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le Blog de Lucien-Alex@ndre CASTRONOVO
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  • Prof d'anglais retraité Sous-officier Armée de l'Air Président assos culture, éducation, social 1978-1989 Correspondant presse locale 1989-1995 Conseiller municipal liste Yves Kleniec 1983-1989 Adjoint liste Jean-François Picheral 1995-2001 Parti radical de gauche 1998-2008 Conseiller municipal liste Michel Pezet 2001-2009 Conseiller municipal liste Edouard Baldo 2014-2020 lucalexcas@aol.com
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11 février 2008

Election municipale : Sonder ou (se) tromper ?

sondages_en_question

Bien malin qui pourrait le dire ! Pour qui voteront vraiment les 9 et 16 mars les 91.000 électeurs inscrits à Aix ? Nul ne le sait. A moins de se fier aux certitudes dissonnantes assénées argent comptant par les horoscopes...

A quatre semaines du scrutin, La Provence annonce pourtant pour mardi la publication d'un sondage sur les intentions de vote pour l'élection municipale.

Bien avant la confirmation de cette nouvelle par le journal, des témoignages de personnes ayant été "sondées" se sont répandus dans la ville tout au long du weekend. Les commentaires n'ont pas traîné, dans la rue et sur les blogs. On a tout entendu et tout lu : surprises, incrédulités, questions biaisées, oublis de mention de listes pourtant déclarées, majoration et/ou minoration artificielle des scores, suspicions, degré de sincérité des répondants, manipulations, et on en passe.

Bien sûr, il faudra attendre de voir le sondage pour que chacun puisse se faire sa propre idée. Evidemment, tout sera épluché : représentativité de l'échantillon sondé, nature des intentions proposées, formulation des questions, objectivité, résultats, pondérations, totaux, interprétations pour le premier tour…

Le sondage aura-t-il fait mention des appartenances politiques des listes et de la composition de chacune d'entre elles ? Les alliances possibles ou improbables de second tour, les reports de voix auront-ils été présentés aux sondés ? Bien entendu, le sondage sera affiché comme indicatif et non comme un test grandeur nature préjugeant des votes réels au soir des 9 et 16 mars.

L'image étant figée aux jours de l'enquête, il serait surprenant qu'il puisse tenir compte des dynamiques ou des reculs qui s'opèrent habituellement tout au long d'une campagne. Sera-t-il capable de traduire expressément les mouvements souterrains inhérents à toute période électorale ? Pourra-t-il mesurer les changements d'avis au gré des événements ? Livrera-t-il le secret des corrections apportées par les nombreux indécis ? Quantifiera-t-il la part des abstentionnistes traditionnels ou spécifiques à cette élection atypique ?

Quoi qu'il en soit, le sondage ne vaudra que pour ce qu'il veut bien sonder au moment où il sonde. On peut aussi déjà imaginer la lecture subjective que des candidats et des électeurs en feront pour crier victoire ou voir leur moral baisser, quoi que…

J'ai encore en mémoire les intentions de vote de la municipale de 2001 qui mettaient notre liste largement en tête au premier tour et la donnaient gagnante au second comme une évidence. Démentant tous les sondages et tous les pronostics, c'est la coalition de trois listes à petits scores qui est entrée à la mairie. On pourra dire ou croire ce que l'on veut, seul compte le vote réellement exprimé !

En relisant une chronique sur la valeur et la portée des sondages, que j'avais produite il y a quelques mois avant les échéances nationales, je me dis que ce n'est pas demain qu'on en saura clairement plus.

               

Voir dans la colonne "catégories", la rubrique "Sonder ou (se) tromper".

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9 février 2008

Quatre candidats invités par le CIQ Luynois

CIQ_Luynois__06

(Clic sur l'image pour agrandir)

Michel Pezet au pupitre pour "Aix à venir"

Jeudi soir, à quelque 30 jours de l'élection municipale, les quatre candidats têtes de liste étaient invités par le Comité d'intérêt des quartiers luynois à la salle Ughetti. La salle était pleine, d'un côté les listes de gauche et de l'autre celles de droite. De nombreux colistiers accompagnaient leurs chefs de file. Mais l'absence de certains noms bien connus a été remarquée et diversement commentée en coulisses.

Le président avait tenu à organiser la rencontre sur la base de règles très strictes, qui ont été bien respectées par les candidats et le public.

Le CIQ Luynois avait souhaité interroger les prétendants sur quatre grands thèmes : l'urbanisme, les déplacements, la vie quotidienne et la démocratie de proximité. A tour de rôle, chaque intervenant disposait de 10mn pour la première question, puis de 5 mn pour chacune des trois autres. Enfin, 5 mn d'expression libre ont permis à chacun de conclure. A signaler que, par souci de neutralité et d'égalité, les passages avaient été tirés au sort.

Les Luynois et toutes les personnes présentes ont pu se faire une idée des motifs qui ont conduit à la constitution des listes. Si le débat n'a pas autorisé les échanges directs entre candidats, certains n'ont pas manqué de lancer quelques piques en douce tout en restant très courtois.

L'expérience a été concluante et intéressante de bout en bout.

Pour résumer mon avis (forcément subjectif) sur les prestations des têtes de liste, je dirais ceci :

   - Maryse Joissains : bilan et continuité

   - François-Xavier de Peretti : catalogue et justifications

   - Alexandre Medvedowsky : présentation manière énarque

   - Michel Pezet : projet ambitieux, souffle oratoire et humour.

6 février 2008

Affichage sauvage : Le communiqué, ça colle pas…

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L'affichage sauvage en période électorale, c'est toujours la même rengaine. Tout le monde est contre mais presque tout le monde le pratique. D'accord, ce n'est pas bien. La loi a fixé des règles. L'affichage ne doit commencer qu'avec l'ouverture officielle de la campagne. Les mairies doivent alors avoir installé des panneaux en nombre suffisant pour tous les candidats.

Mais, bien sûr, comme tous les postulants piaffent d'impatience, la bataille du papier commence avant même le premier coup de sifflet. Cela fait donc déjà plusieurs semaines que les panneaux d'affichage libre sont recouverts de binettes et de slogans. Nombre de concurrents passent même jour et nuit pour rafraîchir les surfaces et être les derniers à avoir collé. Pris d'une frénésie addictive, certains font dans l'escalade et débordent allègrement les espaces autorisés ou tolérés. Là encore, ce n'est pas bien.

Alors, voulant se donner le beau rôle, des candidats poussent soudain des "halte-là !" à vous arracher vos dernières larmes. Ainsi, vient-on de voir Maryse Joissains et Alexandre Medvedowsky, parés d'une vertu que chaque passant peut contredire sans être contredit à son tour, signer un communiqué de presse commun pour condamner le massacre avec de belles envolées.

Moi, cela me donne envie de faire la méchante langue. Joissains, qui détient le pouvoir d'installer les panneaux officiels, a elle-même commencé au moment des vœux dans les quartiers par montrer son portrait sur papier aux abords des lieux qu'elle visitait. Elle a aussi envahi les espaces libres où se livre la guéguerre des affiches. Medvedowsky n'a pas été en reste pour se signaler à tous les coins de rue en recouvrant parfois d'autres copains.

Maintenant, je vais vous raconter d'où est venue l'idée du communiqué. Il y a trois semaines, Alain Joissains, ci-devant directeur de cabinet du maire, a demandé à certains d'entre nous si nous étions d'accord pour apposer ensemble nos signatures au bas d'un pacte. Initiative surprenante alors que je venais de lui faire remarquer les outrances auxquelles se livrait son équipe au point que le maire m'a donné raison... tout en laissant faire.

Je l'ai menacé de faire constater ces débordements par huissier. Je n'allais pas valider à ses côtés une démarche contraire à sa propre (mot impropre, d'ailleurs !) pratique ! Cherchant sans doute à m'attendrir une dernière fois, il m'a confié que Medvedowsky était déjà d'accord pour parapher le contrat. On voit ce que cela a donné. Ceux qui hurlent au loup sont parfois eux-mêmes les loups…

6 février 2008

Joissains fait annuler un débat pour passer à la télé

Hier soir, devait se dérouler un grand débat sur la démocratie locale, prévu de longue date. Le Cercle Condorcet et l'Institut d'études politiques avaient programmé de réunir quatre intervenants candidats à l'élection municipale : Alexandre Medvedowsky, Michel Pezet, François-Xavier de Peretti et Maryse Joissains.

La conférence, qu'une telévision locale avait décidé de filmer pour la diffuser in extenso sur l'Internet, a été annulée. On a appris que Joissains devait passer à la télévision dans l'édition régionale. Des mauvaises langues – dont je ne suis pas pour ce coup – ont prétendu qu'elle s'était défilée car elle aurait eu du mal à se justifier sur ce sujet.

Je ne sais pas si c'est là la vraie raison mais son agenda pour le même soir comportait trois rendez-vous : l'IEP, une rencontre de quartier (annulée aussi) et son passage à la télé. A part un don d'ubiquité qu'on ne lui connaît pas, la mission était impossible à tenir.

A-t-elle fait le bon choix ? Pas si sûr. Car, face aux questions plutôt incisives et directes du journaliste et des téléspectateurs, elle a souvent paru déstabilisée et sur la défensive, assénant ici des approximations et là quelques gros mensonges.

Au fait, le public est-il plus nombreux à l'IEP ou à la télé ?

5 février 2008

Les mensonges de campagne, ça suffit ! (1)

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(Clic sur l"image pour agrandir)

Les Radicaux de gauche de la liste Michel Pezet avec Jean-François Picheral :

Laurent Escande, Danielle Rumani-Elbez, Jacqueline Ollivier,

Jacques Poletti et Lucien-Alexandre Castronovo

Qui n'a jamais vu le sublimissime Arturo Brachetti dans ses œuvres ne peut pas vraiment comprendre. Sur scène, ses numéros de transformisme sont époustouflants ! En moins d'une seconde, il devient un autre, puis un autre, et encore un autre… Mais, comment fait-il ? Mais, quel est donc son secret ? Ces derniers jours, coup sur coup, deux événements de la campagne m'ont fait penser à lui. Sauf que, question magie, c'était raté. 

A gauche

La liste de 55 noms transmise à toute la presse par l'entourage d'Alexandre Medvedowsky signalait la présence de trois candidats membres du Parti radical de gauche à ses côtés. Le problème, c'est qu'un colistier ne l'est pas et un rectificatif l'a précisé dans la presse. Mais, regardant la vidéo de présentation de chaque membre de cette liste, j'ai découvert qu'un message incrusté sur l'image de ce même colistier indiquait qu'il était toujours estampillé PRG. Je m'en étonne encore mais je ne m'en chagrine pas. Je sais que cette personne, que je respecte, a demandé que cela soit corrigé.

Dans cette même vidéo, on voit et on entend Alexandre Medvedowsky soi-même adouber le seul PRG en situation éligible, censé être, je cite, "le leader aixois du PRG". Et d'ajouter, suivez mon regard : "Et tous ceux qui prétendent être au PRG et qui font des choix différents pour aller se tourner vers la droite et faire des choix bizarroïdes, ils ne sont pas au PRG. Le PRG, c'est lui !" Plus bateleur et plus mauvais copain, on ne fait pas !

La vérité est moins flamboyante. Cette fonction n'existe ni dans les statuts du parti, ni dans la réalité. Asséner le contraire frise le cocasse. Parer un moineau de grandes plumes n'en fait pas un paon. D'ailleurs, les Aixois pourraient utilement demander les états de service de ce colistier surpris en train de brader un logo contre une seule place éligible… pour lui-même. Où sont les troupes qu'il dirigerait ? Ah, oui, il y a l'autre et unique colistière radicale, que je ne connais pas, placée en fin de liste et étiquetée PRG depuis quelques minutes. Un point, c'est tout.

Ne leur en déplaise, sur la liste de Michel Pezet, nous sommes cinq radicaux de gauche bien réels dont quatre en position éligible avec deux élus sortants. Les Aixois savent qui nous sommes, même sans logo.

A droite

Y allant à l'estomac, comme Alexandre Medvedowsky, la magicienne Maryse Joissains s'est également risquée à son petit tour de passe-passe. Commentant la composition de sa liste, elle n'a pas hésité à prétendre avoir dans son équipe deux ralliées venant du MRG (ancien nom du PRG).

En moins de deux, tout comme ces artistes qui font subir des changements instantanés de robes à leurs partenaires, elle a emballé les deux braves dames dans de nouveaux habits qui sont loin d'être les leurs. Le public en est resté bouche bée. Mais, évidememnt, là encore, il y a un truc.

Alors, de qui s'agit-il ? L'une est Dahbia Draouzia, adjointe aux affaires sociales, qui n'est plus membre de notre parti depuis au moins une douzaine d'années et qui a rejoint la maire UMP en 2001. L'autre, Catherine Silvestre, bien silencieuse dans l'opposition, passée par les coulisses pour aider la première à ouvrir grand la porte à droite, n'a jamais été adhérente ni du MRG, ni du PRG.

Et voilà comment, en deux coups de baguette, on a essayé de tromper tout son monde. Pas très honnête, tout ça ! Là, je le dis, les mauvais numéros de cabaret, ça suffit !

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5 février 2008

Dans "Le Canard", un article intérHersant sur B.G. !

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(Clic sur l'image pour agrandir)

"Le Canard Enchaîné" du 30 janvier fait sa fête à B.G. et ajuste un costume à J.-C. G. Pour la campagne, les voilà tous deux habillés d'un bon revers de rotative.

31 janvier 2008

Municipales d'Aix : Qui pour faire quoi ?

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Jour après jour, la campagne électorale se met en place. Les Aixois ont déjà découvert la composition de certaines listes. Des programmes commencent à circuler. Des réunions publiques sont organisées par les diverses équipes. C'est le processus normal qui précède ce type d'échéance électorale.

Les électeurs les plus férus de politique veulent d'abord connaître les propositions des candidats. Ce devrait être la démarche de base pour tous ceux qui votent. Mais, on s'aperçoit que beaucoup de gens passent plus de temps à commenter la composition des listes.

L'élection municipale étant un scrutin dit de "proximité", il n'est pas anormal que l'on cherche les noms connus, ceux des personnalités représentatives ou ceux des personnes que l'on côtoie de près. Bien sûr, chacun regarde tout cela avec ses yeux partisans, sa propre histoire politique, ses amitiés, ses inimitiés, ses envies de soutien ou de revanche.

La donne actuelle qui voit les cartes politiques traditionnelles bousculées par des scissions, des dissidences et des regroupements inédits, sinon détonants, n'est pas forcément claire pour tout le monde. Cela alimente des polémiques qui font le piquant de l'élection.

Pourtant, une logique est en train de s'imposer. La plupart des équipes qui se mettent en place ne sont plus monolithiques. Et c'est autour de leaders à forte personnalité que se construisent les listes, même si les origines politiques de certains colistiers sont disparates ou contradictoires.

En apparence, un tel affichage peut sembler séduisant. Mais, qu'en sera-t-il du devenir de certaines des équipes ainsi formées, annoncées forcément comme étant unies et d'accord sur un même projet ? Seront-elles encore toutes viables au-delà d'une éventuelle élection ? Rien n'est moins sûr. Les exemples pullulent d'arrangements de circonstance ne tenant pas plus d'un an à l'épreuve des faits ou de la gestion.

Les électeurs feraient bien, cette fois, de ne plus donner carte blanche à des ambitions anciennes ou nouvelles du même acabit ayant généré des comportements condamnables et provoqué les pires dérives pour l'image de notre ville.

Elire un maire pour un mandat de six ans mérite un choix réfléchi, serein et préventif. L'avenir d'Aix ne peut plus se jouer sur un coup de dés.

31 janvier 2008

Essai de réponse pour novice

Hier, un visiteur du blog – se qualifiant lui-même de "novice" – me demande de lui expliquer comment faire partie d'une liste et être adjoint au maire. Il veut aussi savoir pourquoi des élus ont été évincés et ce qu'ils deviennent une fois retombés dans l'anonymat. Autant dire qu'il pose de grosses questions dont les réponses ne sont pas d'un seul tenant.

Chaque élu a son propre parcours. En général, si l'on est membre d'un parti politique, on peut approcher les responsables et les leaders qui conduisent une liste. On peut aussi avoir une certaine notoriété dans des activités publiques et être remarqué par des leaders qui feront ensuite apppel à vous. Mais, l'on trouve aussi sur des listes des personnes qui ont des compétences, des expertises ou une influence assez forte pour ramener des voix.

Une fois "sélectionné" et, le cas échéant, "intégré" à la liste de laquelle on se sent le plus proche, on mène la campagne avec ses colistiers. La route n'est pas finie. Il faut gagner l'élection majoritairement !

Si l'on est parmi "les heureux", le maire pourra décider de choisir qui sera adjoint par un vote du conseil municipal. A cette fonction comme à celle de simple conseiller municipal, l'élu pourra se voir confier une ou plusieurs délégations pour mettre en œuvre le programme politique du maire. A noter qu'à Aix, il n'y a que 16 postes d'adjoints pour des majorités qui comportent environ 42 élus et des minorités 13 élus, soit 55 au total.

Pour les raisons qui ont vu la disparition d'élus sortants de la liste du maire, il faudrait lui poser directement la question. En revanche, il faut savoir que les élus n'exercent pas leurs fonctions comme une profession. Ils reçoivent des indemnités. Quand ils sont "sortis du jeu", s'ils n'ont pas d'emploi, ou s'ils l'ont perdu en devenant élus, et n'ont que ces revenus, ils doivent alors se débrouiller pour trouver une activité rémunérée ailleurs. Ce sont des risques à prendre…

28 janvier 2008

Pourquoi deux gauches à la municipale d'Aix ?

J'ai trouvé ce commentaire, fort bien condensé, sur le blog des étudiants de l'Institut d'études politiques d'Aix à propos de la présence de deux listes de gauche à l'élection municipale.

"Quelle langue de bois ! Pourquoi chercher à ramener la confrontation à une querelle de personnes ? Pourquoi Medvedowsky ne dit-il pas franchement que Pezet et lui ne défendent pas la même ligne politique ? Pezet défend une alliance avec le centre et a mené campagne pour le Oui au référendum constitutionnel. Medvedowsky défend une alliance jusqu'à l'extrême gauche et a mené campagne pour le Non au même référendum. Il me semble que cela suffit amplement à justifier la présence de deux listes distinctes à gauche." (Laurent, 24 janvier)

28 janvier 2008

Pas vraiment de quoi chercher des poux…

         

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Je descends de l'affiche pour mieux y remonter

J'ai lu dans La Provence que j'aurais dû expliquer sur mon blog pourquoi je ne figure pas sur l'affiche exposée au fronton de la permanence électorale de notre équipe. Il n'y a là aucun mystère. L'idée est de promouvoir le renouveau avec l'arrivée de citoyens plus jeunes et issus de la diversité de notre ville. Il me semble que ma notoriété – si je puis me permettre – n'a pas vraiment besoin d'un affichage supplémentaire.

Je rassure donc mes fans par avance, ils auront l'occasion de me voir dans les programmes qui seront distribués à tous les électeurs, sur les documents de la cantonale Aix-Centre aux côtés de Danielle Rumani-Elbez et, mieux encore, en chair et en os, lors de mes déplacements pendant les deux campagnes puisque nous sommes tous deux bel et bien aussi sur la liste Pezet / Picheral.

Pour les inconditionnels qui s'aviseraient de m'exprimer une sympathie plus empressée, j'informe que j'ai prévu de leur offrir mon autographe sur des photos spécialement dédiées...

Mon blog coupable ?

Toujours dans La Provence, un commentaire sur mon commentaire relevant l'intermittence de certains blogs. D'abord, j'ai parlé de "blogs", pas de "sites", de candidats qui alimentent leurs écrans de propos électoraux, ce que je ne leur reproche pas, bien entendu.

Par ailleurs, je n'ai pas dit que les autres n'écrivent rien. J'ai signalé ce que tout le monde constate et me dit : leurs parutions ne sont pas régulières. J'en ai déduit que l'augmentation importante du nombre de connexions sur mon blog n'était pas due qu'à l'amour que me porteraient mes lecteurs.

Enfin, je ne vois en quoi je me targuerais prétendument d'être, je cite, "si prompt à annoncer des scoops". Non, non, je ne fais parfois que raconter ce que la presse ne rapporte pas parce qu'elle ne peut pas être partout.

Voilà, ce que je dis, je le dis à ma manière en m'exprimant de ma place, clairement identifiée. Et, si l'on pense que je me fais "mousser", je répondrai avec humour que ça donne quand même l'occasion à certains d'en faire un article.

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