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le Blog de Lucien-Alex@ndre CASTRONOVO
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2 mai 2011

Torpilles et révélations contre Jean-Noël Guérini

 guerini_torpille

Nouvelle semaine pour rechercher la vérité. Si tant est qu'elle puisse être dénichée ou totalement établie. Mais il ne faut peut-être pas désespérer. Merci de lire tout ce qui suit, rebondissements, surprises et révélations. Car la presse fait son travail.
Suite à l'audition et aux déclarations de Jean-Noël Guérini à Paris, les réactions ammoniaquées n'ont pas tardé. Patrick Mennucci s'est senti visé par la phrase "le co-auteur du rapport qui a tenu le porte-plume de Montebourg".
Devant la commission, Jean-Noël Guérini a expressément répété les termes de son communiqué : "L'attitude hautaine du directeur de campagne, homme à tout faire, composant les listes, écartant les soutiens, écrasant les camarades par sa prétention, sa suffisance et la soi-disant expérience acquise lors de la campagne présidentielle de 2007, a été désastreuse."
Mennucci n'a pas supporté. "Je regrette qu'il manie désormais l'insulte à mon égard. Ce n'est pas digne du PS. En ce qui me concerne, je ne me tiendrai qu'aux faits et me garderai de porter des propos dictés par la méchanceté. Je porte tous les maux de Jean-Noël Guérini. J'ai été accusé d'avoir écrit des lettres anonymes, des SMS et maintenant le rapport. Je ne comprends pas que pour se justifier, il ait besoin de ces attaques mensongères."
Ça chauffe donc. 
Le second à vitupérer Guérini n'est rien moins que Michel Vauzelle lui-même. Peu disert jusqu'ici, y compris lorsqu'il avait été insulté par Alexandre Guérini lors d'écoutes téléphoniques, il s'était toujours retenu de commenter publiquement le climat politique des affaires et des entourloupes au parti socialiste. Mais jeudi, c'en était trop pour lui. Il a donc lâché un communiqué.
"Je m'étonne de leur teneur. Ces propos mensongers et injurieux à mon égard m'obligent à répondre." Revenant sur les différends apparus lors de la campagne des régionales, Vauzelle a précisé : "Je confirme ce que j'avais voulu jusqu'à présent ne réserver qu'au Bureau national, concernant l'attitude destructrice pour la gauche de Jean-Noël Guérini. Cette attitude visait et aurait pu provoquer la défaite de la gauche. Ce que j'ai dit au PS est la vérité et je le redirai point par point devant la commission Richard si elle veut bien m'entendre".
Mais, d'après lui, "la commission aura beaucoup de mal à obtenir la vérité sur la situation réelle de la fédération parce que beaucoup de responsables, d'élus et de militants ont encore aujourd'hui peur d'un système qui risque cependant de porter tort au candidat socialiste lors de l'élection présidentielle." Et une torpille, une.

(Clic sur l'image pour agrandir)
guerini_vauzelle

Et puis, pour que l'effervescence ambiante monte encore d'un cran, Le Point a révélé jeudi que depuis le 7 avril Rémy Barges, le directeur de cabinet de Jean-Noël Guérini, est poursuivi pour "destruction ou dissimulation d'indices pouvant déterminer la preuve d'un délit" au sujet du changement d'ordinateurs à la veille d'une perquisition dans les locaux du conseil général.
En novembre dernier, entendu comme témoin, il avait en effet expliqué : "Je pense que j'ai paniqué dans la mesure où il y avait un certain nombre d'informations à caractère politique sur ces ordinateurs". Il avait évoqué en particulier des notes concernant "des attributions de logement", "les subventions d'associations", "les alliances politiques"…

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Le bras droit de Guérini poursuivi pour "destruction de preuves"
28 avril 2011 Par Hervé Gattegno

Offensif devant la commission d'enquête interne chargée du fonctionnement du PS des Bouches-du-Rhône, qui l'a entendu hier protester contre les accusations de "clientélisme" et d'"intimidation" portées par Arnaud Montebourg, Jean-Noël Guérini est à nouveau sur la défensive sur le front judiciaire. Le procureur de Marseille, Jacques Dallest, a délivré le 7 avril un réquisitoire supplétif pour "destruction de preuves" contre le principal collaborateur de l'élu socialiste, son directeur de cabinet au conseil général des Bouches-du-Rhône. Celui-ci est soupçonné d'avoir ordonné la destruction des ordinateurs du cabinet de Jean-Noël Guérini à la veille d'une perquisition dans ses locaux.
C'est le juge d'instruction Charles Duchaine, chargé de l'enquête sur l'affaire des marchés publics de l'agglomération marseillaise - dans le cadre de laquelle Alexandre Guérini, frère de l'élu, est incarcéré depuis le 1er décembre 2010 -, qui a demandé l'extension de sa saisine à ces nouvelles charges. Le 20 novembre dernier, lors d'une perquisition au siège du département, que préside Jean-Noël Guérini, les gendarmes avaient découvert que tous les ordinateurs du cabinet et des secrétaires du chef du PS marseillais venaient d'être remplacés. Interrogées durant les jours suivants, les secrétaires de l'élu avaient indiqué que leurs ordinateurs avaient été changés entre le 17 et le 19 novembre sans qu'elles en sachent la raison - ni sur l'ordre de qui.

Réflexe de précaution
Entendu en qualité de témoin le 29 novembre 2010, Rémy Barges, directeur du cabinet de Jean-Noël Guérini au conseil général, avait admis avoir donné en urgence l'ordre de remplacer ces machines, sans toutefois en fournir une raison convaincante. "Je pense que j'ai paniqué, dans la mesure où il y avait un certain nombre d'informations à caractère politique sur ces ordinateurs, notamment des notes sur les subventions d'associations", déclarait-il alors, ajoutant : "Jean-Noël [Guérini] n'a pas été informé de cette décision, que j'ai prise seul en demandant que ce soit effectué rapidement."
Le collaborateur de l'élu affirmait en outre qu'aucun élément "compromettant" n'avait été perdu ou détruit à la faveur de cette substitution, évoquant simplement "des attributions de logements, des notes politiques concernant par exemple les cantons, les alliances politiques, les déclarations des uns et des autres"…
"S'il n'y avait rien de compromettant dans ces ordinateurs, pourquoi les avoir détruits ?
, avaient demandé les gendarmes.
- Par réflexe de précaution, avait assuré M. Barges. Pour éviter que des informations soient diffusées ou que le contenu des ordinateurs puisse être rendu public. Il n'y avait pas de comptes en Suisse dans ces machines."
Sollicité par les enquêteurs, le directeur de cabinet de Jean-Noël Guérini avait enfin précisé qu'il ne savait pas ce qu'étaient devenus les disques durs des ordinateurs remplacés. Interrogée le même jour, l'assistante particulière de l'élu expliquait pour sa part : "Mon ordinateur a été changé sans que je sache pourquoi et par qui. Je suis arrivée un matin, le technicien était dans mon bureau et j'ai constaté que mon ordinateur avait été changé (….) Je n'ai pas retrouvé les documents qui se trouvaient [dans la mémoire], mais ce n'était pas de grande importance. Je ne me suis pas posé de questions." L'initiative du procureur atteste que la justice est décidée à se montrer plus soupçonneuse.

Enfin, grâce à un article étonnant, bien renseigné et plutôt costaud du Nouvel Observateur paru jeudi 28 avril 2011, on en sait plus désormais sur certaines sources ayant alimenté les soupçons d'Arnaud Montebourg. Voici l'intégralité de cet article.

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La "gorge profonde" de Montebourg et les Guérini

Le PS a lancé son audit sur les dysfonctionnements de sa fédération des Bouches-du-Rhône. Problème : le principal inspirateur de cette opération mains propres a retourné sa veste. Enquête
C'est une scène à la Scorsese, qui a stupéfié sur le coup la petite famille socialiste mar­seillaise, mais qui prend au­jourd'hui toute sa significa­tion. Elle éclaire d'un jour nouveau les au­ditions qui se déroulent depuis une se­maine Rue-de-Solférino pour faire le point sur le fonctionnement de la fédération PS des Bouches-du-Rhône.
Jeudi 17 février dernier, à Allauch dans les faubourgs de Marseille, élus et mili­tants se retrouvent pour un traditionnel repas républicain. Costume sombre et che­mise blanche, Jean-Noël Guérini, le tout ­puissant président du conseil général, plaisante avec ses proches à la table d'honneur quand, soudain, il se lève pour donner une accolade appuyée au député du quartier de l'Estaque, Henri Jibrayel. Un parfum de grand pardon flotte dans le gymnase… Dans l'assistance, certains convives se frottent les yeux en voyant le dernier arrivé s'asseoir el la droite du "père". Voilà bientôt deux ans en effet que tout Marseille les croyait fâchés à mort !
Député et conseiller général des Bouches-du-Rhône, Henri Jibrayel était en effet - jusqu'à la réconciliation d'Allauch… - un des premiers pourfend­eurs du président du conseil général. Il a même été l'un des principaux inspirateurs du fameux rapport qu'Arnaud Montebourg a rédigé pour dénoncer les turpitudes de la fédération socialiste des Bouches-du-Rhône. C'est en effet au soir d'une visite effectuée chez lui, à l'Estaque, le 5 juin 2010, que le chevalier blanc du PS, effaré par tout ce que son hôte et ses amis venaient de lui raconter, a décidé de se lancer dans son opération "mains pro­pres". C'était il y a un an. Autant dire un siècle…
Aujourd'hui, la "gorge profonde" de Montebourg est rentrée dans le rang. Pour Jean-Noël Guérini, qui devait venir s'expli­quer cette semaine à Paris devant la com­mission d'enquête mise en place par le PS, c'est une bonne nouvelle. La ré­conciliation en valait la chandelle. Car Henri Jibrayel, quand il est fâché, est plutôt du genre sanguin et bruyant. Cet ancien syndicaliste des PTT, familier des quartiers populaires de Marseille, a grandi en politique auprès de François Bernardini, l'ex-patron du PS local qui fut contraint par la justice à la démission. Le cheveu cranté et les épaules larges, c'est un élu de terrain qui connaît sur le bout des doigts sa circonscription. Les militants mar­seillais se sont habitués à son langage fleuri et à son franc-parler qui lui joue parfois des tours… Comme ce jour où il s'en est pris très vivement aux frères Guérini, lors d'une conversation téléphonique, dans une salle d'embarquement à l'aéroport. "Ce sont des enc…! Ils finiront en prison", hurle-t-il à son interlocuteur devant plusieurs témoins médu­sés. Quelques minutes plus tard, dans l'avion, le voilà qui reprend sa diatribe et s'épanche auprès de sa voisine, la députée PS de Marseille, Sylvie Andrieux. ]ibrayel lui ra­conte qu'il connaît les Guérini depuis qu'il est jeune, qu'ils sont de mèche avec des figures du milieu marseillais, qu'ils ont des comptes à l'étranger… quand soudain, un homme assis à trois sièges de là l'interrompt poliment pour lui dire qu'il a tort de parler de la sorte. "Qui tu es, toi ? lance Jibrayel. "Je suis Olivier Grimaldi, l'avocat d'Alexandre Guerini", répond l'autre. Ambiance…
Au-delà du folklore, Henri Jibrayel est sur­tout un symbole. Il est à la fois le complice et la victime du système clientéliste et autocra­tique mis en place par Jean-Noël Guérini dans les Bouches-du-Rhône depuis douze ans. Car il fut un temps où les deux hommes savaient s'entendre. Sur le dos de leurs petits cama­rades, notamment. Patrick Mennucci, au­jourd'hui maire des 1er et 7e secteurs de Marseille, se souvient encore de sa campagne des législatives en 2002. Candidat PS dans la 4e circonscription de Marseille, il avait alors pour suppléant un conseil­ler général nommé… Henri Jibrayel, jusqu'à ce que ce dernier ne le lâche sur ordre de Jean-Noë! Guérini ! Le pa­tron des socialistes marseillais préfé­rait en effet soutenir un candidat communiste pour des raisons tactiques locales. Pour la petite histoire, Jibrayel ira jusqu'à coller des autocollants déni­grant les affiches où il figurait comme suppléant. "Du jamais-vu dans l'his­toire électorale", commente Mennucci.
Aux municipales 2008 en revanche, rien ne va plus entre Jibrayel et Guérini. Dans la grande tradition mar­seillaise qui veut que la politique soit aussi une affaire de famille, le premier demande au second que son fils figure en bonne place sur la liste dans son arondissement. Faute d'obtenir mieux qu'une 10e place réputée inéligible, le père débarque fou de rage à la perma­nence du numéro un des socialistes marseillais qu'il alpague dans son bu­reau. L'altercation, sans témoins, fait tellement de raffut qu'un policier du GIPN, assigné à la protection de Guérini durant la campagne, se sent obligé de pousser la porte pour séparer les deux hommes. Jibrayel ne le sait pas encore, mais en s'emportant contre le "patron", il vient d'hypothéquer son avenir politique pour longtemps.
A Marseille, en effet, il ne fait pas bon se mettre en travers du chemin du président du conseil général ! La ri­poste de Guérini est aussi immédiate que brutale. Du jour au lendemain, Jibrayel se voit privé de tout : il perd sa délégation ; les berlines aux vitres fumées du conseil général qu'il affection­nait tant lui sont désormais interdites ; les subventions départementales aux associations de son quartier fondent comme neige au soleil ; ses proches sont écartés de tous les postes. Le malheureux n'a même plus un billet pour l'OM à offrir ! Comme un malheur n'arrive jamais seul, Guérini en profite aussi pour promouvoir sa rivale de toujours dans les quartiers Nord de Marseille : Samia Ghali, une proche d'Alexandre Guérini, fait son entrée au Sénat.
En décembre 2009, à la veille de Noël, Jibrayel mis au ban du PS marseillais depuis plus d'un an n'en peut plus. Les larmes aux yeux, il grimpe au neuvième étage du "bateau bleu", le siège du conseil général pour demander une audience à "Jean-Noël". Le président n'est pas là, mais qu'importe : le député de l'Estaque a tout prévu, il sort de son sac une couverture et entame une grève de la faim ! Au bout de quelques heures, pas encore affamé mais mortifié, il menace de se jeter d'un balcon, avant de s'effondrer, victime d'un léger malaise. Pompiers, urgences, hôpital… Heureusement plus de peur que de mal. Dans les travées du conseil général, ses proches alertés menacent de tout casser en représailles. Guérini finira par recevoir Jibrayel. Pour rien. Trois mois plus tard, les deux hommes s'embrouillent de nouveau, toujours à propos du fils Jibrayel, lors de la constitu­tion des listes pour les régionales.
Marginalisé à Marseille, le député se dé­mène à Paris, où il occupe la fonction de vice­-président du groupe socialiste de l'Assemblée nationale, pour battre le rappel de ses sou­tiens. D'un naturel affable, il a beaucoup de copains chez ses collègues. Il raconte ses mal­heurs à tout le monde, explique que Guérini veut sa peau, donne force dé­tails sur les menaces et les tentatives d'intimidation dont il dit faire l'objet. En fait-il trop ? Ses amis s'inquiètent réellement pour son sort. Montebourg est le premier à mordre à l'hameçon en juin 2010. Mais un mois plus tard, c'est au tour de Jean-Marc Ayrault, le patron des députés PS, de descendre en per­sonne à l'Estaque avec quelques parle­mentaires pour "réconforter" son ami. Jean-Noël Guérini reçoit le message cinq sur cinq, mais rien n'y fait. A l'au­tomne, le président du conseil général signe une paix des braves avec ses vieux ennemis, mais pas avec JibrayeI. Pis, il laisse même planer le doute sur le renouvellement de son investiture pour 2012 dans sa circonscription.
Le député de l'Estaque se sent pris au piège. Il tente le tout pour le tout, y compris de s'incruster un mardi soir au bureau national du PS pour essayer de parler à Martine Aubry et à son pre­mier lieutenant, François Lamy. A l'Assemblée, il distribue à qui veut les lire des photocopies du moindre article mettant en cause les Guérini. Mais une fois dans son bureau, il écrit à "Jean-­Noël" pour implorer son pardon et lui demander un rendez-vous, au plus vite.
Il lui faudra attendre jusqu'au 18 janvier dernier pour l'obtenir. Enfin ! Ce jour-la, c'est Noël pour Jibrayel qui se voit promettre par Guérini devant deux témoins la délégation aux sports, la plus belle du conseil général, l'accès aux berlines et même son investiture pour les prochaines législatives. En gage de bonne volonté, le député offre au patron des socialistes marseillais tous ses petits secrets, ainsi que les SMS et l'enregistrement de plusieurs conversations avec des opposants historiques du président du conseil général. Le marché n'est pas très reluisant, mais il est conclu. Il ne manque plus qu'à le sceller en public. Ce sera pour le 17 février à Allauch…
Tant pis pour Montebourg et son rapport, tant pis aussi pour les quelques socialistes marseillais qui comptaient sur lui pour les aider à faire déguerpir Guérini ! Lors de la réunion du groupe PS au conseil général des Bouches-du-Rhône, qui a précédé la réélection de son président, Henri Jibrayel a annoncé de­vant ses anciens camarades qu'il soutenait "Jean-Noël". "On s'est expliqué entre hommes, a-t-il pris soin de préciser, je te res­pecte, tu me respectes…" Jusqu'au prochain épisode ?
                                                     François Bazin et Matthieu Croissandeau

Descente sur le Vieux-Port
Les bœufs-carottes du PS ont du pain sur la planche ! Après Arnaud Montebourg la se­maine dernière, c'est au tour de Jean-Noël Guérini de venir s'expliquer ce jeudi devant la com­mission mise en place par Martine Aubry pour faire toute la lumière sur le fonctionnement de la fédéra­tion socialiste des Bouches-du-Rhône. Présidé par l'ancien ministre Alain Richard et composé de huit personnalités représentant les différents courants du Parti socialiste, cet aréopage a prévu de rendre ses conclusions le 20 juin prochain. L'enquête ne portera pas sur l'affaire des marchés publics de déchets pré­sumés frauduleux qui vaut à Alexandre Guérini de dormir depuis le mois de décembre en prison. Elle s'intéressera en revanche de prés aux dysfonctionne­rnents du PS local. Pour juger sur pièces, la commis­sion a prévu de se rendre les 4 et 5 mai prochains à Marseille, où elle entendra plus d'une quarantaine d'élus et de militants. Afin de garantir la confiden­tialité et l'indépendance, les auditions ne se déroule­ront pas au siège de la fédération mais dans la salle de conférences d'un hôtel. Plusieurs témoins ont par ailleurs accepté de parler, mais uniquement devant Alain Richard. La confiance règne !
                                                                                                    F. B. et M. C.

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Commentaires
J
Oui, oui très bon article de Cixi-Hélune sur la Galerie d'Art à Aix. Le népotisme se porte bien. Les aixois apprécieront. D'ailleurs ces expos dans cette galerie avec nos impots sont plutot moches. La dernière, sur l'Egypte, une nullitude ! On se demandait qui était derrière, maintenant on sait.
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C
Il n'est pas déjà en taule le mafieu et son gang?
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C
Cixi-Hélène a aussi traité le " sujet " Rémy Bargès avec son article sur la " Galerie des crasses de JNG " qui a imposé sa compagne dans la galerie d'art du CG à Aix....<br /> <br /> http://cixi-helene.over-blog.com/article-la-galerie-des-crasses-de-jean-noel-guerini-56804873.html
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