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le Blog de Lucien-Alex@ndre CASTRONOVO
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  • Prof d'anglais retraité Sous-officier Armée de l'Air Président assos culture, éducation, social 1978-1989 Correspondant presse locale 1989-1995 Conseiller municipal liste Yves Kleniec 1983-1989 Adjoint liste Jean-François Picheral 1995-2001 Parti radical de gauche 1998-2008 Conseiller municipal liste Michel Pezet 2001-2009 Conseiller municipal liste Edouard Baldo 2014-2020 lucalexcas@aol.com
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22 décembre 2017

Contrat illégal annulé d'Alain Joissains : Je réclame le remboursement total !

Au conseil municipal, j'ai rappelé à Maryse Joissains que son ex-directeur de cabinet, Alain Joissains, dont j'ai fait annuler le contrat illégal, est redevable à la Ville et aux Aixois de la totalité des sommes indûment perçues. Et, par la même occasion, qu'il ne m'a toujours pas versé sa part de 1500 euros pour le remboursement de mes frais d'avocat. Je les ai informés que, s'il ne s'exécute pas, je saisirai les juridictions compétentes pour faire appliquer l'arrêt de justice dans toute sa rigueur... 

justice

Avant la pause hivernale du blog, je veux relater les suites de l'affaire du contrat illégal de l'ex-directeur de cabinet de Maryse Joissains, contrat que j'ai fait annuler après dix ans de procédures.
Au conseil municipal de décembre, comme à chaque séance, un rapport présentait la liste des arrêtés pris par la maire en vertu de l'autorisation donnée par l'assemblée communale. C'est donc routinier. Sauf que cette fois-ci y figurait une décision relative au fameux contrat. Alain Joissains a attaqué la Ville qui entend assurer sa défense contre lui. Croquignolesque, n'est-ce pas ?
Après une intervention de mon collègue et ami Edouard Baldo, j'ai demandé la parole. Je n'avais jamais commenté au conseil les diverses étapes de la procédure que j'avais engagée en 2005 et qui a été jugée définitivement le 2 février 2015 par un arrêt du Conseil d'Etat inscrit désormais dans la jurisprudence administrative. Mais, là, la coupe était pleine.
Je laisse mes lecteurs prendre connaissance de ma déclaration. Alors que je m'exprimais, j'ai vu soudain Alain Joissains se diriger vers la sortie de la salle. "Pourquoi sort-il ? Ça le concerne directement.", ai-je aussitôt réagi. "Pour l'honneur", fit Maryse Joissains. Drôle de conception de l'honneur, vous ne trouvez pas ?

Le blog reprendra en janvier. En attendant, bonnes fêtes à toutes et tous.

CM 35 13

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19 décembre 2017

Compteurs Linky : Une interdiction maintenue mais toujours pas totale

Au conseil municipal du 13 décembre, j'ai obtenu le retrait du rapport sur les compteurs Linky qui limitait la protection aux seules écoles et crèches publiques. Ce n'est pas à proprement parler une victoire mais un minimum qui permet de sauvegarder la précédente délibération qui englobait l'ensemble des bâtiments et équipements municipaux. Pour le reste, les Aixois qui souhaitent refuser les boîtiers devront continuer à se débrouiller par eux-mêmes... 

Linky dehors

Tous les ingrédients étaient réunis pour une séance électrique. Et elle fut effectivement explosive pendant une heure et demie sur les cinq qu'elle aura duré. Deux manifestations se sont invitées sur la place de la mairie, celle du personnel municipal mécontent des changements annoncés sur leur temps de travail et celle d'habitants du Hameau de Martelly qui espérent ne pas devoir cohabiter avec la présence de Roms. J'y reviendrai lorsque les deux situations auront évolué.
Pour ma part, j'ai fait plusieurs interventions dont une sur les compteurs Linky. L'ordre du jour comportait une délibération restreignant l'interdiction des compteurs aux seules écoles et crèches publiques. C'était un recul par rapport à la décision du 23 septembre 2016 qui, elle, couvrait l'ensemble des bâtiments et équipements municipaux.
Comme on peut le lire ci-dessous, à défaut d'obtenir une interdiction totale protégeant tous les Aixois, j'ai donc argumenté pour conserver au minimum la précédente version. La crainte de Maryse Joissains était de voir le rapport attaqué. Or, celui de 2016 ne l'a jamais été. J'ai demandé que la présente délibération soit retirée. La maire a fini par accepter cette proposition.
Même si la protection apportée est très insuffisante, elle représente quand même une avancée quand on se souvient qu'une délibération de juillet dernier, retirée en séance, faisait un bond en arrière toute en autorisant Enedis à procéder à la pose dans tout le territoire de la commune.
Selon ce que l'on en pensera, c'est une demi-victoire ou une demi-défaite. Le plus pénible dans tout cela est que les Aixois devront se débrouiller tout seuls pour refuser les compteurs lorsque les sous-traitants viendront taper à leur porte. Et là, l'atmosphère continuera d'être électrique ! 

CM 35 13

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Linky meuh

Linky canard 13

Linky haddock

15 décembre 2017

Territoires : Maryse Joissains fait du vent, même… contre des éoliennes !

Il nous faudra hélas entendre les jérémiades, en boucle, de Maryse Joissains jusqu'à la fin du mandat. Elle aura vraiment tout essayé pour s'opposer à la métropole. Quasiment en vain... 

gif éolienne

Il y a une semaine au conseil de territoire et mercredi encore au conseil municipal, elle a présenté aux élus, une seconde fois, sa motion visant à réclamer à l'Etat, sur un ton insistant, de lui permettre de créer "sa" petite métropole gauloise du Pays d'Aix qui ferait sécession d'avec la métropole Aix-Marseille Provence.
Rien dans les lois ne l'autorise si les conditions ne sont pas réunies, en particulier le critère démographique. Le Pays d'Aix n'y répond pas. Par ailleurs, autre obstacle de taille, ce dernier est déjà dans un périmètre métropolitain. Donc, impossible d'en sortir. Voilà pour ce point.
Comme je l'ai raconté dans mon précédent article, une nouvelle idée a germé dans l'esprit de Maryse Joissains. Ayant appris que deux petites communes du Var relançaient un projet d'installation d'éoliennes, elle a proposé une motion tendant à s'y opposer alors que nous ne sommes en rien concernés, le Var n'ayant juridiquement aucun lien avec le Pays d'Aix. Mais qu'importe pour elle, tant qu'on peut faire du vent, autant souffler fort, encore, encore et encore.
Maryse Joissains se targue de bien gérer la ville d'Aix et le Pays d'Aix. Rappelons que pour tenter de "faire capoter", comme elle dit, la métropole, elle avait rapatrié des équipements culturels, le Grand Théâtre de Provence, le musée Granet et le Centre chorégraphique national, qui auraient pu être transférés à la métropole sur le principe d'intérêt métropolitain.
Elle avait voulu aussi soustraire l'office public Pays d'Aix Habitat au transfert obligatoire en cherchant à le vendre à la Sacogiva. Mal lui en a pris. La loi, c'est la loi et le préfet a mis un point fianl à cette tentative. Il en a été de même pour les parkings publics qui avaient fait l'objet d'une offre d'achat par la Semepa, son délégataire. Et hop, les parkings sont passés à la métropole.
Pour finir, je ne résiste pas à signaler que le coût du nouveau palais des sports a récemment été revu à la hausse, passant de 65 millions d'euros à 70. Le conseil métropolitain d'hier à Marseille avait inscrit à son ordre du jour les répartitions budgétaires 2018 pour les communes. A la métropole, Jean-Claude Gaudin se fait régulièrement le malin plaisir de rappeler que juste avant la fusion, certaines intercommunalités ont surchargé la barque sur les investissements (il a dit "ont chargé la mule"), espérant ainsi créer un blocage. Inutile de dire ici qui est visé…

"Territoires : Maryse Joissains, il faut la mettre au pôle… des comiques"
http://castronovo.canalblog.com/archives/2017/12/11/35958703.html

11 décembre 2017

Territoires : Maryse Joissains, il faut la mettre au pôle… des comiques

La métropole franchira inéluctablement une nouvelle étape essentielle en janvier. Or, à chaque séance du conseil de territoire, Maryse Joissains en est toujours à ses marottes de menaces, d'annonces de batailles vaines et de revendications qui n'ont aucun fondement légal. Récit des trois derniers épisodes...

CT 11 12
Toujours présents

Trois séances en deux mois. Y a-t-il accélération de la mise en œuvre de la métropole ? Oui. Car le 1er janvier marquera une étape importante pour de nouveaux transferts de compétences
jusqu'alors exercées par les communes et les intercommunalités. Cela résulte de la loi. Mais, personne ne s'en étonnera, les maires récalcitrants, une obsession, continuent de manifester leur mauvaise humeur et de promettre des batailles qui, soit dit en passant, sont d'ores et déjà vouées à l'échec. Comme les précédentes. Pire, en se décrédibilisant par l'annonce d'obstacles artificiels, ces élus risquent d'affaiblir leurs chances de trouver la meilleure place possible au sein de la métropole.
Pour rappel, la création de la métropole a pour objectif d'organiser le territoire dans divers domaines tels que la mobilité, l'économie, l'urbanisme, le logement et l'environnement pour n'évoquer que les plus importants. Il s'agit de mutualiser et de rationnaliser les moyens en coordonnant les missions et les défis qui concernent près de 1,8 million d'habitants. Admettons-le, ce n'est pas une mince affaire.
Après la phase légale d'instauration de la métropole, vient maintenant le temps de la mise en commun. Cela ne peut évidemment pas se faire d'un coup de baguette magique. Il y a forcément une période d'adaptation, voire d'expérimentation, qui nécessite des procédures complexes.
Prenons l'exemple de l'eau. Il y a quatre catégories de gestion qui passent actuellement par le public ou le privé. Les contrats ne sont pas tous conclus pour la même durée et il faudra plusieurs années pour les harmoniser et aboutir à une convergence des modes de gestion.
A l'inverse, la mobilité, qui conditionne la cohérence et l'efficacité de tous les modes de déplacements entre les différentes parties du territoire, a été le premier chantier validé avec un agenda dont tout le monde loue la qualité et la pertinence. Rome ne s'est faite en un jour. La métropole aura elle aussi besoin de temps pour se constuire et se développer.
Au conseil de territoire d'octobre, a été évoqué le devenir des offices de tourisme. La loi impose leur transfert à la métropole. Seules les communes classées pourront en conserver la gestion. C'est le cas d'Aix et de Marseille par exemple. Des débats homériques et pleurnichards ont agité certains élus annonçant sans aucune mesure l'apocalyse, rien de moins, "on est étouffés de toutes parts", "on est en train de vivre un nouveau colonialisme"
Autre bataille donquichottesque au conseil de novembre, Maryse Joissains ne s'est pas attaquée à des moulins mais… à des éoliennes. Elle a voulu faire passer une motion contre un projet d'implantation souhaité par deux communes… du Var ! Un département qui n'a rien à voir avec Aix-Marseille-Provence ! Faire du vent, c'est sa spécialité.
Cerise sur le gâteau au conseil de décembre : les conventions à passer commune par commune du Pays d'Aix pour valider les dotations budgétaires arbitrées pour contribuer au budget de la métropole. Gnan… gnan… gnan… "on nous spolie" ont repris en chœur nombre de maires, chacun y allant de sa plainte nombrilique. Mais loin de l'unanimité demandée par Maryse Joissains pour exprimer un avis réservé (qui n'a aucune valeur pour un vote). La présidente venait de fustiger "le"b…" qui règnerait à la métropole. Je n'ai pas pu m'empêcher de lui rétorquer "vu le désordre et les points de vue divergents qui se manifestent ici ce soir, j'ai plutôt l'impression que vous en connaissez un rayon avec ce mot qui commence par la lettre b"

CT 11 12

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5 décembre 2017

Ravi de décembre : Enquête sur la tendance à la privatisation de la culture

une ravi 157

Les collectivités publiques jouent-elles encore un rôle de soutien aux acteurs culturels ? Tout doit-il passer par des financements privés ? De vraies questions à se poser quand on voit l'évolution à la baisse des subventions. 
Le Ravi de décembre a donc mené son enquête. Amis des programmes et événements culturels et festifs, voyez ce qui se trame en coulisses.
Alors qu'une suite de Marseille Provence 2013 se profile à l'horizon 2018, le monde de l'entreprise s'empare du projet à l'écart des décideurs publics qui ne trouvent rien à redire ou presque.
L'idée de profit doit-elle primer sur la diffusion de la culture ? Et à qui seront réservés ces moments culturels ? Aux habitués, aux connaisseurs qui en profitent toujours ? Ou à toutes les strates de la population qui méritent aussi de découvrir et de partager ces manifestations ?
La culture est-elle pour tous ou pour les initiés ? Quid de la fonction émancipatrice de l'éducation populaire ? Est-il déjà trop tard pour s'interroger sur cette tendance à la privatisation ?
En achetant le mensuel, vous saurez également tout sur les frasques de Muselier qui en est à son troisième directeur et de Bernardini qui continue à s'empêtrer dans des errements délictueux.
Il serait dommage de se priver des informations du Ravi qui a besoin plus que jamais du soutien d'abonnés et de lecteurs pour assurer sa survie.    

Pour soutenir, faire un don et s'abonner :
http://www.leravi.org/spip.php?page=kousskouss

Le sommaire de décembre :

http://www.leravi.org/spip.php?article2899
Le Ravi sur Facebook :
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Le site du Ravi :
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