fait part de son désespoir. Il va bien falloir y répondre…

Nous avons terminé notre matinée au grand marché, où nous avons pu prolonger nos échanges avec les habitants et leur parler de nos projets pour Aix. Pendant ce temps-là, d'autres membres de notre équipe ont continué à distribuer notre journal de campagne en divers points de la ville.

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21 novembre 2007

Rencontre publique : Universités et Justice

Jeudi 22 novembre 2007 à 19h00

Salle Europia, 46 avenue Robert-Schuman (parking réservé)

près de la Faculté de Lettres

          

Rencontre publique (entrée gratuite)

            

UNIVERSITES, JUSTICE, DEUX DEFIS AIXOIS

Avec la participation du Professeur Pierre CHOUKROUNE

Président du Comité Consultatif Régional pour la Recherche

Ancien Vice-Président de l’Université Aix-Marseille III

De Monsieur le Bâtonnier Jean-Louis KEITA

Président de la conférence des bâtonniers

du grand Sud-est et de la Corse

Et de Bruno ETIENNE

Professeur émérite des Universités

En présence de Michel PEZET

Avocat à la Cour

Candidat à l’élection municipale d'Aix-en-Provence

Vice-Président du Conseil Général des Bouches-du-Rhône

Et de Jean-François PICHERAL

Sénateur des Bouches-du-Rhône

Maire d’Aix-en-Provence de 1989 à 2001

19 novembre 2007

"La voie est libre" : Les coups lisses de l'émission

Pezet_voie_libre

(Clic sur l'image pour agrandir)

Michel Pezet et Hugues Girard après l'émission

Etre devant son écran de télévision ou derrière, ce n'est évidemment pas la même chose. Ce n'est pas la première fois que j'assiste ou participe à une émission de télé. Et cela m'a toujours étonné. L'émission "La voie est libre" de samedi, transmettant ce débat où tout était réglé au cordeau, m'a permis de le vérifier une fois de plus.

Tout est fait pour que le téléspectateur ne se rende pas compte de ce qui se passe dans les coulisses. Ce programme de France 3 est hebdomadaire. Le public pense certainement que le direct est toujours assuré depuis les studios de Marseille. Ce n'est vrai qu'une fois sur deux. Samedi, c'est le studio d'Antibes Côte d'Azur qui était à l'antenne.

Pour être à l'heure, nous avons donc dû partir tôt d'Aix. A notre arrivée aux portes de la station, l'accueil par le personnel a été chaleureux. Là, nous avons rencontré Philippe Tabarot, l'interlocuteur cannois qui avait été invité pour débattre avec Michel Pezet sur le thème des listes indépendantes aux élections.

Le journaliste était déjà maquillé et les deux débatteurs ont "subi" tour à tour le même sort. Un quart d'heure avant le direct, tout et tout le monde étaient déjà prêts dans le studio : décor, table, chaises, bancs, écrans de contrôle, cadreurs et réalisateur. Ne restait plus qu'à s'installer.

Des coussins bien utiles…

Chaque candidat avait droit à la présence de huit personnes placées dans la ligne de chacun d'eux pour figurer dans le public. Les bancs étant trop durs, il a fallu mettre des coussins sous vous savez quoi.

Nous avions décidé de composer notre équipe de façon à assurer la parité hommes / femmes et la diversité des âges et des appartenances politiques. Nos "concurrents" avaient fait de même.

Il n'y avait que trois caméras mais le télespectateur a pu avoir l'impression qu'il y en avait plus. En fait, les cadreurs font souvent des travellings pour varier les plans, en fonction des instructions du réalisateur.

Dès le "top", le silence se fait dans le studio et le journaliste Hugues Girard lance l'émission. Les échanges se déroulent sans temps mort, à l'exception d'une interruption de trois minutes pour un flash d'information à midi pile depuis la station Provence Alpes de Marseille. Nous voyons tout grâce à au moins deux dizaines d'écrans, grands et petits, disposés partout autour de la table centrale.

Chapeau, les professionnels !

D'habitude, les puissants projecteurs créent une chaleur insupportable. Il n'en a rien été samedi, il faisait même plutôt frais. Hugues Girard et Philippe Tabarot avait des notes sous les yeux, pas Michel Pezet. La discussion a été courtoise et parfois teintée d'humour.

A la fin de l'émission, nous avons applaudi spontanément mais cela n'a pas été diffusé. A la sortie du studio, la station avait prévu un pot au cours duquel nous avons pu converser et commenter le programme avec toutes les personnes ayant participé à l'émission.

Le retour en voiture nous a pris une heure et demie et nous sommes arrivés à Aix à 14h30. Pour trois quarts d'heure d'émission, il nous a donc fallu près de six heures de mobilisation.

Dans l'après-midi, j'ai visionné le débat sur le site de France 3. J'ai pu constater que rien de tout ce que nous avions vécu en coulisses n'était apparent. Chapeau, les professionnels !

                                                       

Pour voir l'émission, utiliser le lien dans mon article de samedi, ci-après)

France_3_antibes

17 novembre 2007

Municipales : "Aix à venir" en pointe dans les débats

La campagne des municipales est lancée. La première rencontre publique a eu lieu jeudi soir au Jas de Bouffan (voir l'article de vendredi 15 ci-dessous).

Ce samedi, nous sommes dans l'émission hebdomadaire "La voie est libre" sur France 3 Méditerranée.

Jeudi 22 novembre, nous proposerons une nouvelle réunion publique sur le thème "Universités et Justice".

A noter enfin qu'il est encore possible de découvrir le n° 1 de notre journal "Aix à venir" et de participer au débat.

La Voie est libre

F3_logoF3_La_voie_est_libre

                      

Aujourd'hui, de 11h30 à 12h15, en direct sur France 3 Méditerranée (à voir sur votre téléviseur), Michel Pezet est l'invité de Hugues Girard pour parler de sa candidature à l'élection municipale d'Aix.

                                             

Pour voir la présentation de l'émission, clic sur :

http://mediterranee.france3.fr/info/36062442-fr.php 

L'émission fait l'objet d'une présentation et d'un sondage intéressant (clic sur "résultats" du vote). Au passage, le texte d'annonce comporte une superbe "coquille" que je vous laisse découvrir…

                                                                                  

Pour voir l'émission en différé, clic sur :

http://jt.france3.fr/regions/popup.php?id=marseille_voixlibre 

à partir de cet après-midi et les jours suivants

(la mise en ligne sur le site de France 3 n'est pas immédiate)

Le journal "Aix à venir"

aixavenir

Pour lire le n° 1, clic sur :

https://storage.canalblog.com/83/89/207080/18926412.pdf

                  

Pour participer au débat sur nos propositions, clic sur :

http://www.michelpezet.org 

                        

Coordonnées pour contributions, contacts et informations :

Secrétariat : 04.42.63.39.43

michel.pezet@club-internet.fr

La réunion publique "Universités et Justice"

Jeudi 22 novembre à 19h00

"Universités et Justice"

Salle Europia, 46 avenue Robert-Schuman (parking réservé)

près de la Faculté de lettres

16 novembre 2007

"Pollution et Santé", le débat enfin dépollué

debat_pollution_et_sante

(Clic sur l'image pour agrandir)

Michel Pezet, Danielle Rumani-Elbez et le Dr Patrice Halimi

Aix-en-Provence produit 40% de la pollution qu'elle subit. Les autres 60% ont pour origine principale les bords de l'Etang de Berre. Contrairement aux idées reçues, le mistral ne chasse pas l'air vicié aixois. Notre ville forme une cuvette où la pollution stagne durablement.

Ce sont quelques-uns des propos entendus hier soir au Jas de Bouffan où se tenait  la première réunion thématique organisée par l'équipe de Michel Pezet.

Devant une salle pleine malgré le mauvais temps, Danielle Rumani-Elbez a animé cette rencontre et introduit le sujet de la soirée "Pollution et Santé". Elle a d'abord présenté les règles internationales et nationales qui s'appliquent aux antennes relais. Elle a ensuite cité quelques exemples de villes qui ont adopté des mesures liées au principe de précaution, notamment Paris.

Enfin, elle a rappelé comment nous avons porté sur la place publique le débat sur les dangers de la téléphonie mobile. La mairie a fait semblant de créer une commission, qui a mal fonctionné. Il n'en est rien sorti de positif car, à aucun moment, Maryse Joissains n'a manifesté la moindre volonté politique.

Prenant à son tour la parole, le Docteur Patrice Halimi, président de l'ASEP (Association Santé Environnement Provence, créée il y a à peine un an et qui compte déjà 300 médecins membres) a fait un brillant exposé insistant sur quatre points : transports publics, antennes relais, climat et pesticides.

Illustrant son argumentation à l'aide de cas concrets, dans un langage direct et non dénué d'humour, il a clairement signifié que nombre de ces problèmes ne relèvent pas de la fatalité. Il est possible d'agir pour peu qu'on le veuille et qu'on s'en donne la peine.

Selon lui, il faut écarter les mesures au coup par coup et traiter, sans faiblir et de manière globale, tous les risques et les dangers pour la santé, entre autres, les multiples pathologies liées aux difficultés respiratoires, aux diverses allergies, à certaines formes de cancers, et aux produits alimentaires pollués…

Ainsi a-t-il évoqué la qualité environnementale de l'habitat, la réduction de la voiture en centre ville, les modes propres de déplacements collectifs, la mise en réseau des acteurs de la vie publique et l'information permanente de la population.

En tant que pédiatre, le Dr Halimi a pu constater combien il était nécessaire de protéger l'ensemble de la population, notamment les enfants, premières victimes d'un environnement dégradé et néfaste.

Après un échange avec le public, Michel Pezet a formulé des propositions allant dans le sens des deux intervenants qui l'avaient précédé. Il a martelé qu'on ne peut plus attendre et qu'il inscrit ce combat comme une priorité.

Il a décidé de mettre en place tous les outils d'action et de contrôle pour que la qualité de la vie retrouve un sens. Pour lui, "le rôle d'une municipalité est essentiel, on ne peut pas tout le temps rejeter la faute sur les autres et s'en remettre uniquement à d'autres décideurs."

Au total, ce premier débat public aura eu l'avantage de poser les bonnes questions et de commencer à envisager enfin des réponses efficaces.

                               

En savoir plus sur l'ASEP :

http://santeenvironnement.fr/joomla_ASEP/index.php

15 novembre 2007

Aujourd'hui, débat public sur "Pollution et Santé"

Asphyxie des transports, antennes relais, bruit… Une étude récente l'a dit, la pollution à Aix-en-Provence atteint désormais des niveaux comparables à ceux d'Athènes ! Et notre santé en subit déjà de graves conséquences.

Personne ne doit plus s'en désintéresser. Un diagnostic sérieux et complet s'avère nécessaire pour enrayer ce fléau qui menace notre vie quotidienne.

Il est donc devenu primordial de bien informer la population et de traiter le problème de façon globale, sans plus tarder.

                               

INVITATION A LA REUNION PUBLIQUE

(entrée gratuite)

Sur le thème "POLLUTION ET SANTE"

                     

Ce Jeudi 15 novembre 2007 à 19h00,

salle Le Cèdre au Jas de Bouffan, avenue du Deffens

               

Animée par Danielle RUMANI-ELBEZ,

Conseillère Municipale d’Aix, Conseillère Communautaire

             

En présence du Docteur Patrice HALIMI,

Secrétaire Général de l’Association Santé Environnement Provence (ASEP)

            

A l'initiative de Michel PEZET,

Candidat à l’élection municipale,

Vice-Président du Conseil Général des Bouches-du-Rhône

          

Et de Jean François PICHERAL,

Sénateur des Bouches-du-Rhône,

Maire d’Aix-en-Provence de 1989 à 2001

               
Un débat à ne pas manquer !

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