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le Blog de Lucien-Alex@ndre CASTRONOVO
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26 février 2020

Crèches : Les personnels et les enfants, victimes de la mauvaise gestion

PIQÛRE. Les crèches vont-elles mieux ? J'ai posé la question au dernier conseil municipal. Un reportage de France 3 montre que rien n'a changé malgré les engagements de la mairie et du délégataire d'améliorer l'accueil des enfants et la gestion des conditions de travail des personnels. Il n'y a qu'à voir la vidéo que je diffuse dans cet article. Informez-vous...

CM 52 14

Deux informations récentes m'ont fourni les raisons de revenir sur la situatiion des crèches. On devait examiner le compte-rendu de la commission des services publics locaux qui est une instance de consultation. On y évoquait le rapport sur les crèches pour l'année 2018. Déjà, avec un an retard, difficile de suivre l'évolution des choses au plus près et temps réel.
Voilà pourquoi il faut insister pour en savoir plus. C'est ce que j'ai fait en interrogeant Maryse Joissains sur le suites qui devaient être données notamment aux problèmes soulevés par les personnels au sujet de la gestion des ressources humaines par le délégataire, "Les Petits chaperons rouges" (voir les liens ci-dessous pour le résumé des faits).
Comme par coïncidence, le 5 février, l'émission Pièces à convictions de France 3 diffusait un reportage de dix minutes tourné à Aix (voir la vidéo ci-dessous). Par honnêteté, je dois dire que j'avais été contacté par la journaliste pour lui adresser des documents, ce qui'il y a de plus officiel et public, relatifs à la gestion des crèches. A savoir, délibérations du conseil municipal, rapport annuel du gestionnaire et données chiffrées.
Les images montraient des cas d'enfants déboussolés et d'employées désarmées face aux contraintes imposées par le gestionnaire. Comment cela est-il possible ? Eh bien, disons que le monde des crèches est devenu une affaire de commerce où il faut faire du profit plutôt qu'un service public qui doit répondre aux besoins des familles.
On trouvera ci-dessous le texte de mon intervention et la version enregistrée par mes soins lors de la séance du conseil municipal du 14 février et la vidéo de France 3. Prenez quelques instants pour vous rendre compte que tout ceci se passe bel et bien à Aix où l'on nous vante à coups de propagande assommante et anesthésiante la gestion prétendument exemplaire de la mairie. Je n'ai qu'une chose à dire : en mars, il va falloir bien réfléchir avant de voter.

Tout sur le feuilleton des crèches :
"Les personnels des crèches n'ont pas la pêche et le font savoir" :

http://castronovo.canalblog.com/archives/2019/01/29/37056859.html
"
Crèches  : Les personnels en souffrance réclament une meilleure gestion" :
http://castronovo.canalblog.com/archives/2019/07/08/37485149.html
"
Crèches : Suite à mon interpellation, le président répond sur sa gestion" :
http://castronovo.canalblog.com/archives/2019/09/11/37625186.html

Le texte de mon intervention

Une première remarque d'abord : ce rapport porte sur l'année 2018 car, nous dit-on, il n'y a pas eu de réunion de la commission en 2019. Pouvez-vous nous en donner l'explication ?
Ce compte-rendu aborde 4 délégations de service public : le Pasino, le GTP, la Fourrière et les Crèches. Mais je souhaite n'aborder ici que la DSP des crèches. Pour le GTP, j'y reviendrai lors du rapport 07.04.
Vous vous rappelez les échanges que nous avons eus il y a quelques mois sur la gestion du délégataire. Suite à cela, il avait pris des engagements pour réduire les problèmes soulevés par le personnel notamment au sujet de la gestion des ressources humaines. 
Je suppose que vous avez continué à veiller à l'exécution des mesures que le PDG avait promis de mettre en place. Mais j'ai plus qu'un doute sur l'amélioration de la gestion.
Je ne sais pas si vous avez vu le reportage diffusé à la télévision le 5 février sur les crèches en France. Ce reportage comportait une séquence de 10 minutes sur le fonctionnement de certaines crèches d'Aix.
On y découvre des scènes édifiantes de laisser-aller voire de situations inacceptables. Que ce soit sur la sécurité des enfants avec pas mal d'incidents ou les conditions de travail des personnels. On a appris par exemple qu'il n'y a pas un nombre suffisant d'employées pour s'occuper des enfants qui risquent le danger à chaque instant. On constate aussi que du matériel fait défaut, par exemple, des draps sont déchirés, il manque des gants jetables et donc on utilise du papier.
La journaliste a sollicité l'avis de la présidente du Haut conseil de la famille, de l'enfance et de l'âge, qui est aussi psychologue et psychanaliste, à qui ont été montrées les images tournées à Aix. Elle fait observer que ces crèches ne sont pas organisées en fonction des enfants mais des adultes qui les encadrent. Ces adultes sont obligés de naviguer d'une section d'âge à l'autre. Il y a trop d'enfants par adulte. Il en découle une instabilité des liens entre eux et les enfants, ce qui est préjudiciable au bien-être des enfants. 
L'équipe de tournage a voulu contacter le PDG (Jean-Emmmanuel Rodocanacchi) qui n'a pas répondu. Idem pour la mairie qui a refusé toute interview. Et enfin, par prudence, les employées sollicitées n'ont pas souhaité témoigner à visage découvert par peur d'être licenciées. 
Voila ce que ce reportage a mis en lumière. Je pense qu'il va falloir vraiment se préoccuper de ce qui se passe dans nos crèches.

L'enregistrement de mon intervention

Le reportage en question

CM 52 14

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20 février 2020

Les Aixois vont-ils voter pour Maryse Joissains condamnée ?

Suite à l'arrêt de la cour de cassation dévoilé hier, et en ces circonstances, la seule question qui vaille est : les Aixois vont-ils encore voter pour Maryse Joissains ? Les scandales d'abus et de dévoiement de l'exercice d'un pouvoir politique seraient-ils devenus ainsi banalement les conditions préalables et qualifiantes pour solliciter les suffrages ?

joissains memoires aix - Copie - Copie

Le pourvoi formé par Maryse Joissains contestant sa double condamnation a été en partie exaucé, celle relative à son inéligibilité. En revanche, la cour a confirmé que les délits ayant entraîné sa condamnation sont établis pour "prise illégale d'intérêts" et "détournement de fonds publics".
Concernant l'autre volet de l'arrêt, la haute juridiction demande que la peine complémentaire d'inéligibilité soit dûment motivée et formulée. En effet, la loi qui rend obligatoire cette peine ne date que de 2017 et ne peut en aucun cas être appliquée rétroactivement pour des actes commis antérieurement, en l'occurrence en 2013 pour ce qui est reproché à la maire d'Aix.
Le droit étant le droit, impossible de l'interpréter autrement en cherchant à le contourner par d'habiles artifices. Conséquence directe et pratique de l'arrêt, Maryse Joissains peut donc être candidate à l'élection municipale de mars.
Mais l'affaire ne s'arrête pas là avec la décision d'hier. La maire devra de nouveau comparaître devant la cour d'appel de Montpellier qui devra justifier sur quelles bases l'inéligibilité peut être prononcée ou non.
Jusque-là, cela ouvre à Maryse Joissains la possibilité de déposer sa candidature pour voir son mandat de maire renouvelé si les électeurs se prononcent dans ce sens.
Il n'en reste pas moins que se pose pour eux la question d'accepter et donc de valider le fait qu'une élue condamnée définitivement mérite d'être reconduite. Les Aixois, en tout cas ceux qui pourraient continuer à lui accorder leur confiance sans la sanctionner, feront-ils fi de l'image qui est donnée de la ville en considérant que ce n'est pas grave ? Si tel était leur choix, une telle situation serait-elle acceptable alors que, face aux scandales d'abus et de dévoiement de l'exercice d'un pouvoir, les citoyens réclament de plus en plus des candidats et des élus à la conduite exemplaire ?
Pour ma part, je le dis tout net, si Maryse Joissains devait être réélue dans ces conditions, ses électeurs deviendraient les complices directs d'un coup porté à l'éthique et aux valeurs républicaines en affaiiblissant la démocratie. 

18 février 2020

Ravi de février : Dans les coups lisses des urnes...

une ravi 181

Pour tout savoir sur ce qui se passe en coulisses des élections municipales dans la région, il faut lire le Ravi de février. Il y a tout, tout, tout.
Un gros coup de projecteur est mis sur Martine Vassal qui, si elle devenait maire de Marseille, ne serait que dans la prolongation de Jean-Claude Gaudin puisqu'elle réembauche ses sortants.
Vous saurez comment elle mène campagne avec des chèques du département et de la métropole pour sa propagande massive, ce que ses divers concurrents ne peuvent évidemment pas faire. Si elle devait accéder au trône, un vaste périmètre territorial en paierait lourdement le prix. Il y a là-dedans du Guérini et du Gaudin. On espère que les Marseillais ne se seront pas dupes.
Le numéro de ce mois est riche d'informations. Par exemple, sur la proposition de gratuité des transports que mettent en avant pas mal de prétendants aux mairies. Ah Ah, tout le monde est devenu écolo, voir un brin mégalo, sans être capable d'expliquer en détail le fond du dossier. Ou encore sur les polices municipales avec des surenchères comme dans une salle des ventes.
Le Ravi raconte le dernier conseil municipal de Marseille avec le roi Gaudin. Un journaliste est venu aussi à Aix le 14 février pour assister à la fin de règne (?) de Joissains. On peut le lire en allant sur le site du mensuel en s'abonnant.

Pour s'abonner :
https://www.leravi.org/abonnement/
Pour soutenir ou faire un don 

www.okpal.com/leravi 
Le site du Ravi avec le sommaire de février : 
https://www.leravi.org/numeros/181/?fbclid=IwAR2AzXJdk2EkFVQDrPUuK7HCYH9O2aYDnzVlf2G30LCsApRYyj8l4Wjlt9A
Le Ravi sur Facebook
https://www.facebook.com/le-Ravi-129098087994/timeline/

13 février 2020

Bel hommage à Michel Vovelle : Les archives municipales portent son nom

IN MEMORIAM. Vote à l'unanimité du conseil municipal pour donner le nom de Michel Vovelle au bâtiment des Archives municipales et du fonds de la bibliothèque Méjanes, situé dans le quartier Sextius-Mirabeau. Je m'en réjouis d'autant plus que cet historien figurait sur la liste dans laquelle je figurais pour l'élection municipale de 1983. Il y avait un autre homme de renom, le sculpteur Jean Amado dont on peut voir sa fontaine place des Cardeurs. Hommage... 

vovelle portrait

Le conseil municipal a été unanime pour donner aux Archives municipales et au fonds de la bibliothèque Méjanes le nom de Michel Vovelle, décédé à Aix-en-Provence en 2018. Il fut un historien exceptionnel, spécialiste reconnu de la Révolution française. Il enseigna à la faculté d'Aix. Nombreux sont les étudiants en histoire qui ont été éveillés à cette discipline par l'esprit qu'il a largement contribué à faire souffler sur la recherche historique. Notre ville pourra désormais se souvenir longtemps de cette belle personne férue de culture et d'humanité.  
A titre plus personnel, je me réjouis de l'honneur qui lui est ainsi fait. Mais j'ai aussi une autre raison d'évoquer sa mémoire. Je ne peux oublier qu'il fut en 1983 l'une des éminentes personnalités figurant sur la liste du bâtonnier Yves Kleniec. Un autre grand nom, celui de l'aixois Jean Amado dont on connaît la sculpture fontaine sur la place des Cardeurs, avait aussi accepté d'en faire partie. Mon émotion va bien au-delà de ce que j'imaginais à cette époque en tant que novice puisque cette liste m'a permis d'être élu pour la première fois au conseil municipal (voir en fin d'article).

CM 50 25

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(Clic sur les images pour agrandir)
J'ai assisté à l'inauguration du bâtiment dédié à Michel Vovelle.

vovelle 8

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La Révolution française de Michel Vovelle

amado et ses techniques de travail
Jean Amado et ses techniques de travail

amado cardeurs
La fontaine de la place des Cardeurs

Kleniec liste 1983 - Copie - Copie
Extrait du bulletin de vote de la liste Yves Kleniec

Kleniec mars 1983
Au conseil municipal avec Yves Kleniec, mon maître en politique

7 février 2020

Places comtales : L'énorme surcoût de l'opération est-il bien légal ?

DOSSIER : J'ai déjà plusieurs fois fait le point sur le chantier des places comtales. Mais comme il y a du nouveau, je vais expliquer de quoi il s'agit. Non, ce n'est pas à propos du projet qui attend toujours ses finitions. C'est au sujet de son coût qui s'est singulièrement alourdi, et pas qu'un peu, de 15 à 20 millions, au risque de poser un problème juridique. Récit...

Travaux 6
(Clic sur l'image pour agrandir)
Le plan des places comtales

A l'origine, en 2015, le coût estimé sur la fiche opérationnelle des travaux était de 15.360.000 euros TTC. En décembre 2018, il a été actualisé à 18.019.350 euros TTC par un avenant n°1.
Ce mois de décembre, par un avenant n°2, le montant atteint 19.879.899,04 euros TTC pour prendre en compte comme à chaque fois notamment les nouveaux éléments demandés par la maîtrise d'œuvre et des ajouts proposés par Maryse Joissains, et dont certains émanaient des associations.
Les dépassements financiers s'avèrent substantiels. Or, la jurisprudence en matière de marchés publics permet certes une augmentation mais elle ne peut se situer au-delà de 15%. C'est pourquoi déjà au conseil municipal de juillet, à la demande de l'adjoint président de la commission d'offres, que j'ai appuyé en tant que membre aussi, la délibération avait été retirée pour examen plus approfondi.
En conséquence, par deux fois, le dossier de cet avenant n°2 était revenu à la CAO. Mais là encore, après discussion sur sa teneur, le rapport d'analyse avait été retiré. Lors de la séance de la CAO du 6 décembre, ce dossier est réapparu dans l'objectif de le faire figurer ensuite à l'ordre du jour du conseil municipal du 16 décembre. Et c'est là que ça se gâte.
Car, si des ajustements ont été nécessaires au fil de l'exécution du chantier, notamment pour le taux de rémunération de la maîtrise d'œuvre qui a été augmenté de 10,25%, l'avenant est plus problématique pour le montant définitif des travaux eux-mêmes qui passe de 10.332.600 euros HT à 12.399.120 HT, soit une augmentation de 22,75%, compte tenu, dit le rapport, du fait que "plusieurs éléments dans la vie de l'opération sont survenus".
Tout cela conduit à porter désormais le coût total de l'opération (tout compris, maîtrise d'œuvre, travaux et avenants) à près de 20 millions d'euros TTC eu égard aux relèvements successifs. On en a vu en effet la traduction directe sur les places comtales.
Alors, certes, la CAO du 6 décembre a bien donné un avis qui est obligatoire lorsqu'un avenant de ce type dépasse 5% du montant du marché initial. Mais, à cette séance de la CAO, à cause des risques juridiques possibles que cet avenant pouvait comporter, j'ai émis un vote d'abstention.
Pourquoi ? Parce qu'il est clairement établi que l'augmentation de 22,75% du marché initial incluant les avenants n°1 et n°2 dépasse largement la barre des 15% communément autorisés. Et que le second avenant me paraît encore plus sujet à caution et pourrait être contesté par le contrôle de légalité voire par le tribunal administratif.
Une satisfaction à titre personnel quand même dans cette affaire. Après les discussions qui ont eu lieu au conseil municipal, Maryse Joissains a fini par retirer une fois de plus le rapport. Mais que va-t-il se passer ensuite ? Et comment résoudre ce problème que certains n'ont pas vu venir ? Bonne chance à ceux qui vont devoir s'y coller...

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(Clic sur les images pour agrandir)Travaux 31
La fontaine toujours pas achevée le 31 janvier 2020

Travaux 31
Les noms de tous les ouvriers, entreprises et élus sont gravés sur les contre-marches

"Les places comtales inaugurées en mai… mais toujours pas finies !" :
http://castronovo.canalblog.com/archives/2019/10/22/37712960.html

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3 février 2020

Mise en examen effective pour l'adjoint à l'urbanisme Alexandre Gallèse

Loi des séries dans l'équipe de la majorité sortante. Suite à sa garde à vue, Alexandre Gallese a été mis en examen. Leçon immédiate tirée par l'adjoint à l'urbanisme, il quitte la liste de Maryse Joissains où il figurait en quatrième position. Défense de persifler, c'est encore l'image d'Aix qui en prend un sacré coup !

gallese titre

Dans un communiqué publié le jour même, Alexandre Gallese minimise la portée des accusations portées à son encontre en précisant : "La justice n'a retenu que des délits formels pour ma participation à des délibérations de 2013 qui seront analysées et discutées dans le cadre de la procédure à laquelle j'ai désormais accès. Aucun soupçon d'enrichissement personnel, ma probité n'est absolument pas remise en cause, aucun délit de corruption n'a été retenu (...) On me reproche sur 12 ans des irrégularités formelles, anciennes de près de 7 ans qui expliquent cette mise en cause judiciaire que je conteste."
Il a évidemment le droit de livrer sa version mais il a été mis en examen pour "trafic d’influence" et "prise illégale d’intérêts". Faut-il rappeler que Maryse Joissains a entre autres été condamnée en appel pour le second motif. Cela ne paraît pas négligeable pour la justice.
Par ailleurs, Alexandre Galles se dédouane en mettant en avant un motif de satisfaction, à savoir le fait que "La justice n’a pas jugé nécessaire d’interdire la poursuite du mandat d’élu en charge de l’urbanisme de la ville d’Aix-en-Provence, ce qui démontre le bien fondé de ma présomption d’innocence". Disons que c'est de bonne guerre. Mais ce n'est pas le rôle d'un juge d'instruction de retirer son mandat à un élu, cette mesure ne pouvant, le cas échéant, être que la conséquence d'une condamnation pénale si elle devait être prononcée à l'issue d'un procès.
Dans le cadre de la même affaire, plusieurs perquisitions et saisies ont été effectuées au sein de la direction de l'urbanisme. C'est ce qui a sans doute eu pour effet de mettre en garde à vue d'autres personnes. D'ailleurs, un promoteur a également été mis en examen pour le seul chef de trafic d'influence par le juge d'instruction, dont l'enquête se poursuit. Y a-t-il d'autres ramifications qui pourraient inquiéter d'autres promoteurs ou architectes ou même viser, qui sait, d'autres élus municipaux responsables des organismes de constructions tels que la SEMEPA et la SPLA ?
A mon humble avis, c'est la mise à plat complète du dossier qui permettra de le dire, sachant que les investigations ne sont pas achevées. 

La chronologie de l'affaire détaillée est à lire ici :

Octobre 2013 :
"Que se passe-t-il au service de la police de l'urbanisme ?" :
http://castronovo.canalblog.com/archives/2013/10/09/28181702.html
Octobre 2019 : 
"Alexandre Gallèse soupçonné de trafic d'influence"
:
http://castronovo.canalblog.com/archives/2019/03/04/37138760.html
Janvier 2020 :
"Garde à vue pour l'adjoint à l'urbanisme Alexandre Gallèse" :
http://castronovo.canalblog.com/archives/2020/01/30/37983886.html

gallèse mis en examen prov 1 

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