25 février 2007
Ni déprimé… ni comprimé…
Dans une brève teintée d'humour, La Provence cite en bas de page une de mes "petites phrases" comme on dit : "Je me suis payé le luxe de regarder quatre heures du conseil municipal de Marseille sur Internet".
Commentaire du journal : "Faut-il être déprimé pour s'adonner à une occupation pareille…"
Ben, non ! Rien ne vaut la primeur de l'actualité en direct intégral ! C'est quand même mieux que des infos partielles et comprimées le lendemain, quand ce n'est pas trois semaines après. Ou, pire, passées carrément... sous silence.
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