En voulez-vous encore de Maryse Joissains ?
Le long mandat de Maryse Joissains a été un drame pour Aix : gestion désastreuse, clanisme, clientélisme, embardées politiques et vulgarité. Sortons-la dès le 23 mars !
Si les Aixois le veulent, et ils le peuvent, cela devrait finir dans quelques jours.
Maryse Joissains n'a fait parler d'elle dans la presse nationale qu'en mal. Pour son clanisme, son clientélisme, ses embardées politiques et… sa vulgarité sans nom.
Depuis plus de sept ans, je n'ai cessé de raconter sur ce blog la saga des frasques, des méfaits et de la gestion catastrophique de cette maire qui n'a jamais pensé la ville dans le cadre d'une vision globale mais au coup par coup. Qui a servi sa famille et son entourage, qui s'oppose aux lois et qui navigue sans boussole.
Ai-je encore besoin de rappeler la longue affaire du contrat illégal et abusif d'Alain Joissains qui doit près d'un demi million d'euros aux Aixois ? La garde à vue de décembre dernier sur une affaire d'emplois de faveur ? Les gesticulations et la politique de la chaise vide lorsqu'il s'est agi de la fusion de l'université, de la participation au syndicat mixte des transports ou de la défense d'Aix dans la Métropole ?
Maryse Joissains n'aura vraiment rien épargné aux Aixois en dégradant l'image de notre ville, en n'écoutant pas ou si peu les habitants, en ne dotant pas la ville des outils que sont le Plan local d'urbanisme, le Plan de déplacements urbains et le Plan local de l'habitat. Elle a raté, au prix fort pour les contribuables, le système des vélos et la mise en place du nouveau réseau des bus, pour ne citer que l'essentiel. Jamais, notre ville n'a assisté à pareille casse, à tel mépris et à telle incompétence.
Les 23 et 30 mars seront décisifs pour changer la donne. Il ne faut plus retarder l'occasion de demander au clan Joissains de faire ses baluchons et de se tenir éloigné de la vie politique…
Une terrasse en forme de grand hangar s'est installée sur la place des Cardeurs, non seulement en toute illégalité mais en s'appropriant un banc public scellé au sol comme celui-ci en le privatisant dans l'espace intérieur de l'établissement.
On peut par ailleurs juger du stationnement anarchique de véhicules sous les fenêtres de la mairie à quelques mètres de là...
La réaction d'Edouard Baldo aux élucubrations de campagne de Maryse Joissains
La réaction du président de l'association des Paysages de Cezanne
La réaction du président d'Aix-Marseille-Université