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le Blog de Lucien-Alex@ndre CASTRONOVO

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21 septembre 2007

Sarkozy travaille plus…

Bonne_nuit_les_petits

sarkozy_jouissance

Non, je ne cède pas à la paresse de l'écriture. Mais, franchement, quand des images sont capables de surpasser la meilleure prose, on ne boude pas son plaisir. Je m'incline donc et livre à votre joie ces deux sujets de bac niveau présidentiel. Toute copie hors-sujet sera lourdement sanctionnée !

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20 septembre 2007

Elections aixoises : La presse met la pression

Logo_La_Croixlogo_La_Marseillaise

Logo_La_ProvenceLogo_Diapason

                                             

Il y a des jours où les journaux nous offrent plus que le quotidien. Ce jeudi, par exemple, on atteint le sublime.

Le journal national La Croix (1,10€) publie un article sur les municipales à Aix-en-Provence.

La Provence (0,90€) relate la position des Radicaux de gauche aixois sur le même sujet.

La Marseillaise (0,85€) devrait également en faire état.

Enfin, la formidable revue mensuelle Diapason (5,90€, avec 1 CD) reprend mes propos sur le Grand Théâtre de Provence.

J'encourage mes fidèles lecteurs à se procurer l'ensemble de ces éditions. Illico, sauf à vouloir me faire de la peine. Je ne m'en remettrais pas…

Ravi_44

Le Ravi de septembre (2,80€) est aussi dans les kiosques. Ce serait un gâchis de ne pas se régaler de l'esprit caustique de notre Canard régional.

20 septembre 2007

Le vélo sur le cours, ça roule !

le_velo_sur_le_coursGregory_aussi

(Clic sur les images pour agrandir)

         

Vélos et visiteurs par grosses dizaines. Danses rythmées et musiques entraînantes. C'était hier après-midi sur le cours Mirabeau. L'association ADAVA-ADTC a réussi son pari, celui d'animer la semaine européenne de la mobilité.

Les bénévoles avaient dressé des stands d'information et installé un circuit protégé pour que les petits puissent découvrir le code de la route. Trois heures durant, un public curieux et intéressé a répondu présent à ce joyeux rendez-vous. Une cohorte de cyclistes a fait le tour de la ville, précédée de la police municipale et de deux troupes d'artistes.

Mardi déjà, l'association avait encouragé un peloton à se rendre au travail aux Milles à vélo. Ce jeudi, la même opération se déroulera vers le Tholonet.

Leur slogan, "Sans voiture, ma ville autrement", a été plébiscité par les adultes qui étaient sur le cours et par le petit Grégory qui a pu suivre un cours. On peut dire que pour le vélo, ça roule !

19 septembre 2007

Non au contrôle génétique de l'immigration

URGENT

    

Lisez, signez et diffusez la pétition initiée

par l'association "Sauvons la recherche"

(Clic sur le lien)

http://recherche-en-danger.apinc.org/spip.php?article1625

19 septembre 2007

Les calculs et les cailloux de Joissains

Démocratie sous hypnose 

Le dernier conseil municipal a eu lieu le 9 juillet et comportait 125 dossiers. Le prochain, prévu le 22 octobre, interviendra donc trois mois après. Et le suivant le 17 décembre, soit encore deux mois après. On peut d'ores et déjà imaginer la somme de travail à abattre. Deux séances pour un semestre, à qui la faute ? Et on entendra encore une fois Maryse Joissains prétexter qu'il faut aller vite "pasque j'ai pas envie de finir à quatre heures du mataing". Ce qui veut surtout dire : pas la peine de débattre.

A l'évidence, le maire a décidé de couper court à toute discussion publique et démocratique sur sa politique à la veille des échéances électorales. Faut-il qu'elle ne soit pas sûre d'elle-même pour craindre une critique de sa gestion. J'y vois là un manque de courage et une ruse triviale pour tenter d'endormir les Aixois.

On m'a chuchoté que le maire aurait l'intention de ne tenir aucun conseil municipal après celui de décembre, qui serait donc le dernier du mandat alors que les élections n'auront lieu qu'en mars !

On voudrait mettre la ville en sommeil et les Aixois sous hypnose qu'on ne s'y prendrait pas autrement. A surveiller…

Coups de règle

Si les conseils municipaux sont de fait réduits à la portion congrue, Maryse Joissains, elle, ne manquera pas de s'adonner à de prenantes et saines occupations jusqu'en mars, ne serait-ce que pour tenter de trouver au rayon bricolage les moyens de remettre de l'ordre dans son équipe UMP. Les dissidences n'y ont jamais été aussi nombreuses qu'en cette période.

Certain(e)s élu(e)s proches du maire me confient qu'ils ne portent pas Bruno Genzana dans leur cœur, loin s'en faut, et qu'ils feront tout pour lui "faire perdre la cantonale". D'autres évoquent Stéphane Salord et n'hésitent pas à trancher : "Lui, quoi qu'il fasse, il est mort. Il ne sera pas avec nous". Plus révélateur de l'ambiance en mairie, on ne peut pas.

Comptes à rendre

Maryse Joissains va aussi devoir batailler ferme encore quelques longues semaines face à deux situations qui peuvent se jouer à quitte ou double.

Parviendra-t-elle à rendre crédible sa défense dans le cadre du recours en annulation de son élection législative déposé contre elle auprès du Conseil constitutionnel et de la Commission des comptes de campagne et des financements politiques ? Le dossier fait toujours partie du paquet des 54 recours restants en instance sur les 592 reçus par la haute juridiction. La décision devrait être connue bientôt.

Enfin, l'annonce de l'arrivée de la Chambre régionale des comptes à Aix va demander une mobilisation permanente du maire sur plusieurs mois. Maryse Joissains devra se plier aux questions des magistrats et produire tous les éléments qui lui seront réclamés pour éplucher sa gestion.

On comprend mieux maintenant pourquoi la future candidate semble être plus préoccupée par le grand ménage à faire que prompte à organiser le petit manège des conseils municipaux…

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19 septembre 2007

La police confisquée par le foot et le rubgy

opium

(Clic sur l'image pour agrandir)

Le 14 décembre dernier, sous le titre "Y aurait pas hors-jeu, là ?", je faisais un billet d'humeur sur le nombre de policiers mobilisés lors de certains matchs de foot.

Pour la rencontre d'hier soir au stade vélodrome de Marseille, la presse annonçait l'imposante présence de 335 hommes (200 policiers et 135 militaires), de deux unités de gendarmerie, d'une autre de CRS et d'un groupe supplémentaire de CRS pour patrouiller en centre ville. Avant-hier, à Aix, des joueurs de rugby étaient escortés par des motards de la police.

Pendant ce temps-là, ces agents de la force publique ne peuvent pas remplir leur rôle normal auprès des citoyens attachés à leur sécurité.

Pour ce qui est de la prise en charge des coûts, un début de réponse a été apporté en 1999 par le gouvernement de Lionel Jospin. Cela ne m'empêche pas de penser qu'on est loin du compte quand on sait que l'argent public sert à "protéger" des gens payés en sommes faramineuses par les clubs et des rapaces de grandes marques.

Désolé de le dire, mais je trouve que ça fait aussi mal qu'un grand coup de matraque.

La position officielle de l'Etat

     Sécurité - La mise en place de services d'ordre destinés à assurer la sécurité des manifestations sportives et notamment des rencontres de football engendre, en fonction de la nature du match, un déploiement de moyens humains et matériels de la police et/ou de la gendarmerie nationales.

     Le Championnat professionnel de ligue 1, la Coupe de la ligue et la Coupe de France sont des compétitions qui conduisent, par l'intérêt qu'elles suscitent auprès des supporters et des hooligans, à ce que l'État assure la sécurité et la tranquillité des spectateurs et lutte contre les débordements.

     Une convention signée le 29 octobre 1999 entre l'État, la Ligue professionnelle de football et la Fédération française de football énonce précisément le rôle de chacun des signataires dans la prise en compte des problèmes de sécurité liés au déroulement d'une rencontre de football.

     Elle crée, par ailleurs, des obligations pécuniaires pour les organisateurs dès lors que les missions confiées aux forces de l'ordre sont hors du champ strict des missions régaliennes de l'État.

     Le principe général veut que l'État assume l'étendue de ses responsabilités à l'extérieur des stades alors que l'intérieur est à la charge des organisateurs. Si ces derniers sollicitent de l'État l'exécution de missions qui normalement leur incombent directement, ils entrent dans la logique d'un service donnant lieu à remboursement.

     Les articles 16 et 17 de cette convention dressent la liste des obligations de l'État et celle des missions qui entraînent une rétribution financière.

     Elle prévoit également que chaque rencontre doit faire l'objet d'une réunion, entre les représentants des instances du football et le représentant de l'État, au cours de laquelle sont évoqués les risques connus et les moyens à mettre en oeuvre pour y faire face.

     Cette collégialité permet l'élaboration de devis lorsque l'organisateur manifeste le souhait de confier à la puissance publique une part de ses responsabilités. Lors d'événements caractérisés "à risque", cette prestation de service concerne essentiellement les palpations de sécurité réalisées à l'entrée du stade ou encore la surveillance interne de l'enceinte des tribunes ou de la pelouse.

     Certaines missions des forces de l'ordre à l'extérieur du stade, telles que des préfiltrages de spectateurs, peuvent également donner lieu à un remboursement. Cette opération ayant un lien avec la notion de billetterie, c'est l'organisateur qui en assume la charge financière.

     A titre d'exemple, pour l'ensemble des rencontres de la saison 2004-2005, les clubs professionnels se sont acquittés d'une somme de 644.293 euros au titre des services payés prévus par la convention d'octobre 1999.

18 septembre 2007

Quand on partait de bon matin, à bicyclette…

Semaine européenne de la mobilité à Aix

ADAVA

(Clic sur l'image pour agrandir)

A gauche, le président Pierre Duguet et une partie de l'équipe de l'Adava

"1 km, j'y vais à pied et j'en ai pour 12 mn. 3 km, je prends mon vélo et j'en ai pour 12 mn..."

Voilà quelques propos de pur bon sens. Mais pourquoi n'y pense-t-on spontanément ? Trop englués dans nos comportements, nous négligeons l'évidence. La voiture a envahi notre vie et nous sert de prothèse.

Pourtant, à y regarder deux fois, nous avons tout à gagner en privilégiant les modes de déplacement doux : moins de pollution, moins de dépenses, plus de santé et plus de plaisir.

La semaine qui s'ouvre met les projecteurs sur la mobilité.

A Aix, l'association ADAVA-ADTC, très active dans ce domaine, a concocté un programme des plus sympathiques pour sensibiliser le grand public et lui faire toucher du doigt les multiples avantages qu'il y a à ne pas recourir à la voiture en ville.

A Assogora sur le cours Mirabeau, ce dimanche, le stand des bénévoles a connu un grand succès. C'était là le prélude à une présence quotidienne tout au long de cette semaine pour une série d'actions originales destinées à tout un chacun.

L'affiche est alléchante : interventions dans les écoles, déplacements en "vélobus" (peloton de cyclistes) en direction du pôle d'activités des Milles (mardi 18) et du Tholonet (jeudi 20), balade urbaine pour un tour de ville (vélo, roller, patinette…), conférence-débat (vendredi 21)...

Et mercredi 19, de 17h à 20h, on découvrira avec intérêt quatre espaces d'informations, avec démonstrations et animations gratuites, installés en haut du cours Mirabeau. De beaux rendez-vous pour apprendre à bouger autrement.

Calendrier, moments forts, renseignements et contacts :

Association pour le droit au vélo

et le développement des transports collectifs dans le pays d'Aix

http://adava.adtc.aix.free.fr

17 septembre 2007

Chaude, très chaude, la rentrée aixoise

A la rencontre des Aixois

Assogora_2007

(Clic sur l'image pour agrandir)

Assogora sur le cours Mirabeau

La reprise de septembre n'est jamais sans repos. La vie publique reprend au quart de tour. Les événements s'offrent à nous comme un bouquet d'initiatives et de manifestations aux mille couleurs.

Ce weekend, à Aix, on avait le choix entre des journées du patrimoine, des rendez-vous associatifs, des fêtes et des rencontres en tous genres. Le soleil n'ayant pas déparé un seul instant, des milliers de personnes ont revêtu des tenues estivales comme pour se venger d'un misérable mois d'août.

J'ai fait comme tout le monde. Enfin, presque. Samedi matin, je me suis rendu à Luynes pour le forum des associations locales où les contacts ont été nombreux. L'après-midi, j'ai assisté à l'inauguration des statues de Portalis et de Siméon, deux Aixois de renom, commémorés aux marches du palais de justice.

La comédienne Andrea Ferréol a joué une pièce retraçant le procès en divorce de Mirabeau et de son épouse. A cette occasion, Maryse Joissains s'est crue obligée de prononcer une allocution que je préfère charitablement ne qualifier d'aucune épithète. Mieux vaut l'oublier. Le soir, la maison de quartier d'Encagnane nous a régalé de son annuelle et magnifique Nuit du jazz.

Dimanche a été une autre journée de bonheur avec Assogora, le salon des associations. 400 exposants, pour la plupart bénévoles, ont envahi le cours Mirabeau, montrant la multitude de leurs activités et de leurs talents dans une ambiance bon enfant.

J'ai été satisfait de constater que le renouveau de cette fête, voulu par notre équipe municipale en 1989, a su conserver sa force et sa qualité. J'ai eu tout loisir de rappeler qu'Aix-Associations, devenue Pays d'Aix-Associations, a pu voir le jour grâce à la volonté de 23 co-fondateurs dont j'étais. Lorsque j'en étais le vice-président, j'avais proposé de remplacer le nom de "Foire aux associations" par celui d'"Assogora", un terme maintenant familier à tous.

Assogora : Un marathon de sept heures

La_visite_des_stands

(Clic sur l'image pour agrandir)

Lucien-Alexandre Castronovo, Jean-François Picheral,

Danielle Rumani-Elbez, Suzanne Picheral et deux amies exposantes

En deux weekends, la rentrée politique a, elle aussi, pris son envol. Mes collègues élus de tous bords ont investi les manifestations, signe que la campagne des municipales est bel et bien amorcée. Pour ma part, j'ai fait mon chemin aux côtés de Danielle Rumani-Elbez, de mes amis radicaux de gauche, de Jean-François Picheral, sénateur et ancien maire d'Aix, et de Michel Pezet, candidat à la mairie.

Ce dimanche, à Assogora, sans Michel, obligé de partir tôt le matin aux Antilles pour y plaider un procès, nous avons effectué une sorte de marathon qui nous a permis de battre un double record : sept heures de présence et visite de tous les stands.

Nous avons fait fort, non mécontents de signifier à tous nos concurrents, dont la plupart avaient disparu à mi-course, qu'il va vraiment falloir qu'ils se lèvent de bonne heure. Nous tenons la forme, si l'on voit bien ce que je veux dire…

15 septembre 2007

BILAN 15 : Sports à Aix : Un bilan hors-jeu

terrain_sport

Le sport, c'est bien connu, fonde son éthique sur le fair-play. Le maire d'Aix en manque un peu. Elle présente un dossier évidemment flatteur, censé "retracer" le bilan politique de l'équipe municipale. Il y a pourtant hors-jeu caractérisé…

Le fair-play, c'est la bonne conduite, la considération due à l'adversaire et le respect des règles. Dans le cas contraire, l'arbitre siffle et se fait fort de résoudre les litiges.

Selon nous, un certain nombre de prétendues avancées de l'activité sportive à Aix et en pays d'Aix ne doivent rien à l'équipe de Maryse Joissains, sinon – soyons beaux joueurs – celles s'inscrivant dans la continuité d'une action engagée bien des années avant.

En termes d'infrastructures, la quasi-totalité des équipements collectifs préexistait. Les constructions d'envergure de la dernière décennie – comme le complexe du Val de l'Arc, le Gymnase Cournand ou encore la piscine des quartiers Sud – ont été le fait de notre équipe. Les réhabilitations ou restructurations de certains stades et la reconstruction du gymnase du Jas étaient déjà programmées. Donc, pas de véritables nouveautés.

Que quelques aménagements aient vu le jour depuis six ans, nous voulons bien l'admettre. Mais, ils ne représentent pas à eux seuls des réponses à la hauteur des enjeux et des besoins sans cesse croissants de nos concitoyens désireux de donner vie à leurs passions. En témoigne le Salon annuel des sports de septembre que nous avons aussi initié.

L'accueil des enfants et des jeunes – et donc beaucoup de scolaires – s'est toujours pratiqué et nous avions même mis en place des dispositifs de toutes sortes leur facilitant l'accès réel, quelles que soient leurs conditions sociales (la carte Surf en fut le pionnier).

Pour tous les autres adeptes de sports, et notamment les adhérents d'associations et de clubs, y compris dans les quartiers excentrés, jamais auparavant, il n'avait été fait un tel effort en petits équipements de proximité, en aides financières et en accompagnement des initiatives. Nous n'en tirons aucune fierté inconsidérée, conscients que nous sommes d'avoir contribué à rattraper les retards des municipalités précédentes et à entamer un processus de développement adapté aux attentes et aux pratiques.

A l'heure actuelle, l'aide au sport de masse est escamotée au profit des activités d'élite. Pour résumer la situation, un seul exemple suffit : trois-quarts des subventions vont à une vingtaine de grandes structures. Le quart restant est misérablement partagé par plus de 500 clubs ou associations. Le grand chantier d'une politique en faveur de l'activité physique et sportive reste donc à ouvrir.

14 septembre 2007

Plan de Campagne : Retour au tribunal

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Rebelote. Jeudi après-midi, les organisations syndicales CGT et CFDT ont déposé devant le tribunal administratif 68 recours pour faire annuler des dérogations préfectorales autorisant l'ouverture des commerces le dimanche à Plan de Campagne.

Après un premier passage en justice au mois d'avril, qui s'était soldé par l'annulation de 26 dérogations à la demande des deux syndicats, le préfet Michel Sappin avait signé, le 27 juillet, de nouveaux arrêtés d'une durée de onze mois, le temps pour le gouvernement de préparer son projet de loi sur l'ouverture dominicale.

Au total, 135 arrêtés contre 135 dérogations auraient ainsi été signés, et "tous seront attaqués", promettent les syndicats, indiquant que d'autres recours seraient déposés dans les jours à venir.

"Le préfet ne respecte pas la chose jugée et déroge aux principes du repos dominical". Les syndicats ajoutent que le recours est suspensif, autrement dit, les commerces concernés ne devraient pas ouvrir dès ce dimanche.

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